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Europe

Le prince Harry et Meghan attendent leur deuxième enfant

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Meghan Markle est enceinte de son deuxième enfant avec le prince Harry, a annoncé dimanche soir, jour de la Saint-Valentin, le porte-parole du couple aux médias britanniques.

« Nous pouvons confirmer qu’Archie » le premier fils du Duc et de la Duchesse de Sussex, né en mai 2019, « va être grand frère », a déclaré le porte-parole du couple, qui s’est mis en retrait de la couronne britannique.

« Le Duc et la Duchesse de Sussex sont fous de joie d’attendre leur deuxième enfant », a-t-il ajouté.

La Reine Elizabeth II et son époux le prince Philip, dont Harry est le petit-fils, son père le prince Charles et « toute la famille » royale sont « ravis et leur adressent leur meilleurs voeux de bonheur », selon un porte-parole de Buckingham palace.

Le photographe Misan Harriman, présenté comme un ami de longue date du couple par les médias britanniques, a tweeté une photo en noir et blanc les montrant tout sourire assis au pied d’un arbre, Meghan posant sa main sur son ventre rond.

« Meg, j’étais là à ton mariage pour être témoin de cette histoire d’amour qui commençait, et mon amie, je suis honorée de la voir grandir. Félicitations au Duc et à la Duchesse de Sussex pour cette joyeuse nouvelle ! », a-t-il tweeté.

En novembre, Meghan Markle avait révélé dans une tribune publiée dans le New York Times avoir fait une fausse couche en juillet.

Faire une fausse couche provoque « une immense peine », écrivait-elle. C’est quelque chose qui reste « tabou, couvert d’un sentiment de honte injustifié, perpétuant un cycle de deuil solitaire ». La démarche de partager son expérience avait été saluée par des associations.

Accent américain

L’heureuse nouvelle intervient quelques jours après que Meghan Markle, 39 ans, a gagné son procès contre le tabloïd britannique Daily Mail au sujet de la publication d’une lettre qu’elle avait adressée à son père, avec qui elle est brouillée.

Le prince Harry, 36 ans, sixième dans l’ordre de succession à la couronne britannique, a dénoncé à de multiples reprises la pression des médias sur son couple et en a fait la raison principale de sa mise en retrait de la famille royale, effective depuis avril 2020.

L’ex-actrice américaine et le fils de Diana, morte pourchassée par des paparazzis en 1997 à Paris se sont depuis installés en Californie. Harry et Meghan avaient aussi invoqué leur désir d’indépendance financière. Ils ont tous deux conclu plusieurs contrats avec des plateformes de contenus, parmi lesquelles le géant américain Netflix.

Des critiques leur ont reproché de chercher à tirer profit de leur appartenance à la famille royale et de leur célébrité tout en refusant d’en assumer les aspects protocolaires.

Le couple a lui mis en avant sa volonté d’œuvrer pour des causes humanitaires via leur nouvelle fondation, Archwell, nom inspiré de celui de leur fils.

Ils ont aussi lancé un podcast, dans lequel Archie, septième dans l’ordre de succession à la couronne britannique, s’est adressé pour la première fois au public, révélant au grand dam des médias britanniques que l’enfant a un accent américain.

Déjà il y a quelques jours, la famille royale britannique s’est agrandie avec la naissance du fils de la princesse Eugénie, petite-fille de la reine Elizabeth II.

L’enfant, dont le nom n’a pas été dévoilé, se situe à la 11e place dans l’ordre de succession de la reine. Il s’agit du neuvième arrière-petit-enfant de la souveraine.

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Europe

Le Danemark adopte une loi interdisant les autodafés du Coran

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Le Danemark adopte une loi interdisant les autodafés du Coran

Cette loi entend enrayer la vague de profanations de livres saints, observée ces derniers mois au Danemark et en Suède notamment.

Le Parlement danois a adopté jeudi une loi criminalisant les « traitements inappropriés » de textes ayant une signification religieuse importante, interdisant de facto les autodafés du Coran, après des profanations du livre saint de l’islam qui ont entraîné des tensions dans plusieurs pays musulmans pendant l’été. À l’issue d’un débat de près de quatre heures, le texte a été adopté en troisième lecture par 94 des 179 membres du Parlement.

Concrètement, il sera désormais interdit de brûler, souiller ou de donner des coups de pied publiquement sur des textes religieux ou dans le but de diffuser largement les images des profanations. Il sera également interdit de les déchirer, les couper ou les poignarder. Tout contrevenant s’expose à une peine de deux ans d’emprisonnement.

Pour le gouvernement danois, dont aucun représentant ne s’est exprimé lors du débat parlementaire, il s’agit avant tout de protéger les intérêts et la sécurité nationale du pays scandinave.

