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Sports – F1: Bottas s’impose en Turquie, Verstappen reprend la tête du championnat

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Valtteri Bottas (Mercedes) a remporté dimanche à Istanbul le Grand Prix de F1 de Turquie devant Max Verstappen (Red Bull), qui reprend la tête du championnat à Lewis Hamilton (Mercedes), parti 11e et arrivé 5e.

Sergio Pérez (Red Bull) complète le podium devant Charles Leclerc (Ferrari) et donc Hamilton. En conséquence, Verstappen redevient leader avec six points d’avance sur le Britannique après cette 16e manche (sur 22) de la saison.

Parti 11e à cause d’une pénalité pour un changement de moteur vendredi, au-delà du quota autorisé par saison, Hamilton était remonté jusqu’à la 3e place mais doit se contenter de la 5e en raison d’une mauvaise stratégie.

C’est la dixième victoire en Grand Prix et la première cette saison pour Bottas, parti de la pole position et auteur d’une course sans erreur. Il n’avait plus gagné depuis le GP de Russie 2020.

« Ca faisait longtemps, ça fait du bien! », a souri le Finlandais, qui quittera Mercedes pour Alfa Romeo en fin d’année, « c’était une de mes meilleures courses, tout était sous contrôle ». Il est le 6e vainqueur différent cette année.

Avec cette victoire et le point du meilleur tour en course, le Finlandais de 32 ans, coéquipier d’Hamilton depuis 2017, conforte sa place de 3e du championnat devant le Britannique Lando Norris (McLaren), 7e dimanche.

Hamilton furieux

« Ce n’était pas facile de choisir une stratégie dans ces conditions », a-t-il expliqué, alors que c’est justement la stratégie qui a privé son équipier Hamilton d’un podium.

Sur une piste mouillée par le crachin qui enveloppait le circuit depuis les premières heures du jour, les pilotes avaient tous monté des pneus intermédiaires.

Or, avec ces derniers, il n’est pas obligatoire de changer de train de pneus lors d’un Grand Prix. Sur une piste qui séchait progressivement, Hamilton a voulu tenter le coup sans arrêt au stand, alors que Verstappen et Bottas s’arrêtaient respectivement aux 37e et 38e tours, sur 58.

S’il ne pouvait visiblement pas jouer la victoire, Hamilton partait pour préserver un podium quand Mercedes lui a demandé de finalement s’arrêter à sept tours de l’arrivée. Mauvais choix: le Britannique, ressorti à la 5e place, n’a pas pu faire mieux et s’est montré très énervé envers son équipe lors des communications radio.

L’an dernier, ici-même en Turquie, lors d’un week-end également pluvieux, « Sir Lewis » n’était parti que 6e avant de s’imposer pour remporter son 7e titre mondial, égalant le record de Michael Schumacher.

Cette saison, il poursuit à 36 ans sa lutte intense pour une huitième couronne inédite contre Verstappen, qui vise lui un tout premier sacre à 23 ans.

« Ca a été serré tout au long de la saison et je suis sûr que ça va le rester, ça va être une belle bataille avec Mercedes jusqu’au bout », a réagi Verstappen.

Le Néerlandais pouvait sourire en trinquant avec son magnum avec ses compagnons de podium, et surtout sans son grand rival.

« Ce n’était pas facile, la piste était très grasse, il a fallu gérer les pneus et c’était difficile d’attaquer. Valtteri avait un trop bon rythme donc je suis très content de finir deuxième », a-t-il expliqué.

Derrière le Top 5, le Français Pierre Gasly (AlphaTauri) prend la 6e place, suivi de près par Norris. L’Espagnol Carlos Sainz Jr (Ferrari), parti dernier, est remonté jusqu’à la 8e place et a été élu « pilote du jour » par les internautes.

Le Canadien Lance Stroll (Aston Martin) et l’autre Français Esteban Ocon (Alpine), seul pilote à avoir fait toute la course avec le même train de pneus, complètent le Top 10.

Prochain rendez-vous le 24 octobre aux Etats-Unis pour la 17e manche.

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Le XV de France triomphe des All Blacks dans un duel épique (30-29)

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Le XV de France triomphe des All Blacks dans un duel épique (30-29)

Dans un Stade de France en effervescence, le XV de France a surmonté un retard à la pause pour s’imposer face à la Nouvelle-Zélande. Une victoire mémorable qui confirme la dynamique des Bleus dans cette tournée d’automne.

Ce samedi soir, le rugby français a vécu une nouvelle page d’histoire marquée par une victoire héroïque contre les All Blacks. Face à une équipe néo-zélandaise redoutable, les joueurs de Fabien Galthié ont su renverser une situation compromise pour arracher un succès précieux (30-29). Dominés en première mi-temps (10-17), les Bleus ont offert une réaction éclatante après la pause, portés par un mélange de puissance, de vitesse et de sang-froid.

La rencontre, déjà qualifiée d’anthologique, a débuté sous le signe de l’intensité. Les All Blacks, menés par Scott Robertson, ont pris l’ascendant grâce aux essais de Peter Lakai et Cameron Roigard, combinés à la précision de Beauden Barrett au pied. En difficulté, le XV de France a pourtant trouvé un premier sursaut par l’intermédiaire de Romain Buros, auteur d’un essai marquant pour sa première cape.

De retour des vestiaires, les Tricolores ont changé de visage. Paul Boudehent, en force, puis Louis Bielle-Biarrey, grâce à sa vitesse fulgurante, ont permis à la France de passer devant au score. Soutenus par un Thomas Ramos irréprochable face aux perches, les Bleus ont résisté aux tentatives de Damian McKenzie, qui a maintenu les All Blacks dans la partie. Jusqu’à la dernière seconde, la défense française, héroïque, a repoussé les assauts adverses pour sceller une troisième victoire consécutive contre cette équipe légendaire.

