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Sète : Des agents de la collectivité ont travaillé sur des films pendant leur temps de travail
Au lendemain de nos révélations sur deux films qui ont eu recours au travail dissimulé lors des tournages sur Sète les langues se délient.
Selon nos informations les productions « King » et « Mes Frères et moi », avaient sur leur tournage une quinzaine d’agents de trois organismes publics pendant plusieurs mois (Mairie de Sète, Sète Agglopôle Méditerranée et Sète Thau Habitat). Ce qui confirmerait la mise en place d’un système de travail dissimulé dénoncé par un plaignant lors d’un dépôt de plainte.
D’après un procès-verbal de plainte et des attestations de témoins que nous avons pu consulter le cabinet du Maire de la Ville de Sète est directement mis en cause dans la mise à disposition de ses agents. Ce dernier aurait redirigé vers un employé municipal, les régisseurs des productions quand ils effectuent des demandes d’autorisations.
Un régisseur que nous avons pu contacter nous confirme cette pratique, « quand on envoie nos autorisations, effectivement la mairie de Sète nous contacte derrière et nous redirige vers des personnes que nous devons prendre », nous explique-t-il. « Après savoir si ce sont des agents de la collectivité ou pas on ne peut pas le savoir nous car nous ne sommes pas du coin », précise-t-il.
Des photos et des vidéos accablantes
Après lecture du procès-verbal d’une plainte d’un des plaignant et des photos et vidéos que nous avons pu consulter, nous pouvons confirmer que des agents de plusieurs organismes publics étaient bien présents en tenue de travail avec un gilets jaunes sur le dos sur plusieurs tournages. Étaient ils en repos ces jours là ? En maladie ? Une enquête devrait prochainement le déterminer.
Comme nous le confirme d’autres plaignants qui eux aussi envisagent de déposer plainte dans les prochains jours, « ces agents de la collectivité travaillent pratiquement sur tout les films et sont payés en liquide ». Comment des agents de la collectivité ont pu travailler pendant des mois sur des tournages sans qu’un supérieur hiérarchique les repères ? Nous tentons de comprendre cette révélation.
Selon un membre d’une équipe de production passée par Sète que nous avons pu contacter, « c’est la mairie de Sète qui mets les productions dans ces situations », « c’était soit ça soit on ne tournait pas dans certains endroits de la ville. C’est eux qui nous ont dirigé vers les personnes concernées », nous explique t-on
« Nous c’est la dernière fois qu’on tourne sur Sète et beaucoup de productions se passe le mot et évite la ville de Sète maintenant ». « Le cadre est superbe mais ça coûte extrêmement cher, nous avons limite été rackettés avec la complicité de la mairie », ajoute t-il.
La Ville de Sète n’a pas souhaitée répondre à nos questions concernant cette enquête.
Si vous avez des informations à nous communiquer, vous pouvez nous contacter à l’adresse enquete@lesinguliersete.fr – Si vous souhaitez adresser des documents en passant par une plateforme hautement sécurisée, vous pouvez vous connecter au site tipbox.is
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À LIRE AUSSI > Sète : Deux films accusés de travail dissimulé, des plaintes déposées
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Sète : François Commeinhes accusé d’espionnage, deux élus quittent le conseil municipal
Coup de théâtre au Conseil Municipal de la ville de Sète, deux élus ont quitté ce soir le conseil municipal et accusent le maire de Sète d’espionnage.
La séance du Conseil Municipal, qui a débuté ce lundi à 17h30, s’est transformée en un véritable scandale politique lorsque deux élus d’opposition, Laurent Hercé et Philippe Carabasse, ont quitté précipitamment la séance pour protester contre les méthodes choquantes d’espionnage employées par la majorité municipale. Cette nouvelle affaire jette un voile sombre sur la démocratie sétoise et remet en question le respect de la fonction et de la sphère privée des élus de l’opposition.
Pour comprendre les origines de ce nouveau scandale, il faut remonter à juin dernier, lorsque Laurent Hercé, membre d’Europe Écologie les Verts, avait soulevé des préoccupations concernant le délai de réception des documents nécessaires pour préparer les séances du conseil municipal. Face à un nombre considérable de délibérations, certains documents pouvant atteindre jusqu’à 3000 pages, l’élu de l’opposition avait exprimé son mécontentement quant au manque de temps pour les examiner avant les séances du conseil municipal.
