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Société

Coupe du monde féminine de foot : Tout ce qu’il faut savoir…

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Coupe du monde féminine de foot : Tout ce qu’il faut savoir...

La Coupe du monde féminine débute ce jeudi 20 juillet en Australie et en Nouvelle-Zélande. Les Bleues, avec leur nouvel entraîneur Hervé Renard, espèrent réaliser un beau parcours.

Les meilleures joueuses du monde ont rendez-vous en Australie et en Nouvelle-Zélande. La Coupe du monde féminine de foot démarre ce jeudi 20 juillet au matin (jusqu’au 20 août), avec le match d’ouverture entre les Néo-Zélandaises et les Norvégiennes, à 9h heure française. Le foot féminin, qui a profité d’un spectaculaire élan dans la foulée du Mondial 2019 en France, espère poursuivre son expansion.

Les horaires des matches, qui seront diffusés de 3h à 14h30 en Europe en raison du décalage horaire, font cependant peser l’incertitude sur les audiences télévisuelles. L’absence de nombreuses stars, blessées ou non-qualifiées (la gardienne chilienne Endler, les Françaises Henry et Katoto…), est également à déplorer.

Mais jamais, le plateau de la Coupe du monde féminine n’a semblé aussi dense et ouvert. Les Américaines, doubles tenantes du titre, devront cravacher pour conserver leur bien face à des Anglaises, Allemandes, Espagnoles, Canadiennes ou encore Françaises surmotivées. Les 32 équipes qualifiées seront réparties dans huit groupes de quatre lors du premier tour. Voici tout ce qu’il faut savoir sur cette édition 2023.

Quand et où regarder la compétition ?

Avec le décalage horaire, les matches se dérouleront dans la matinée, à midi ou en début d’après-midi en France (de 3h à 14h30). Le coup d’envoi du mach d’ouverture entre la Nouvelle-Zélande et la Norvège se déroulera par exemple jeudi 20 juillet à 9h heure française. Les championnes du monde américaines vont elles entrer en lice contre le Viêtnam à 3h du matin heure française. Les demi-finales, les 15 et 16 août prochains, se joueront à 10h et 12h heure française. La finale, le 20 août, aura lieu à 12h heure française.

Ces horaires du matin ne devraient donc pas permettre aux chaînes françaises d’enregistrer des records d’audience, comme lors du Mondial 2019 en France. Les rencontres de la compétition seront diffusées sur France Télévisions et M6, qui se partageront les rencontres. Le match d’ouverture Nouvelle-Zélande – Norvège sera par exemple sur France 2. L’entrée en lice des Bleues, contre la Jamaïque, sera retransmise à midi sur M6.

Les deux chaînes se répartiront ensuite les rencontres à partir des huitièmes de finale. Le match pour la 3e place sera sur M6, tandis que la finale sera sur France Télévisions.

Qui sont les favorites ?

Les États-Unis, tenantes du titre, font évidemment figure de favorites pour remporter un troisième titre d’affilée. Les coéquipières de la star Megan Rapinoe, qui prendra sa retraite en fin de saison, passeront un gros test dès les phases de poules face aux Pays-Bas, finalistes il y a quatre ans. L’Angleterre, championne d’Europe en titre, est également un sérieux prétendant à la victoire finale. Mais les Anglaises seront privées de leur meilleure joueuse, Beath Mead, blessée à un genou. L’Allemagne, finaliste de l’Euro, fait aussi partie des favoris, tout comme les Canadiennes, championnes olympiques en titre.

Le chemin semble plus compliqué pour l’Espagne, qui peut compter sur sa star et Ballon d’Or Alexia Putellas mais qui déplore l’absence de nombreuses joueuses, en conflit ouvert avec leur fédération et leur sélectionneur. Les Néerlandaises, finalistes du dernier Mondial, seront de sérieux outsiders. Enfin, l’Australie peut compter sur sa star Sam Kerr, célèbre pour être l’un des visages du jeu vidéo Fifa, pour aller loin à domicile.

Quelles chances pour les Bleues ?

Selon un sondage réalisé par Odoxa pour Winamax et RTL, 69% des Français voient l’équipe de France féminine arriver au moins en demi-finale. Ce serait en tout cas une belle performance pour un groupe qui a vécu des derniers mois extrêmement pénibles. Hervé Renard a succédé fin mars à Corinne Diacre, contestée par ses joueuses et dont la position était devenue intenable. Le sélectionneur devra réaliser des prouesses s’il veut emmener les Bleues, dont le palmarès reste désespérément vierge, vers un titre mondial. Les Françaises bénéficient d’un groupe abordable, avec le Brésil comme seul rival ainsi que les « petites » Jamaïque et Panama.