Après avoir surclassé le Japon (52-12), cette nouvelle performance consolide la place du XV de France parmi les meilleures nations du rugby mondial. Les regards se tournent désormais vers l’Argentine, dernier adversaire de cette tournée, pour conclure en beauté une série de matchs mémorables.

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France-Israël : un match sous haute tension au Stade de France, sécurisé par un dispositif exceptionnel

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France-Israël : un match sous haute tension au Stade de France, sécurisé par un dispositif exceptionnel

Dans un contexte de vives tensions au Proche-Orient, la rencontre de la Ligue des nations entre la France et Israël se jouera ce jeudi au Stade de France sous haute surveillance. L’enjeu sportif cède le pas face aux préoccupations de sécurité et aux récents incidents autour du football européen.

Le Stade de France se prépare à accueillir une confrontation aux multiples dimensions, où le sport et la géopolitique se croisent de manière inédite. Alors que les événements récents au Proche-Orient et les débordements en marge d’un match du Maccabi Tel-Aviv à Amsterdam ont attisé les tensions, les autorités françaises déploient une opération sécuritaire d’envergure pour garantir le bon déroulement de la rencontre.

En effet, près de 4 000 policiers et gendarmes seront mobilisés autour du stade, ainsi qu’une équipe de l’unité d’élite Raid, chargée de la protection rapprochée de l’équipe israélienne. Un climat de vigilance renforcé s’est instauré en Europe face à une hausse des actes racistes et antisémites depuis le début du conflit opposant Israël au Hamas à Gaza en octobre. Cette escalade de violence, exacerbée par les attaques contre les supporters israéliens à Amsterdam, a conduit le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau à s’opposer fermement à toute délocalisation du match, affirmant que « la France ne recule pas face aux menaces. »

Seules les bannières françaises et israéliennes seront autorisées dans le stade, tandis que les drapeaux palestiniens et tout message politique seront bannis pour éviter de nouveaux débordements. L’équipe israélienne, par ailleurs, a appelé ses supporters à éviter de se déplacer pour la rencontre, qui devrait se dérouler dans une atmosphère silencieuse, loin des affluences habituelles du Stade de France.

Le président Emmanuel Macron, aux côtés de ses prédécesseurs Nicolas Sarkozy et François Hollande, sera présent dans les tribunes pour exprimer un soutien symbolique après les récents incidents antisémites en Europe. Sur le plan sportif, les Bleus de Didier Deschamps, toujours privés de Kylian Mbappé, auront pour mission d’obtenir au minimum un match nul afin de valider leur qualification pour les quarts de finale de la compétition. Même sans la présence de sa star, la France reste favorite, confortée par sa récente victoire face à Israël.

Au-delà de l’enjeu sportif, cette rencontre cristallise l’importance d’un message de fermeté et de solidarité nationale dans un contexte où le football, malgré ses terrains, ne semble pas pouvoir s’extraire des tensions géopolitiques actuelles.

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Les Bleus s’imposent à Budapest et entament une nouvelle ère sans Griezmann

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Ligue des nations : Les Bleus s'imposent contre Israël

La première sortie de l’équipe de France depuis la retraite internationale d’Antoine Griezmann s’est soldée par une victoire convaincante face à Israël (1-4). Ce succès marque le début d’une phase de transition pour les Bleus, encore privés de Kylian Mbappé, mais bien emmenés par leurs jeunes talents.

La « nouvelle ère » annoncée par Ibrahima Konaté commence sur une note positive. À Budapest, les Bleus, privés d’Antoine Griezmann et de Kylian Mbappé, ont su se reprendre après leur récente défaite contre l’Italie. Grâce à une prestation sérieuse, ils se sont imposés face à une équipe israélienne volontaire mais limitée.

Le match a débuté sous de bons auspices pour les hommes de Didier Deschamps, qui ont bénéficié d’une erreur flagrante du gardien israélien Omri Glazer. Un tir d’Eduardo Camavinga, mal maîtrisé par ce dernier après un rebond capricieux, a permis aux Français de prendre rapidement l’avantage (0-1, 7ème). Malgré cette ouverture précoce du score, les Bleus ont montré quelques signes de fébrilité, notamment en défense. Israël a profité d’un centre précis d’Oscar Gloukh pour revenir à égalité grâce à une tête puissante d’Omri Gandelman, malgré une tentative d’arrêt de Mike Maignan (1-1, 24ème).

La réplique tricolore n’a toutefois pas tardé. Christopher Nkunku, de retour en sélection après plus d’un an d’absence, a inscrit son premier but sous le maillot bleu après un bel effort individuel, marquant ainsi une étape importante dans sa carrière internationale (1-2, 28ème). Ce second but a permis à la France de reprendre le contrôle d’un match qu’elle maîtrisait déjà dans la possession du ballon, mais sans se montrer dangereuse sur chaque action.

En seconde période, les Bleus ont continué à dominer le jeu sans pour autant étouffer leur adversaire. Ousmane Dembélé, particulièrement actif, a multiplié les accélérations et frappes, même si ses efforts n’ont pas abouti. Les changements opérés en fin de rencontre, avec notamment l’entrée de Bradley Barcola, ont permis d’amplifier le score. Mattéo Guendouzi a d’abord alourdi le score en fin de match (1-3, 87ème), suivi immédiatement par Barcola qui a signé sa première réalisation en bleu (1-4, 88ème).

Avec cette victoire, la France reste au contact de l’Italie, leader du groupe après son nul contre la Belgique. Les Bleus, qui doivent encore confirmer leur forme, affronteront cette dernière à Bruxelles lors de leur prochain match, une rencontre déterminante pour la suite de leur parcours.

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