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Sports – L1: l’OM oublie Nice et surclasse Saint-Etienne

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Enthousiaste et offensif, porté par l’atmosphère exceptionnelle du Stade Vélodrome et la réussite de ses recrues Guendouzi, Gerson ou Ünder, l’OM a laissé derrière lui les incidents de Nice et a nettement battu Saint-Etienne (3-1) samedi lors de la 4e journée de Ligue 1.

Le public marseillais a plus d’un an d’absence au stade à rattraper et il a aussi du stock de fumigènes, de pétards et de bombes agricoles. Alors l’odeur de fumée piquait encore le nez et la visibilité était toujours réduite quand le match est parti fort d’entrée avec deux grosses occasions en deux minutes, pour Bouanga côté Verts, puis Rongier pour l’OM.

« Direction, staff et joueurs: fiers de vous »: quelques banderoles avaient aussi été déployées pour rappeler le triste chaos de Nice la semaine dernière, mais comme ils l’avaient promis pendant la semaine, les Marseillais avaient la tête au football.

Positionnés en 3-4-3, avec Valentin Rongier plutôt que Pape Gueye et Boubacar Kamara en sentinelle traditionnelle plutôt qu’en hybride milieu-latéral droit, les joueurs de Jorge Sampaoli sont bien rentrés dans le match et en ont été récompensés par l’ouverture du score signée Guendouzi (1-0, 23e).

Jeudi, l’ancien capitaine de l’équipe de France Espoirs avait plaisanté en racontant comment il avait mis son premier ballon de but marseillais « derrière la tribune » contre Bordeaux. Cette fois, il a placé sa frappe du droit à ras de terre dans le petit filet d’Etienne Green, après un beau mouvement Payet-Under-De la Fuente.

Dominateurs, avec notamment une frappe de Mattéo Guendouzi sur le poteau (39e), et pas particulièrement menacés, les Marseillais ont tout de même cédé ensuite sur une tête de Timothée Kolodziejczak après un corner remarquablement frappé par Adil Aouchiche (1-1, 32e).

Under dans tous les coups

Le résultat était assez bien payé à la pause pour des Verts alors très inoffensifs et l’OM a logiquement repris l’avantage par Gerson, auteur comme Guendouzi de son premier but marseillais avec une frappe sous la barre pleine de sang-froid (51e).

Guendouzi puis Gerson: les deux premiers buts ont rappelé que le système de Sampaoli et l’absence d’avant-centre offraient aux milieux de terrain la possibilité de venir voir dans la surface adverse ce qu’ils peuvent y glaner.

Le retour d’Arkadiusz Milik, présent en tribunes samedi aux côtés de Frank McCourt et Pablo Longoria, fera tout de même du bien, mais même sans N.9, l’OM penche franchement et avec gourmandise vers l’avant et il ne s’est pas endormi sur son avantage d’un but.

Alors que Steve Mandanda a confirmé sa montée en puissance avec plusieurs arrêts importants, les Olympiens ont continué à chercher le KO et l’ont obtenu, un peu par hasard, sur un ballon perdu par les Stéphanois et arrivé jusqu’à Cengiz Ünder, buteur d’une jolie frappe enroulée du gauche (68e).

Impliqué sur les trois buts, le Turc réussit un bon début de saison, à l’image de son équipe, qui a pris sept points en trois matches. Le quatrième n’est pas encore fini, c’est celui de Nice, et il doit se conclure devant les instances.

D’ici la prochaine rencontre le 11 septembre à Monaco, l’OM aura fini un mercato qui pourrait être encore actif d’ici mardi soir et aura enregistré les décisions de la commission de discipline attendues le 8 septembre. En attendant, il est provisoirement remonté samedi à la 5e place et a déjà posé quelques bases.

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JO d’hiver 2030 : les Alpes françaises, seule candidature retenue

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JO d'hiver 2030 : les Alpes françaises, seule candidature retenue

La France est en passe d’organiser les Jeux olympiques d’hiver en 2030. Le CIO a écarté les autres candidatures en lice.

Les Alpes françaises sont en excellente position pour accueillir les Jeux olympiques d’hiver 2030, devenant ainsi la quatrième ville hôte de cet événement emblématique. Le Comité international olympique (CIO) a annoncé aujourd’hui que la France est la seule candidature retenue, marquant ainsi un moment historique dans l’histoire des Jeux olympiques d’hiver.

Le projet olympique, porté conjointement par les deux régions françaises d’Auvergne – Rhône-Alpes et Provence-Alpes-Côte d’Azur, a réussi à convaincre la commission exécutive du CIO grâce à son dossier de candidature solide et à une présentation convaincante lors du grand oral de 45 minutes. Cette décision fait suite à des mois de préparation et de compétition intense entre plusieurs nations aspirantes à l’accueil des Jeux olympiques d’hiver 2030.

La France a une longue histoire de réussite dans l’organisation des Jeux olympiques d’hiver, avec des précédents à Chamonix en 1924, Grenoble en 1968 et Albertville en 1992. Le choix des Alpes françaises comme hôte des Jeux olympiques d’hiver 2030 est le fruit d’un projet ambitieux qui met en avant 95 % de sites existants, de Nice au Grand-Bornand, en passant par Courchevel Méribel, Val d’Isère et La Clusaz.

Malgré une concurrence sérieuse de la part de la Suède et de la Suisse, la France a réussi à l’emporter grâce à la qualité de son dossier de candidature et à la solidité de son projet. Les Scandinaves avaient précédemment candidaté pour les Jeux olympiques d’hiver 2026, qui finiront par se dérouler à Milan-Cortina d’Ampezzo en Italie. Cependant, face à la puissance et à la tradition des sports d’hiver en France, ces deux pays ont été contraints d’abandonner leur candidature.

