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Sports: Qualifs Mondial-2022: les Bleus à un pas du Qatar

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L’équipe de France veut s’épargner des sueurs froides: les Bleus visent samedi (20h45) au Parc des Princes une victoire contre le Kazakhstan, synonyme de qualification pour le Mondial-2022 avant la fin des éliminatoires, pour clore en beauté leur année mitigée.

Les campagnes qualificatives, « c’est toujours une longue route, parfois périlleuse. L’essentiel, c’est d’y être », a prévenu Didier Deschamps vendredi, invitant ses joueurs à « ne pas se relâcher par rapport à (leur) objectif ». 

Le sélectionneur sait que les Bleus n’ont jamais été loin du faux pas, ces derniers mois. L’élimination surprise en huitièmes de l’Euro contre la Suisse aux tirs au but (3-3, 5-4 t.a.b.) ou encore les matches nuls poussifs de septembre contre la Bosnie et en Ukraine (1-1) sont là pour le rappeler.

En tête du groupe D avec 12 points, la France est néanmoins en ballottage très favorable: l’Ukraine, deuxième avec 9 points, n’a plus qu’un match à jouer contre deux aux Français. Quant à la Finlande (3e, 8 pts), elle doit négocier samedi (15h00) un déplacement compliqué en Bosnie (4e, 7 pts) avant de recevoir les Bleus mardi à Helsinki en clôture des qualifications. 

Un match nul entre Bosniens et Finlandais dans l’après-midi arrangerait Hugo Lloris et ses partenaires, qui n’auraient alors besoin que d’un seul point face aux Kazakhstanais pour aller défendre leur titre mondial au Qatar (21 novembre – 18 décembre 2022).

Mais « il faut finir le travail », insiste auprès de l’AFP l’adjoint Guy Stéphan.

Souvenirs

L’encadrement des champions du monde n’est pas particulièrement superstitieux, mais il connaît le contexte qui entoure la rencontre. 

Le Parc des Princes, préféré exceptionnellement au Stade de France pour cause de travaux dans les transports en commun, ravive le souvenir des qualifications au Mondial-1994, conclues par les Bleus de Deschamps, joueur, avec deux défaites surprises dans le même stade, contre Israël et la Bulgarie, dans une situation comptable presque identique.

« Cela reste un souvenir douloureux dans l’histoire de l’équipe de France, mais d’autres matches importants ont été gagnés depuis », a relativisé le capitaine Hugo Lloris, exhortant ses coéquipiers à « emballer le match le plus tôt possible ».

La date, six ans jour pour jour après les attaques jihadistes de 2015, un soir de France-Allemagne à Saint-Denis, ajoute à la symbolique de cette soirée, alors que le procès des attentats du « 13-Novembre » se tient actuellement devant la cour d’assises spéciale de Paris.

Une minute de silence en hommage aux victimes sera d’ailleurs respectée en amont du match et les Bleus arboreront un brassard spécial pour l’occasion, dans un stade qui affichera complet.

Sur le terrain, les inquiétudes nées à l’Euro ont été effacées pour partie en octobre par le sacre français en Ligue des nations, aux dépens de la Belgique (3-2) et de l’Espagne (2-1).

Qui pour épauler Kanté ?

Les Tricolores arrivent donc avec une confiance retrouvée et un groupe stabilisé, seulement perturbé par les absences sur blessure de Presnel Kimpembe, Raphaël Varane et Paul Pogba.

Karim Benzema, préservé jusqu’à jeudi, « sera disponible » selon Deschamps. Le Madrilène est donc espéré dans le onze de départ avec ses compères Antoine Griezmann et Kylian Mbappé.

Les incertitudes concernent surtout le milieu de terrain – Adrien Rabiot ou Aurélien Tchouaméni pour épauler N’Golo Kanté ? -, et l’identité des joueurs qui composeront le nouveau schéma défensif des Bleus, à trois arrières centraux.

