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Départementales – Canton de Mèze : Audrey Imbert et Christophe Morgo largement élus

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Les résultats définitifs des élections départementales pour le canton de Mèze sont tombés. Audrey Imbert et Christophe Morgo sont largement élus. À noter que ces élections ont connu une abstention très importante.

Ce dimanche, se déroulait le second tour des élections départementales et régionales. Sur le canton de Mèze, ce sont Audrey Imbert et Christophe Morgo qui sont élus avec 69,57 %, soit 7 571 votes. Le binôme Delapierre-Teyssot a quant à lui obtenu un score de 3 311 votes, soit 30,43 % des suffrages. Sur le second tour, l’absentéisme s’élève à 67,11 %.

Imbert-Morgo largement élus 

Audrey Imbert et Christophe Morgo, fraîchement élus conseillers départementaux sur le canton de Mèze, réagissent : « On est très content d’être sortis vainqueurs de ces élections avec quasiment 70 %. Cela marque aussi le recul du Rassemblement National qui sortait, lors des dernières élections, avec de nombreuses voix. Évidemment, l’abstentionnisme est dommageable et on espère que l’on arrivera de nouveau à mobiliser les gens sur les futures élections. Ce résultat est le fruit d’un important travail de terrain entre les deux tours, et même durant l’ensemble de notre campagne. Nous sommes des élus de terrain. »

Le binôme élu au département ajoute : « Les raisons de cette abstention sont multiples. Le fait qu’elles se déroulent en juin, au sortir du confinement, les gens partent en week-end, la semaine dernière, il y avait la fête des pères. Tous ces facteurs font que les gens ne se déplacent pas pour aller voter et c’est à nous, élus de mobiliser l’électorat. »

Le binôme prendra ses fonctions le 1er juillet lors d’une session départementale.

« Le principal responsable de l’abstention, c’est le gouvernement »

Selon Cédric Delapierre, le taux d’abstention très élevé résulte d’une faute du gouvernement. Il explique : « Ce qu’on regrette énormément, c’est l’absentéisme. On remarque d’importants dysfonctionnements au niveau de l’état, notamment au niveau des professions de foi qui ne sont pas arrivées en totalité sur tout le territoire, que ce soit pour les départementales ou également sur les régionales. Je considère qu’aujourd’hui, le principal responsable de l’abstention, c’est le gouvernement d’Emmanuel Macron. C’est la première fois que pour une élection générale, il n’y a pas de spot à la télévision. »

Pour ce qui est des résultats, il affirme : « On a une progression sur la ville de Mèze, puisqu’on obtient 36 % des voix contre seulement 5 % pour la liste soutenue par le RN lors des dernières municipales. Malheureusement, je pense que l’abstention nous a beaucoup pénalisé. Nous défendons un électorat populaire qui est resté chez lui. Toutefois, le RN a tout de même fait un score correct sur le canton et c’est de bonne augure pour les prochaines échéances électorales. »

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Bouzigues

Crise politique à Bouzigues : Le budget municipal rejeté une seconde fois

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Bouzigues en ébullition : crise municipale sans précédent autour du maire, Cédric Raja

C’est une impasse totale à Bouzigues, le maire Cédric Raja se heurte toujours à une majorité profondément divisée, le budget municipal ayant été rejeté pour la deuxième fois.

La crise politique à Bouzigues s’aggrave alors que la majorité municipale a rejeté pour la deuxième fois le budget proposé par le maire Cédric Raja, avec un vote de 6 pour, 8 contre et 5 abstentions, lors de la séance du conseil municipal tenue hier soir.

Ce nouvel échec, survenu ce lundi 29 janvier 2024, marque une étape critique dans le conflit politique qui secoue la ville depuis le rejet initial du budget le 19 décembre 2023. La décision de la majorité municipale révèle une fracture profonde au sein du camp de Cédric Raja, avec une opposition croissante à sa gestion de la municipalité.

Le maire, déjà en difficulté après le premier rejet du budget, se retrouve désormais dans une situation encore plus instable. Ce second refus accentue les divisions internes et suscite des interrogations quant à la capacité de la mairie à opérer efficacement. Les tensions paraissent s’être intensifiées, malgré la période d’un mois écoulée depuis le rejet initial du budget, qui aurait dû permettre de résoudre la situation.

Pour rappel, l’origine de cette crise est attribuée à ce que beaucoup considèrent comme une gestion autoritaire et un manque de transparence de la part du maire. Ces problèmes ont conduit à une perte de confiance de nombreux élus envers leur leader, ce qui se reflète dans les résultats du vote.

Avec le budget municipal rejeté une seconde fois, la ville de Bouzigues se retrouve dans une situation de paralysie administrative. Sans un budget approuvé, les services essentiels et les projets d’investissement sont en suspens, créant une incertitude parmi les habitants et les acteurs locaux.