Les Bleues, battues 1-0 par l’Australie lors de leur dernier match amical, devront surtout trouver une alchimie en l’absence de plusieurs joueuses cadres. Quatre titulaires seront absentes pour blessures : la défenseure centrale Griedge Mbock (OL), les milieux Delphine Cascarino (OL) et Amandine Henry (Angel City), ainsi que l’avant-centre vedette Marie-Antoinette Katoto (PSG).

L’attaquante Kadidiatou Diani, qui devrait bientôt signer à l’OL suite à la fin de son contrat avec le PSG, est elle en quête de rythme après avoir manqué trois mois de compétitions pour une blessure à une épaule. Selma Bacha, titulaire à la gauche de l’attaque française, s’est elle tordue la cheville gauche vendredi dernier. La Lyonnaise devrait manquer les deux premiers matches de poules. Le staff des Bleues va donc prier pour que les blessures épargnent, enfin, les joueuses tricolores.

Le programme des Bleues au premier tour :

France – Jamaïque, dimanche 23 juillet (12h), M6
France – Brésil, samedi 29 juillet (12h), France TV
France – Panama, mercredi 2 août (12h), France TV

Faits Divers

Disparition de Lina : une «opération coordonnée d’envergure» est en cours

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Disparition de Lina : une «opération coordonnée d’envergure» est en cours

Les enquêteurs intensifient leurs efforts suite à la mystérieuse disparition de l’adolescente de 15 ans.

La disparition inquiétante de Lina, 15 ans, mobilise fortement les forces de l’ordre. Dans le cadre de l’enquête en cours, une « opération coordonnée d’envergure » a été lancée, comme l’a révélé la procureure de Saverne, Aline Clérot, dans un communiqué ce vendredi 29 septembre.

L’opération, focalisée sur « plusieurs points de la zone potentielle de disparition de Lina » dans le Bas-Rhin, vise à vérifier des « informations utiles à l’enquête ». Elle est conjointement menée par la section de recherches de Strasbourg et le groupement de gendarmerie du Bas-Rhin. Soucieuse de l’intégrité de l’enquête, la procureure « en appelle à la retenue et à la civilité de chacun ».

Sur les lieux, un véhicule stationné dans le village de Bellefosse, proche du lieu supposé de la disparition de l’adolescente, a été minutieusement examiné. Curieusement, « cette zone n’avait pas fait l’objet d’un ratissage jusqu’à présent ». Des prélèvements d’ADN ont été effectués sur la voiture, mais les riverains interrogés n’ont pu fournir d’informations pertinentes sur les occupants de la maison devant laquelle elle était garée.

Rappelons que Lina a disparu samedi dernier en se dirigeant vers la gare de Saint-Blaise-la-Roche, un trajet qu’elle effectuait régulièrement. Entre 11h15 et 11h30, deux témoignages confirment l’avoir aperçue sur le chemin menant à la gare. Elle devait y prendre un train en direction de Strasbourg pour rejoindre son petit ami. Son téléphone, encore introuvable, a été localisé pour la dernière fois à 11h22.

Lors d’une conférence de presse mardi, la procureure avait affirmé qu' »aucune piste » n’était exclue. Malgré plusieurs recherches approfondies et le sondage de points d’eau, aucune trace probante n’a été trouvée.

Lina, entrée cette année en CAP aide à la personne près de Saint-Blaise-la-Roche, vit dans une famille recomposée suite à la séparation de ses parents. Elle est la fille unique d’une mère infirmière. La communauté locale, tout comme la famille de l’adolescente, attend anxieusement des nouvelles.

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France

Justice : Éric Zemmour condamné à 4 000 euros d’amende pour injure homophobe

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Justice : Éric Zemmour condamné à 4 000 euros d'amende pour injure homophobe

Le polémiste et homme politique reconnu coupable pour ses propos controversés sur CNews.

Éric Zemmour, le célèbre polémiste et actuel président du parti Reconquête !, a été condamné aujourd’hui à une amende de 4 000 euros pour avoir proféré des injures homophobes lors d’une apparition sur CNews en octobre 2019. Cette décision judiciaire survient alors que Zemmour envisageait une nouvelle candidature à la présidentielle française.

La condamnation fait suite à une plainte déposée par l’association Stop homophobie, suite aux commentaires controversés tenus par Zemmour lors de son passage dans l’émission « Face à l’info » animée par Christine Kelly, qui avait pour thème la « Procréation médicalement assistée : un progrès ? ». L’émission était diffusée au moment où l’Assemblée nationale débattait d’un projet de loi visant à élargir l’accès à la PMA (Procréation Médicalement Assistée) aux couples de femmes et aux femmes célibataires.

