Nous rejoindre sur les réseaux

Politique

Macron envisagerait-il un nouveau coup de force institutionnel ? L’Élysée ferme la porte

Article

le

Selon des sources étrangères, le président français réfléchirait à une dissolution anticipée. L’entourage présidentiel balaie ces spéculations.

La perspective d’une nouvelle dissolution de l’Assemblée nationale refait surface dans les couloirs du pouvoir. Un média international avance que l’exécutif étudierait cette option pour sortir de l’impasse parlementaire, notamment face aux difficultés prévisibles autour du budget 2026. L’hypothèse d’un scrutin anticipé dès l’automne 2025 aurait été évoquée en interne, selon ces informations.

Cependant, l’entourage du chef de l’État dément catégoriquement. Les services de l’Élysée qualifient ces rumeurs de « fantaisistes », soulignant qu’aucune décision n’a été arrêtée. Juridiquement, une dissolution redevient possible dès juillet 2025, un an après les dernières législatives. Mais politiquement, l’opération semble risquée. La précédente tentative, en juin 2024, avait exacerbé les tensions et conduit à une motion de censure contre le gouvernement en place.

Emmanuel Macron lui-même avait reconnu les limites de cette stratégie lors de ses vœux de fin d’année, admettant que la manœuvre avait davantage complexifié le paysage politique qu’elle n’avait apporté de stabilité. En l’absence d’une nouvelle dissolution, le prochain rendez-vous électoral pour les députés interviendrait en 2029, selon le calendrier institutionnel normal. Entre-temps, l’exécutif devra composer avec une assemblée fragmentée, où chaque texte nécessite des alliances au cas par cas.

Click to comment

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Les + Lus