Cette situation sans précédent à Bouzigues attire l’attention sur les défis auxquels les administrations locales peuvent être confrontées dans la gestion des différences internes, et souligne l’importance de la collaboration et de la transparence en politique municipale. Les prochains jours seront cruciaux pour déterminer l’avenir politique de Cédric Raja et la direction de Bouzigues.

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Coup de tonnerre à Bouzigues : le budget refusé, Cédric Raja explose en plein vol !

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Coup de tonnerre à Bouzigues : le budget refusé, Cédric Raja explose en plein vol !

Le maire de Bouzigues, Cédric Raja, s’est retrouvé ultra minoritaire ce soir. Dix élus de sa majorité ont voté contre le budget, entraînant son rejet. Cédric Raja semble proche de la sortie.

La commune de Bouzigues a été secouée par un événement politique majeur ce soir lors du conseil municipal. Pendant une séance du conseil municipal particulièrement tendue, le maire Cédric Raja a subi un revers cuisant avec le rejet de son projet de budget pour l’année 2024. Le vote s’est soldé par 10 voix contre et seulement 5 en faveur, un résultat surprenant surtout en l’absence de l’opposition, qui avait choisi de boycotter le conseil municipal et qui n’a pas pris part au vote.

Le rejet du budget met en lumière des divisions profondes au sein de la municipalité, des tensions que nous avions déjà évoquées dans un article récent (lire ici). Cédric Raja et ses derniers partisans avaient alors réfuté ces affirmations, les qualifiant de « fausses informations ». La crise politique, loin de se dissiper, apparaît donc bel et bien réelle à Bouzigues.

La gestion autoritaire et le manque de transparence du maire sont devenus des points de friction majeurs au sein de sa propre majorité, et il semble que de nombreux élus de son camp aient choisi de marquer leur désaccord en rejetant le budget proposé.

Maintenant que le budget a été rejeté, Cédric Raja est confronté à un dilemme délicat. Il pourrait choisir de revoir sa stratégie et de collaborer davantage avec les membres de sa majorité opposés à son approche actuelle. Dans ce cas, il pourrait présenter une version amendée du budget pour un second vote au conseil municipal dans les prochaine semaines.

Cependant, s’il persiste dans son attitude actuelle, la commune pourrait être confrontée à un blocage, le préfet étant alors autorisé à valider le budget en son nom. En fin de compte, la préfecture pourrait également prendre le contrôle des affaires courantes de la commune, en attendant de nouvelles élections.

La crise politique à Bouzigues est loin d’être résolue, et la suite des événements promet d’être cruciale pour l’avenir de la commune. Les habitants de Bouzigues attendent avec impatience de voir comment le maire et le conseil municipal résoudront cette situation complexe.

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Revivez la semaine des 350 ans de la Ville de Sète

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Revivez la semaine des 350 ans de la Ville de Sète
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La semaine des 350 ans de la Ville de Sète a été marquée par une série de révélations et de rebondissements qui ont secoué le paysage politique local. Voici un résumé des événements marquants de cette semaine chargée, présentés par notre rédaction.

1.Affaire mystérieuse autour du directeur des HLM de Sète :

L’accord de départ mystérieux de Jean-Paul GIRAL, ancien directeur de l’Office Public de Sète Thau Habitat, a soulevé des questions troublantes concernant la transparence financière au sein de cette institution publique. Les détails de cet accord intriguent la communauté locale.

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2.Pratiques de censure sur les réseaux sociaux :

Une enquête de notre rédaction révèle des pratiques de censure sur les réseaux sociaux de la ville de Sète, laissant les citoyens privés de leur droit à la liberté d’expression. Cette révélation remet en question la transparence de l’administration locale et suscite des inquiétudes quant à la communication publique.

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3.Tensions au Conseil Municipal à Sète :

Un coup de théâtre au Conseil Municipal de la ville de Sète, où deux élus ont quitté la séance, accusant François Commeinhes d’espionnage. Les dissensions politiques et les allégations explosives ont ébranlé la scène politique locale.

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4.Désaveu du président de Sète Agglopôle :

Au sein de Sète Agglopôle, le président fait face à un désaveu notable malgré les vents contraires. François Commeinhes peut néanmoins compter sur le soutien indéfectible du maire de Frontignan, Michel Arrouy, dans un contexte politique tendu.

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5.L’Ombre de François Commeinhes sur Bouzigues :

La crise politique secouant le paisible village de Bouzigues est marquée par des accusations de clientélisme, des divisions au sein de la majorité, et une opposition qui semble ne pas être à la hauteur. L’influence de François Commeinhes plane sur cette situation complexe.

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