La décision finale concernant l’attribution des Jeux olympiques d’hiver 2030 sera officialisée en juillet 2024 lors de la session du CIO à Paris, juste avant le début des Jeux Olympiques d’été. Si tout se passe comme prévu, les amoureux du sport du monde entier auront rendez-vous dans les Alpes françaises pour une nouvelle olympiade hivernale mémorable en 2030.

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Paris 2024 : « On ne va pas être prêts », selon Anne Hidalgo

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Paris 2024 : « On ne va pas être prêts », selon Anne Hidalgo

Dans l’émission « Quotidien », la maire de Paris a annoncé mercredi du retard dans la préparation des JO 2024 à Paris d’un point de vue des transports en commun.

Alors que Paris se prépare à accueillir les Jeux Olympiques et Paralympiques en 2024, la maire de la ville, Anne Hidalgo, a récemment exprimé des inquiétudes concernant l’état de préparation des infrastructures de transport. Lors de son apparition dans l’émission « Quotidien » sur TMC mercredi soir, la maire socialiste a indiqué que Paris n’était « pas prête » en termes de transports, évoquant un nombre et une fréquence de trains insuffisants dans certaines zones.

La future station du RER E à la Porte Maillot a été spécifiquement mentionnée comme un point critique. « Il y a des endroits où les transports ne seront pas prêts parce qu’il n’y aura pas le nombre de trains et la fréquence », a précisé Hidalgo. Elle a également souligné les difficultés quotidiennes existantes dans le réseau de transport parisien et la lutte pour atteindre les niveaux requis de ponctualité et de confort.

Interrogée sur la responsabilité de ces retards, la maire a évoqué le rôle du gouvernement et de la Région Île-de-France, tout en reconnaissant sa propre implication dans le processus. Clément Beaune, ministre délégué chargé des Transports, a rapidement répondu en critiquant l’approche médiatique de Hidalgo.

Valérie Pécresse, présidente de la région Île-de-France, a elle aussi commenté sur les réseaux sociaux, en insistant sur la nécessité de la participation active d’Anne Hidalgo aux comités stratégiques sur les transports.

Outre les préoccupations liées aux transports, Anne Hidalgo a également abordé le sujet des personnes sans domicile fixe, pointant du doigt un autre défi majeur à relever avant les Jeux.

Les Jeux Olympiques et Paralympiques de 2024 représentent un événement de grande ampleur pour Paris, avec près de 15 millions de spectateurs attendus. La promesse faite par les autorités d’assurer un accès 100 % public aux sites de compétition souligne l’importance cruciale de résoudre ces problèmes de mobilité dans un délai serré. La préparation de la capitale française pour cet événement mondial est désormais plus que jamais sous le feu des projecteurs.

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Éliminatoires de l’Euro 2024 : l’équipe de France termine son année 2023 par un match nul en Grèce

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Éliminatoires de l’Euro 2024 : l’équipe de France termine son année 2023 par un match nul en Grèce

Avant l’important Euro 2024 en Allemagne, Didier Deschamps, le sélectionneur de l’équipe de France, se retrouve face à un défi crucial. Avec seulement deux matchs amicaux programmés en mars, il lui faut prendre des décisions déterminantes sur la composition de son équipe. Cette année 2023 s’est achevée par un match nul (2-2) contre la Grèce, offrant à Deschamps matière à réflexion.

En dépit de l’équipe remaniée contre la Grèce, les leaders incontestés restent Kylian Mbappé et Antoine Griezmann, avec Mike Maignan comme gardien de but principal. Deschamps a figé pour l’instant la hiérarchie des gardiens, avec Brice Samba et Alphonse Areola en tant que remplaçants.

La défense semble également avoir ses favoris. Jules Koundé, malgré une performance mitigée contre la Grèce, garde son poste à l’arrière droit. Les frères Hernandez se disputent la place à gauche, tandis que la paire centrale Dayot Upamecano et Ibrahima Konaté, formée lors de la Coupe du monde, conserve la confiance du sélectionneur.

Le milieu de terrain s’articulera autour d’Aurélien Tchouameni, d’Eduardo Camavinga et d’Adrien Rabiot, ce dernier gagnant en leadership. L’attaque verra une compétition entre Ousmane Dembélé et Kingsley Coman pour l’aile droite, et bien qu’Olivier Giroud, à 37 ans, ne soit pas assuré d’une place de titulaire, son expérience reste précieuse.

Des joueurs comme Randal Kolo Muani et Marcus Thuram se détachent pour leurs récentes performances, augmentant leurs chances de figurer dans la liste finale. En défense, Benjamin Pavard, désormais désireux d’évoluer comme défenseur central, pourrait laisser sa place sur le côté droit à Jonathan Clauss.

Dans le secteur du milieu de terrain, Youssouf Fofana et le jeune Warren Zaïre-Emery, impressionnant avec le PSG, sont des noms à surveiller. La défense centrale, quant à elle, offre peu de place pour les nouveaux venus, malgré les efforts de joueurs comme William Saliba ou Jean-Clair Todibo.

Boubacar Kamara pourrait se frayer un chemin au milieu, tandis que Christopher Nkunku et le jeune Mathys Tel restent des options offensives à considérer en fonction de leur forme et progression.

Alors que 16 places semblent déjà attribuées, la concurrence reste féroce pour les 9 places restantes. Deschamps devra équilibrer expérience et jeunesse pour construire une équipe capable de briller en Allemagne en 2024.

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