Balaruc-le-Vieux
Sète et Frontignan perdent encore des habitants

L’exercice est immuable : à la veille de la nouvelle année, l’Insee communique les chiffres de la population dite « légale » qui entrera en vigueur au 1er janvier 2021.
Ces statistiques ont vocation à servir d’indicateur pour les différentes politiques publiques et sont également prises en compte pour le calcul des dotations de l’État aux collectivités.
Le département de l’Hérault et sa capitale, Montpellier, continuent de gagner de nouveaux habitants. Pendant que Sète, Frontignan et Marseillan en perdent sur le bassin de Thau..
Sète l’incompréhension…
On y comprend vraiment plus rien du coté de la Ville de Sète. Les constructions se multiplient, un nouveau quartier va voir le jour à l’entrée-EST (Côté route de Montpellier) mais la ville ne cesse de perdre des habitants. Pour qui construit-on ? Frontignan fait partie de cette exception et perd aussi des habitants d’après les derniers chiffres de l’INSEE.
En baisse
- Sète -584 habitants soit 43 686 habitants
- Frontignan -221 habitants soit 22 731 habitants
- Bouzigues -86 habitants soit 1 650 habitants
- Marseillan -64 habitants en moins soit 7 784 habitants
Stable
- Balaruc-les-Bains -11 habitants soit 6 867 habitants
- Montbazin -9 habitants soit 2 928 habitants
- Mireval -7 habitants soit 3 282 habitants
En Hausse
- Mèze +1370 habitants soit 12 012 habitants
- Gigean +332 habitants soit 6 450 habitants
- Vic-la-Gardiole +250 habitants soit 3 317 habitants
- Poussan +164 habitants soit 5 983 habitants
- Villeveyrac +160 habitants soit 3 828 habitants
- Balaruc-le-Vieux +87 habitants soit 2 631 habitants
- Loupian +29 habitants soit 2 176 habitants
Le département de l’Hérault comptait au 1er janvier 2018 -1 million 159.220 habitants- soit 15.000 de plus qu’un an plus tôt et 66.000 de plus qu’en 2013.
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Balaruc-le-Vieux
Influenza aviaire dans l’Hérault : les autorités appellent à la vigilance pour limiter la propagation du virus

Découverte d’un nouveau cas d’influenza aviaire hautement pathogène dans la faune sauvage à Marseillan-Plage.
Le virus de l’influenza aviaire hautement pathogène a été détecté à Marseillan-Plage, dans l’Hérault, le 1er mars 2023. La découverte a été faite sur une mouette rieuse retrouvée morte sur le territoire de la commune de Marseillan.
Le préfet de l’Hérault, Hugues Moutouh, a immédiatement signé un arrêté pour définir une zone de contrôle temporaire pour les 34 communes de l’Hérault, se trouvant dans le périmètre des 20 kilomètres autour du lieu de la découverte de la mouette.
Les mesures spécifiques applicables dans la zone de contrôle temporaire (ZCT) ont été détaillées par la préfecture de l’Hérault. Tout détenteur de volailles et d’oiseaux captifs doit se déclarer, et toutes les volailles et oiseaux captifs doivent être maintenus en permanence à l’intérieur de bâtiments ou sous filet. Les mouvements de personnes, d’animaux domestiques et de véhicules au sein des exploitations doivent être limités au strict nécessaire, et le transport et l’introduction dans le milieu naturel de gibier à plumes ainsi que celui des appelants sont réglementés.
Une surveillance accrue de l’avifaune sera réalisée durant la période de maintien de cette ZCT. La zone de contrôle temporaire pourra être levée à minima au bout de 21 jours si aucun nouveau cas d’influenza aviaire n’est identifié dans la population d’oiseaux sauvages et si la situation épidémiologique des élevages le permet.
La préfecture de Hérault appelle à la vigilance de tous les acteurs, notamment les éleveurs, les détenteurs d’oiseaux et les vétérinaires afin de tout mettre en œuvre pour limiter la propagation de ce virus. Cela passe en particulier par une application sans faille des mesures de biosécurité. Il est demandé de ne pas s’approcher, ni nourrir, ni manipuler les oiseaux sauvages sur cette zone pour éviter tout risque de diffusion du virus.
Pour rappel, l’influenza aviaire n’est pas transmissible à l’être humain par la consommation de viande de volaille, œufs, et plus généralement de tout produit alimentaire. Les mesures mises en place visent avant tout à limiter la propagation du virus aux élevages et aux basses-cours. La population est invitée à rester vigilante et à signaler tout oiseau sauvage mort à la mairie du lieu concerné qui prendra contact avec l’office français de la biodiversité (OFB).
Les 34 communes de l’Hérault concernées sont : Agde, Aumes, Balaruc-les-Bains, Balaruc-le-Vieux, Bessan, Béziers, Bouzigues, Castelnau-de-Guers, Cazouls-d’Hérault, Cers, Florensac, Frontignan, Lézignan-la-Cèbe, Loupian, Marseillan, Mèze, Montagnac, Montblanc, Nézignan-l’Evêque, Pézenas, Pinet, Pomerols, Portiragnes, Poussan, Saint-Pons-de-Mauchiens, Saint-Thibéry, Sérignan, Servian, Sète, Tourbes, Valros, Vias, Villeneuve-lès-Béziers et Villeveyrac.
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Balaruc-le-Vieux
Vigilance météo : tempête imminente sur l’Hérault avec des rafales de vent allant jusqu’à 150 km/h