La situation a pris un tournant décisif pendant le Conseil Municipal de ce jour, lorsque l’élu écologiste a reçu une réponse écrite de François Commeinhes, répondant ainsi point par point à aux inquiétudes de l’élu. La réponse apportée par François Commeinhes a mis en lumière les contradictions présentes dans les déclarations de Laurent Hercé et lui a fourni des preuves écrites concernant l’heure à laquelle l’élu s’était connecté au site web contenant les documents administratifs. Ces éléments de preuve apportés par le maire de Sète pour sa défense, indiquent de manière explicite que la majorité municipale surveille le temps que les élus de l’opposition consacrent aux dossiers, confirmant ainsi l’existence d’une surveillance de leur fonction et portant atteinte à leur vie privée.
Devant la révélation de ces méthodes d’espionnage à l’encontre des élus de l’opposition, qui rappellent les pratiques des régimes totalitaires, Laurent Hercé a décidé de quitter la séance en signe de protestation, et Philippe Carabasse l’a rejoint en signe de solidarité. Les autres membres de l’opposition, peut-être ne mesurant pas complètement la gravité de la situation, ont opté pour la poursuite de la séance.
Contacté par notre rédaction, Philippe Carabasse a expliqué qu’il ne pouvait plus travailler dans de telles conditions et qu’il ne participerait plus, du moins pour le moment, aux séances du conseil municipal. Il a déclaré : « Tant que ces conditions de huis clos abusif, cette déconsidération systématique, ce mépris constant envers nous et notre travail continueront, nous resterons inutiles et enfermés dans une posture de roquet qu’ils continuent à jouer seuls. Nous espérons vivement que le Préfet intervienne dans cette situation, ou peut-être même qu’il y ait un sursaut de certains conseillers de la majorité. »
Cette nouvelle affaire d’espionnage des élus de l’opposition s’ajoute à une longue liste de problèmes politiques à Sète, dont le fichage et la répression des bénévoles du Collectif Bancs Publics [lire ici]. De plus, notre enquête récente a révélé des pratiques de censure sur les réseaux sociaux de la ville de Sète, remettant en question la liberté d’expression et la transparence de l’administration locale [lire ici]
Le système Commeinehs continue de plonger profondément, avec des élus de la majorité qui semblent cautionner par leur mutisme le fichage, la répression et la censure dont sont victimes les habitants de Sète, ainsi que les méthodes d’espionnage visant les élus de la République. De plus en plus de Sétois se demandent qui échappe à la surveillance, au fichage, ou à la répression aujourd’hui à Sète, ce qui suscite de sérieuses préoccupations quant à l’état de la démocratie locale et au respect des libertés civiques dans cette ville autrefois paisible.
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À LIRE AUSSI > Sète : les administrés censurés sur les réseaux sociaux, une dictature 2.0
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Sète : les administrés censurés sur les réseaux sociaux, une dictature 2.0
Une nouvelle enquête de notre rédaction révèle des pratiques de censure sur les réseaux sociaux de la ville de Sète, laissant les citoyens privés de leur droit à la liberté d’expression et remettant en question la transparence de l’administration locale.
Une enquête approfondie menée par notre rédaction a mis en lumière des pratiques inquiétantes au sein du service de communication de la ville de Sète. En particulier, sur les réseaux sociaux tels que Facebook et Instagram, la municipalité bloque de nombreux comptes et censure illégalement les commentaires, portant ainsi atteinte au droit fondamental à la liberté d’expression des citoyens. Cette manipulation vise à maintenir une image superficielle et sans faille de l’action municipale.
Au cœur de cette controverse se trouve le blocage de près de soixante comptes de manière illégale, empêchant ces citoyens de participer aux discussions et de remettre en question l’action de la majorité municipale. Cette pratique, bien qu’efficace pour maintenir une façade immaculée, va à l’encontre des principes démocratiques et du droit fondamental à la liberté d’expression. Vous trouverez ci-dessous la liste complète des comptes qui sont arbitrairement bloqués par la ville de Sète.
Cette situation de censure appelle à la prudence, d’autant plus qu’une jurisprudence existe en la matière. Un jugement de la Cour administrative d’appel de Paris, en date du 27 mars 2023, a clairement établi que la liberté d’expression en ligne revêt une importance cruciale pour la participation à la vie démocratique. Les restrictions à cette liberté doivent être « nécessaires, adaptées et proportionnées » à l’objectif poursuivi. Par conséquent, il est légitime de se demander si la municipalité de Sète respecte effectivement ces critères.
En plus du blocage de comptes, la municipalité de Sète a eu recours à une tactique de censure plus sournoise en masquant les commentaires dissidents. Cette manœuvre consiste à rendre les commentaires invisibles pour au public, à l’exception de leurs auteurs, créant ainsi l’illusion trompeuse que l’opinion publique est unanime dans son soutien aux actions municipales. Cette pratique vise clairement à étouffer la dissidence et à présenter une image déformée de la perception du public concernant les décisions de la ville.