Le Danemark et son voisin suédois ont récemment cristallisé la colère au sein de pays musulmans. En Irak par exemple, des centaines de manifestants partisans de l’influent leader religieux Moqtada Sadr ont tenté fin juillet de marcher en direction de l’ambassade danoise à Bagdad.

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Culture

Une présentatrice de la BBC fait un doigt d’honneur en ouverture de journal

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Une présentatrice de la BBC fait un doigt d’honneur en ouverture de journal

La journaliste Maryam Moshiri raconte avoir été prise par surprise en pleine plaisanterie avec l’équipe du journal. Sur les réseaux sociaux, elle présente ses excuses.

Un dérapage d’une seconde, mais un moment mémorable pour les téléspectateurs de BBC News. Alors que s’achevait le générique de lancement du journal de 13 heures, mercredi 6 décembre, ils ont eu la drôle de surprise de tomber nez à nez avec la présentatrice Maryam Moshiri, sourire aux lèvres et doigt d’honneur à la main. Visiblement surprise par l’arrivée soudaine de la prise d’antenne, la journaliste a rapidement repris une expression de circonstance avant de se lancer dans son journal, mais le mal était fait.

La séquence, partagée sur les réseaux sociaux, atteint rapidement les centaines de milliers de vues, certains internautes dénonçant ce comportement (et l’ensemble de la BBC au passage) quand d’autres notent le fait que les premières images du journal concernent les excuses de Boris Johnson aux victimes du Covid-19 dans l’enquête publique sur la gestion de la pandémie au Royaume-Uni.

Il faudra attendre le lendemain pour obtenir une réaction de la part de la journaliste. Sur son compte X (anciennement Twitter), Maryam Moshiri présente ses excuses et apporte quelques éléments de contexte à ce raté insolite. « Hier (mercredi, NDLR), juste avant le début du journal de 13 heures, je plaisantais avec l’équipe en studio, raconte-t-elle. Je mimais un décompte pendant que le réalisateur me donnait le compte à rebours de 10 à 0 avec les doigts pour me montrer les chiffres. Quand nous sommes arrivés à 13 heures pile, j’ai retourné le doigt pour plaisanter et je n’ai pas réalisé que cela serait filmé ».

Face aux réactions nombreuses, la journaliste déclare être désolée. « C’était une blague privée avec l’équipe, explique-t-elle, et je suis vraiment désolée qu’elle ait été diffusée ! Ce n’était pas mon intention que cela se produise et je suis désolée si j’ai offensé ou contrarié quelqu’un. Je n’étais pas vraiment en train de “faire un doigt” aux téléspectateurs ou même à une personne. C’était une blague idiote destinée à un petit nombre de mes amis. »

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Europe

La Cour européenne des droits de l’homme ouvre une procédure contre la France pour « acte de torture »

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La Cour européenne des droits de l’homme ouvre une procédure contre la France pour "acte de torture"

La Cour européenne des droits de l’homme examine le cas de Laurent Théron, éborgné lors d’une manifestation en 2016.

La Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) a pris une mesure sans précédent en ouvrant une procédure à l’encontre de la France pour ce qui est qualifié d' »acte de torture » ou de « traitements inhumains et dégradants » à l’encontre d’un manifestant blessé lors d’une manifestation contre la loi travail en 2016.

Cette décision intervient après sept années de combat judiciaire dans l’affaire Laurent Théron. Le manifestant avait perdu l’usage de son œil droit le 15 septembre 2016, lorsqu’il avait été atteint au visage par l’explosion d’une grenade à main de désencerclement tirée par un CRS lors de la manifestation. Le brigadier-chef responsable du tir avait été renvoyé devant la cour d’assises de Paris, mais avait été acquitté le 14 décembre 2022 au motif de la légitime défense, malgré l’absence de réel danger.

Les avocats de Laurent Théron, Mes Céline Moreau, Olivier Peter et Lucie Simon, ont exprimé leur satisfaction face à l’ouverture de cette procédure par la CEDH. Ils ont souligné que cette décision pourrait avoir un impact significatif sur d’autres enquêtes en cours concernant des manifestants blessés, notamment lors du mouvement des Gilets jaunes. Cette affaire soulève des questions cruciales sur la responsabilité de l’État français dans la protection des droits des manifestants, en particulier face à l’utilisation excessive de la force.

La CEDH, basée à Strasbourg, a communiqué au gouvernement français deux questions essentielles : le requérant a-t-il été « victime de traitements contraires à l’article 3 de la Convention européenne des droits de l’homme », qui prohibe la torture et les traitements inhumains et dégradants ? De plus, « l’enquête menée en l’espèce par les autorités internes a-t-elle satisfait aux exigences de l’article 3 de la Convention » ?

Cette procédure devrait prendre plusieurs mois, mais elle suscite déjà un débat important sur la question de la protection des droits des manifestants en France et l’application de la législation en matière de maintien de l’ordre.

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