Dayot Upamecano et Kurt Zouma se disputent une place aux côtés de Lucas Hernandez et Jules Koundé, tandis que Theo Hernandez part favori pour animer l’aile gauche. A droite, « DD » cèdera-t-il à la tentation de lancer l’ailier Kingsley Coman à la place du latéral plus défensif Benjamin Pavard ? « C’est une option », a-t-il glissé vendredi.

En face, la 125e nation mondiale, battue 2-0 à l’aller en Asie centrale, a quelques arguments: « C’est une équipe très généreuse dans l’effort, très regroupée, avec beaucoup de densité », a expliqué Guy Stéphan, soulignant « les qualités mentales » de l’adversaire. Celles-ci suffiront-elles à repousser les espoirs de qualification des Bleus ?

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JO d’hiver 2030 : les Alpes françaises, seule candidature retenue

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JO d'hiver 2030 : les Alpes françaises, seule candidature retenue

La France est en passe d’organiser les Jeux olympiques d’hiver en 2030. Le CIO a écarté les autres candidatures en lice.

Les Alpes françaises sont en excellente position pour accueillir les Jeux olympiques d’hiver 2030, devenant ainsi la quatrième ville hôte de cet événement emblématique. Le Comité international olympique (CIO) a annoncé aujourd’hui que la France est la seule candidature retenue, marquant ainsi un moment historique dans l’histoire des Jeux olympiques d’hiver.

Le projet olympique, porté conjointement par les deux régions françaises d’Auvergne – Rhône-Alpes et Provence-Alpes-Côte d’Azur, a réussi à convaincre la commission exécutive du CIO grâce à son dossier de candidature solide et à une présentation convaincante lors du grand oral de 45 minutes. Cette décision fait suite à des mois de préparation et de compétition intense entre plusieurs nations aspirantes à l’accueil des Jeux olympiques d’hiver 2030.

La France a une longue histoire de réussite dans l’organisation des Jeux olympiques d’hiver, avec des précédents à Chamonix en 1924, Grenoble en 1968 et Albertville en 1992. Le choix des Alpes françaises comme hôte des Jeux olympiques d’hiver 2030 est le fruit d’un projet ambitieux qui met en avant 95 % de sites existants, de Nice au Grand-Bornand, en passant par Courchevel Méribel, Val d’Isère et La Clusaz.

Malgré une concurrence sérieuse de la part de la Suède et de la Suisse, la France a réussi à l’emporter grâce à la qualité de son dossier de candidature et à la solidité de son projet. Les Scandinaves avaient précédemment candidaté pour les Jeux olympiques d’hiver 2026, qui finiront par se dérouler à Milan-Cortina d’Ampezzo en Italie. Cependant, face à la puissance et à la tradition des sports d’hiver en France, ces deux pays ont été contraints d’abandonner leur candidature.

La décision finale concernant l’attribution des Jeux olympiques d’hiver 2030 sera officialisée en juillet 2024 lors de la session du CIO à Paris, juste avant le début des Jeux Olympiques d’été. Si tout se passe comme prévu, les amoureux du sport du monde entier auront rendez-vous dans les Alpes françaises pour une nouvelle olympiade hivernale mémorable en 2030.

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Paris 2024 : « On ne va pas être prêts », selon Anne Hidalgo

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Paris 2024 : « On ne va pas être prêts », selon Anne Hidalgo

Dans l’émission « Quotidien », la maire de Paris a annoncé mercredi du retard dans la préparation des JO 2024 à Paris d’un point de vue des transports en commun.

Alors que Paris se prépare à accueillir les Jeux Olympiques et Paralympiques en 2024, la maire de la ville, Anne Hidalgo, a récemment exprimé des inquiétudes concernant l’état de préparation des infrastructures de transport. Lors de son apparition dans l’émission « Quotidien » sur TMC mercredi soir, la maire socialiste a indiqué que Paris n’était « pas prête » en termes de transports, évoquant un nombre et une fréquence de trains insuffisants dans certaines zones.

La future station du RER E à la Porte Maillot a été spécifiquement mentionnée comme un point critique. « Il y a des endroits où les transports ne seront pas prêts parce qu’il n’y aura pas le nombre de trains et la fréquence », a précisé Hidalgo. Elle a également souligné les difficultés quotidiennes existantes dans le réseau de transport parisien et la lutte pour atteindre les niveaux requis de ponctualité et de confort.