La météo s’annonce capricieuse demain, où une tempête est annoncée sur l’Hérault vendredi. Des vents violents et des pluies intenses sont attendus, pouvant causer des dommages matériels importants.
La Méditerranée est en alerte avec un avis de tempête prévu pour vendredi. Les experts de Météo France ont prévenu que la tramontane pourrait souffler très fort dans certains endroits, atteignant jusqu’à 150 km/h localement. Les habitants du département de l’Hérault sont donc invités à se préparer aux conditions météorologiques difficiles.
Selon les prévisions de Météo France, une dépression dynamique va transiter en flux d’Ouest sur la France vendredi, entraînant un net resserrement de la pression atmosphérique. Les conditions sont donc réunies pour la mise en place d’un puissant vent d’Ouest/Nord-Ouest entre le nord des Pyrénées-Orientales et une bonne partie de l’Hérault.
Des rafales de vent de 120 à 140 km/h sont envisagées, avec des pointes pouvant atteindre jusqu’à 150 km/h localement. Des dégâts ne sont pas à exclure mais les plaines de l’Est de l’Hérault seront moins exposées d’après le bulletin de Météo France. Tous les départements concernés par ce bulletin météo (l’Hérault, les Pyrénées-Orientales et l’Aude) sont pour l’instant placés en vigilance jaune, mais un passage en orange est possible dans les prochaines heures.
Il est donc fortement recommandé de se tenir informé de l’évolution de la situation et de reporter certaines activités qui pourraient devenir dangereuses. Les habitants de la région sont invités à prendre les mesures nécessaires pour se protéger et protéger leurs biens face à ces conditions météorologiques extrêmes.
🟡🌬️#Vigilancejaune #vent #Hérault
Épisode de Tramontane ce vendredi à compter de 6h
Rafales 100-120km/h sur l'Ouest Hérault
Consignes⤵️
❌Pas de brûlage🔥🍃
🏠Rangez les objets légers
⚠️🌳chutes de branches
🚗Gardez les 2 mains s/ le volant
🛥️🧗♀️Soyez vigilants dans vos activités pic.twitter.com/zFNRtCbhEB— Préfet de l'Hérault 🇫🇷 (@Prefet34) March 9, 2023
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Balaruc-le-Vieux
LGV Montpellier/Béziers : Alerte LGV Thau envisage un recours devant le Conseil d’État

Alerte LGV Thau se mobilise contre le projet de la Ligne à Grande Vitesse (LGV) entre Montpellier et Béziers, première étape d’une nouvelle ligne TGV entre Montpellier et Perpignan. L’association souhaite déposer un recours devant le Conseil d’Etat contre la déclaration d’utilité publique et propose une alternative moins coûteuse et moins impactante pour la région.
L’association Alerte LGV Thau poursuit sa lutte contre le projet de la Ligne à Grande Vitesse (LGV) entre Montpellier et Béziers, première étape d’une nouvelle ligne TGV entre Montpellier et Perpignan, déclarée d’utilité publique le 21 février dernier.
Selon l’association, les avantages du projet seraient minimes par rapport aux inconvénients, qui incluent la destruction de 2 000 hectares d’espaces naturels et agricoles, ainsi que la source d’eau potable d’Issanka. L’association propose une alternative moins coûteuse qui irait un peu moins vite, à 220 km/h au lieu de 320 km/h, et éviterait les grandes zones sensibles du territoire du bassin de Thau.
Pour contester cette déclaration d’utilité publique, l’association souhaite déposer un recours devant le Conseil d’État avant le 19 avril 2023. Cependant, pour porter ce recours en annulation auprès du Conseil d’État, l’association a besoin de soutien financier. Dans ce but, elle a lancé une cagnotte en ligne pour financer cette action en justice. L’association a également sollicité l’aide des maires du bassin de Thau pour s’associer à ce recours en tant que co-requérant ou pour soutenir financièrement l’association dans son recours en justice.
La décision de la Première ministre de reporter le projet de LNMP ou de l’accélérer d’ici au mois de juin fait également pression sur l’association pour agir rapidement. En déposant ce recours, l’association Alerte LGV Thau espère alerter les élus sur un projet jugé « obsolète » et proposer une alternative plus respectueuse de l’environnement. Le combat continue.
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Laurent Hercé
29 décembre 2020 at 15 h 12 min
C’est une évidence : on construit ici, surtout à Sète, des appartements qui sont souvent achetés pour servir de résidences secondaires, ou de locations de vacances.
Donc, on peut multiplier le nombre de logements tout en obtenant une population en baisse.
Une résidence telle que « Saint Maurice », sur le bd Joliot Curie, compte 250 logements.
Seuls 50 à 70 d’entre eux sont habités « à l’année » (et encore, certains sont habités par des étudiants et précaires de septembre à juin) !
Dans cette seule résidence, près de 150 logements vides la plupart du temps.
Comme cette politique dédiée au tourisme crée un fort appel d’air pour la construction de logements « de vacances », elle fait aussi grimper le prix des logements en général. Donc empêche de nombreuses personnes qui souhaitent résider à l’année sur Sète de le faire.
Lorsque je parlais de ce phénomène pendant la campagne, certains détracteurs répondaient que les précédents chiffres de l’INSEE étaient biaisés, et que le prochain recensement serait en nette hausse.
La preuve que non, et que cette tendance est bien installée : Sète devient une ville fantôme.
thauthau
13 janvier 2021 at 15 h 15 min
partout pareil autour de la lagune
a meze on perd pas des habitants mais y a plus de maisons secondaire dans le vieux meze que des habitants permanent.et les nouveaux immeubles vont servir pour le tourisme plus que pour la population locale.marseillan tout un quartier qui est entrain de sortir de terre pour le tourisme.si la covid dure plusieurs années qu’on soit confine l’ete vont pleurer les investisseurs.