Au cours de cet épisode, Éric Zemmour avait vivement critiqué ces avancées législatives en affirmant : « On a des caprices d’une petite minorité qui tient la main sur l’État et qui l’asservit à son profit et qui va d’abord désagréger la société, parce qu’on va avoir des enfants sans père et je viens de vous dire que c’est une catastrophe et, deuxièmement, qui va faire payer ses caprices par tous les autres Français. »

Cette déclaration avait suscité l’indignation au sein de la communauté LGBTQ+ ainsi que parmi de nombreux défenseurs des droits humains. L’association Stop homophobie avait donc engagé des poursuites judiciaires contre Éric Zemmour et le directeur de publication de CNews, Serge Nedjar.

Le tribunal a rendu son verdict aujourd’hui, condamnant Éric Zemmour à une amende de 4 000 euros pour injure homophobe, tandis que le directeur de publication Serge Nedjar a écopé d’une amende similaire, dont 2 000 euros avec sursis. L’avocat d’Éric Zemmour, Me Olivier Pardo, a immédiatement annoncé qu’ils feraient appel de cette décision.

L’affaire met en lumière les débats houleux et souvent polarisés qui entourent les questions relatives aux droits LGBTQ+ en France, et souligne l’importance du respect des principes de non-discrimination et de tolérance dans la société française contemporaine.

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France

Disparition de Lina, 15 ans : ce que l’on sait de la disparition inquiétante

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Disparition de Lina, 15 ans : ce que l'on sait de la disparition inquiétante

L’adolescente de 15 ans a disparu en se rendant à la gare samedi matin, la communauté se mobilise pour les recherches.

Une inquiétude grandissante règne dans la petite commune de Saint-Blaise-la-Roche, située à environ 60 kilomètres de Strasbourg, suite à la mystérieuse disparition de Lina, une adolescente de 15 ans. Elle n’a plus donné signe de vie depuis samedi matin alors qu’elle se rendait à la gare la plus proche pour rejoindre son petit ami. Malgré les efforts des autorités, la jeune fille demeure introuvable, suscitant une vague de solidarité au sein de la communauté locale.

La tragique histoire a débuté samedi dernier lorsque Lina a quitté son domicile à Plaine, une petite localité nichée dans la vallée de la Bruche, aux alentours de 11 heures. Son but était de se rendre à la gare de Saint-Blaise-la-Roche, distante de seulement trois kilomètres, pour prendre un train à destination de Strasbourg, où elle devait retrouver son petit ami. Cependant, elle n’est jamais arrivée à la gare, ce qui a immédiatement suscité l’alarme de sa famille et de son petit ami.

La gendarmerie a été alertée de la disparition vers 14 heures le même jour, et depuis lors, une enquête pour disparition inquiétante a été ouverte et est désormais pilotée par le parquet de Saverne. Les recherches ont débuté immédiatement, avec l’aide d’une équipe cynophile et d’un hélicoptère, mais malgré ces efforts, Lina reste introuvable.

L’appel à témoins lancé par la gendarmerie décrit Lina comme une adolescente de 15 ans, mesurant environ 1m60, aux cheveux blonds mi-longs. Le jour de sa disparition, elle portait une robe grise, une doudoune blanche et des chaussures Converse blanches. Bien que la gendarmerie n’ait pas encore diffusé de portrait officiel de la jeune fille, ils renvoient vers un appel publié sur la page Facebook « Info Trafic Bas-Rhin » pour toute information utile.

Les recherches se sont intensifiées au fil des jours, avec des opérations de ratissage menées avec le soutien de la communauté locale. Lundi, plus de cent volontaires se sont mobilisés pour une battue citoyenne, répondant à l’appel émouvant de la famille de Lina. Parallèlement, des vérifications téléphoniques ont été ordonnées par le parquet pour tenter de retracer les derniers mouvements de la jeune fille.

Jusqu’à présent, aucune piste n’est privilégiée dans l’enquête, et les autorités restent perplexes face à cette disparition inexpliquée. La procureure de Saverne souligne que Lina n’a pas de passé de fugue et que sa famille ne présente pas de problèmes particuliers.

Mardi matin, les recherches ont repris avec une nouvelle battue citoyenne, encadrée par des gendarmes, ainsi que des opérations de recherche opérationnelles, mobilisant plus de trente gendarmes et un chien Saint-Hubert. Une conférence de presse de la procureure de Saverne est prévue pour 17 heures, où l’on espère obtenir de nouvelles informations cruciales pour retrouver Lina et mettre fin à cette inquiétante disparition qui a touché la communauté locale de Saint-Blaise-la-Roche.

La mère de la jeune fille a également exprimé sa gratitude envers la gendarmerie et toutes les personnes qui se sont engagées dans les recherches, lançant un appel poignant pour le retour de sa fille bien-aimée.

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