Interrogée sur la responsabilité de ces retards, la maire a évoqué le rôle du gouvernement et de la Région Île-de-France, tout en reconnaissant sa propre implication dans le processus. Clément Beaune, ministre délégué chargé des Transports, a rapidement répondu en critiquant l’approche médiatique de Hidalgo.

Valérie Pécresse, présidente de la région Île-de-France, a elle aussi commenté sur les réseaux sociaux, en insistant sur la nécessité de la participation active d’Anne Hidalgo aux comités stratégiques sur les transports.

Outre les préoccupations liées aux transports, Anne Hidalgo a également abordé le sujet des personnes sans domicile fixe, pointant du doigt un autre défi majeur à relever avant les Jeux.

Les Jeux Olympiques et Paralympiques de 2024 représentent un événement de grande ampleur pour Paris, avec près de 15 millions de spectateurs attendus. La promesse faite par les autorités d’assurer un accès 100 % public aux sites de compétition souligne l’importance cruciale de résoudre ces problèmes de mobilité dans un délai serré. La préparation de la capitale française pour cet événement mondial est désormais plus que jamais sous le feu des projecteurs.

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Éliminatoires de l’Euro 2024 : l’équipe de France termine son année 2023 par un match nul en Grèce

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Éliminatoires de l’Euro 2024 : l’équipe de France termine son année 2023 par un match nul en Grèce

Avant l’important Euro 2024 en Allemagne, Didier Deschamps, le sélectionneur de l’équipe de France, se retrouve face à un défi crucial. Avec seulement deux matchs amicaux programmés en mars, il lui faut prendre des décisions déterminantes sur la composition de son équipe. Cette année 2023 s’est achevée par un match nul (2-2) contre la Grèce, offrant à Deschamps matière à réflexion.

En dépit de l’équipe remaniée contre la Grèce, les leaders incontestés restent Kylian Mbappé et Antoine Griezmann, avec Mike Maignan comme gardien de but principal. Deschamps a figé pour l’instant la hiérarchie des gardiens, avec Brice Samba et Alphonse Areola en tant que remplaçants.

La défense semble également avoir ses favoris. Jules Koundé, malgré une performance mitigée contre la Grèce, garde son poste à l’arrière droit. Les frères Hernandez se disputent la place à gauche, tandis que la paire centrale Dayot Upamecano et Ibrahima Konaté, formée lors de la Coupe du monde, conserve la confiance du sélectionneur.

Le milieu de terrain s’articulera autour d’Aurélien Tchouameni, d’Eduardo Camavinga et d’Adrien Rabiot, ce dernier gagnant en leadership. L’attaque verra une compétition entre Ousmane Dembélé et Kingsley Coman pour l’aile droite, et bien qu’Olivier Giroud, à 37 ans, ne soit pas assuré d’une place de titulaire, son expérience reste précieuse.

Des joueurs comme Randal Kolo Muani et Marcus Thuram se détachent pour leurs récentes performances, augmentant leurs chances de figurer dans la liste finale. En défense, Benjamin Pavard, désormais désireux d’évoluer comme défenseur central, pourrait laisser sa place sur le côté droit à Jonathan Clauss.

Dans le secteur du milieu de terrain, Youssouf Fofana et le jeune Warren Zaïre-Emery, impressionnant avec le PSG, sont des noms à surveiller. La défense centrale, quant à elle, offre peu de place pour les nouveaux venus, malgré les efforts de joueurs comme William Saliba ou Jean-Clair Todibo.

Boubacar Kamara pourrait se frayer un chemin au milieu, tandis que Christopher Nkunku et le jeune Mathys Tel restent des options offensives à considérer en fonction de leur forme et progression.

Alors que 16 places semblent déjà attribuées, la concurrence reste féroce pour les 9 places restantes. Deschamps devra équilibrer expérience et jeunesse pour construire une équipe capable de briller en Allemagne en 2024.

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