Nous avons constaté que cette méthode de censure a particulièrement touché ces derniers mois les bénévoles du Collectif Bancs Publics et leurs partisans. Ils ont été massivement censurés sur les réseaux sociaux de la ville, de manière à ce que tout soutien à ce Collectif engagé dans la lutte contre le projet de parking souterrain sur la place Aristide Briand demeure invisible pour le grand public.
Ce qui est encore plus surprenant, c’est que même les élus de la majorité ne sont pas épargnés par cette politique de dissimulation lorsqu’ils commettent des erreurs.
Un exemple concret s’est produit lorsque l’adjointe à l’éducation et à la jeunesse, Corinne Azaïs, a publié un commentaire félicitant l’action du skipper Nicolas Rouger. Les commentaires sur ce post ont été rapidement occultés. Cette mesure radicale visait clairement à éviter de mettre en lumière un conflit d’intérêts manifeste, étant donné que Nicolas Rouger, bénéficiaire de subventions publiques de la ville, est en réalité le fils de l’adjointe à l’action sociale, Jocelyne Gizardin.
Un ancien employé du service de communication de la ville que nous avons pu joindre a témoigné sur cette pratique de censure sur des élus, expliquant que lorsqu’un membre de la majorité, tel que Corinne Azaïs, commet une erreur, « les commentaires sont simplement effacés ou masqués sans la moindre explication ». Cette démarche traduit une concentration du pouvoir entre les mains d’une poignée de personnes.
Plus troublant encore, cet employé a révélé que les élus cherchent régulièrement à communiquer avec le service de communication par le biais de messages privés (Messenger), comme n’importe quel citoyen pourrait le faire, dans l’espoir d’être mis en avant dans les publications. Cependant, il est formellement interdit aux membres du service de communication de la ville de répondre à leurs sollicitations.
Cette situation révèle une dynamique où le service de communication, dirigé par Emmanuel Noirot et supervisé par Véronique Clauwaert, qui a déjà été impliquée dans une affaire de fichage et de censure, semble exercer un pouvoir supérieur à celui des élus. Ceci met en évidence un sérieux problème de communication et de collaboration entre les services municipaux et les représentants élus de la ville.
Des observations ont également suscité des inquiétudes quant aux dépenses publicitaires excessives, au détriment des associations qui ont vu leurs subventions réduites, voire supprimées. Il est troublant de constater qu’environ 300€ par jour sont dépensés en publicité numérique, ce qui semble déconnecté des besoins de la population, d’autant plus que la ville affiche des taux de pauvreté record. Ce sujet sera l’objet d’une enquête approfondie à venir, afin d’éclaircir les dépenses publicitaires de la municipalité de Sète et leur impact sur la communauté locale.
Ces révélations s’inscrivent dans un contexte plus vaste de pratiques discutables au sein de la municipalité de Sète, mettant en évidence le pouvoir quasi absolu de François Commeinhes, qui semble peu enclin à tolérer la divergence d’opinions. Les critiques se font de plus en plus entendre, dénonçant ces méthodes de répression de la population et qualifiant cette censure en ligne comme une « dictature 2.0 ».
La pression sur le maire de Sète pour qu’il revoie ses pratiques et rétablisse la liberté d’expression des citoyens pourrait s’intensifier. Les sétois réclament davantage de transparence et une véritable démocratie, plutôt que de subir une censure et un contrôle de l’information rappelant les régimes totalitaires du passé.
À LIRE AUSSI > HLM de Sète : Un accord secret et une somme astronomique pour le départ de l’ancien directeur
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HLM de Sète : Un accord secret et une somme astronomique pour le départ de l’ancien directeur
Le mystérieux accord de départ de Jean-Paul GIRAL, l’ancien directeur de l’Office Public de Sète Thau Habitat, soulève des questions sur la transparence financière au sein de cette institution publique de la Ville de Sète.
Le départ de Jean-Paul GIRAL, l’ancien directeur général de l’Office Public de Sète Thau Habitat, aurait pu passer inaperçu, mais une convention de rupture controversée signée entre lui et l’Office soulève des inquiétudes quant à la gestion et la transparence financière au sein de cette institution. Ces nouvelles révélations de notre rédaction mettent en lumière des pratiques opaques et soulèvent la question de savoir si les fonds publics ont été utilisés pour acheter le silence de l’ancien directeur.
Le 23 août dernier, le départ de Jean-Paul GIRAL a été officialisé par François Commeinhes, mais les raisons de son départ demeurent mystérieuses. La convention de rupture, que Le Singulier a pu consulter et qui s’étend sur dix pages, comporte des clauses de confidentialité et de non-dénigrement, visant à dissimuler son existence aux médias et aux groupes d’opposition politique.
L’article 8 de cette convention de rupture stipule que « les parties s’engagent à traiter la présente convention, ainsi que tout document, engagement et accord y afférents, comme strictement confidentiels ». De plus, Jean-Paul GIRAL s’engage à garder le silence sur le montant de son indemnité spécifique de rupture et sur les conditions de son départ, sans limitation de durée.
Selon nos informations, Jean-Paul GIRAL a reçu une indemnité de départ de 94 917 € en échange de son silence et de l’absence de dénigrement envers ses anciens collaborateurs. Cette somme apparaît disproportionnée, d’autant plus qu’il aurait été possible de recourir à une simple démission en cas de départ naturel, ou à un licenciement en cas de faute grave. La question qui se pose est : quel est le motif réel de son départ, et quelles informations pourraient être dissimulées par cet accord secret ?
Cette affaire suscite des interrogations quant à la justification d’un tel degré de confidentialité au sein d’une institution financée par des fonds publics, où la transparence devrait être une exigence fondamentale. Les citoyens ont le droit de connaître la manière dont leurs impôts sont utilisés, une notion que le maire de la ville de Sète et président de l’Office semble avoir du mal à appréhender après 22 ans de mandat.
Une nouvelle directrice controversée
Le 15 septembre dernier, le conseil d’administration de l’Office s’est réuni pour nommer la nouvelle directrice générale de l’Office Public de l’Habitat de Sète Thau Habitat, Vanessa LEBEL. Cependant, le choix de François Commeinhes suscite également des questions.
Vanessa LEBEL, qui a débuté sa carrière en tant qu’assistante contentieux à Toulouse Métropole Habitat, puis a occupé le poste de responsable recouvrement chez Promologis pendant de nombreuses années, semble être une spécialiste du contentieux. Selon une ancienne collaboratrice de Promologis que nous avons pu joindre, « ce choix est surprenant », nous confie-t-elle. Elle n’aurait tout simplement pas l’expérience nécessaire pour gérer une telle structure. Le fait qu’une experte en recouvrement soit nommée à un poste de direction au sein d’une institution de logement social suscite des préoccupations quant à la possibilité d’une augmentation des procédures d’expulsion.
De plus, une partie variable de son salaire, incluse dans son contrat, est liée à la réduction de la créance globale. Son salaire de 6 887 € brut mensuel, soit 82 645 € brut annuel, pourrait même atteindre 8 000 € par mois avec cette part variable. Ces chiffres sont considérablement plus élevés que les normes nationales pour des postes similaires et qui pourrait, comme pour son prédécesseur, s’accompagner d’une prime de confidentialité lors de son départ.
Ces événements récents à l’Office Public de l’Habitat de Sète Thau Habitat dessinent une toile de fond préoccupante. Entre les accords de départ clandestins et la nomination d’une nouvelle directrice au profil singulièrement orienté vers le recouvrement, l’avenir du logement social à Sète semble osciller entre ombre et lumière.
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CT
19 mars 2021 at 17 h 00 min
Quelle surprise que ce voyou de maire mal-élu, mal-fichu et incompétent (sauf quand il s’agit de bétonner la ville et enrichir ses potes) encourage de telles pratiques!
Nadège
20 mars 2021 at 2 h 36 min
Bravo au singulier
Vos Investigations c’est du top niveaux .
Monsieur commeihnes toute ma famille vote pour vous .
Alors la depuit qu’on li le singulier c’est fini , ni pour vous et ni pour selui que vous allez soutenir en 2026.
Et votre journal de propagande midi-libre je me suis désabonner.
Vous payerez tôt ou tard le mal que vous avez a tout les sétois
reilles jean claude
20 mars 2021 at 9 h 18 min
pas vraiment surpris,c agissements si sont confirmer sont grave et une complicité collective du cabinet du maire,de son bureau com,des chefs de services,du drh,du directeur général des services technique,du secrétaire géneral. Pour l’absence de son lieu de travail il faut obligatoirement remplir un bordereau avec le motif congés,récupération,rtt et signature du chef de service,ce bordereau un remis a l’agent,un au chef de service et le dernier au service du personnel.
Jean-claude
20 mars 2021 at 21 h 35 min
Sète et une caisse de résonance.
Tout se ses,mais personnes ne dit rien.
J’espère vraiment que la police va s’occuper avec sérieux de cet affaire car un train peut en cacher un autre
POLICE HELP
Victor
21 mars 2021 at 21 h 16 min
Ces que des mariés ces hommes