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Sète – Le parking Aristide Briand sous les projecteurs de Capital sur M6

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Sète - Le parking Aristide Briand sous les projecteurs de Capital sur M6 ce soir
©M6

L’émission Capital s’intéresse ce soir à la gestion des finances publiques et aux grands projets urbains controversés. À Sète, le projet du parking Aristide Briand, source de tensions entre la municipalité et le collectif Bancs Publics, est au cœur d’un reportage qui pourrait relancer le débat.

Ce dimanche 16 mars à 21h10 sur M6, Capital diffusera une enquête inédite sur la gestion des finances publiques en France, en s’intéressant notamment aux investissements controversés des collectivités. À Sète, le projet du parking Aristide Briand est devenu un symbole de cette problématique. Le journaliste Fabrice Turpin et son équipe ont passé plusieurs jours sur le terrain, suivant la mobilisation citoyenne et recueillant de nombreux témoignages.

Présents du jeudi au samedi matin, ils ont assisté au rassemblement hebdomadaire du Collectif Bancs Publics et réalisé plusieurs interviews, notamment avec Vincent Sabatier et Laura Seguin, mais aussi avec des militants et des passants. Des vidéos fournies par le collectif ont également été intégrées à l’enquête, promettant une plongée au cœur d’un affrontement qui dépasse largement le cadre local.

Depuis plus de deux ans, le collectif Bancs Publics lutte contre ce qu’il considère comme une aberration écologique et une menace pour le patrimoine sétois. Après TF1 et son reportage dans Grands Reportages, c’est au tour de Capital d’examiner cette mobilisation qui ne faiblit pas. Le documentaire mettra en lumière les arguments des opposants, dénonçant un projet imposé sans réelle concertation, et ceux de la mairie, qui justifie ce chantier par des impératifs d’aménagement urbain.

Mais Capital ne s’arrêtera pas à Sète. Cette édition promet un regard sans concession sur la gestion des finances publiques en France, à travers trois enquêtes approfondies.

Le premier volet s’attaque à un sujet rarement abordé, les achats de l’État et des collectivités territoriales. L’émission révèle comment des catalogues administratifs opaques, comptant jusqu’à 700 000 références, imposent des prix parfois bien supérieurs à ceux du marché. À titre d’exemple, un simple stylo est facturé 2,26 euros à l’administration contre 1,59 euros en magasin, et certaines ampoules coûtent 48 euros pièce, soit 16 fois leur prix habituel. Qui fixe ces tarifs ? Qui contrôle réellement les 90 milliards d’euros de dépenses annuelles de l’État via ces achats ?

Le deuxième reportage s’attaque aux privilèges des élus et anciens Premiers ministres, un sujet sensible. En 2023, le coût des avantages accordés aux anciens chefs de gouvernement a bondi de 11 %, dépassant 1,4 million d’euros par an, sans compter les frais de sécurité. L’émission met également en lumière les dérives de l’enveloppe de 5 950 euros allouée chaque mois aux députés pour leurs frais de mandat. Des exemples d’abus – allant des frais d’obsèques aux abonnements sur des sites de rencontres – montrent comment certains détournements peuvent se produire en toute discrétion, aux frais du contribuable.

Enfin, Capital se penche sur le labyrinthe des agences d’État. Avec plus de 1 200 structures employant 450 000 personnes pour un budget annuel de 60 milliards d’euros, la question de leur efficacité se pose. Certains organismes, comme les Conseils Économiques, Sociaux et Environnementaux Régionaux, sont remis en question pour leur utilité. L’émission illustre également l’imbroglio administratif autour du marais poitevin, où une multitude d’agences se superposent sans coordination claire, alourdissant inutilement la gestion publique.

À l’heure où la transparence budgétaire est une exigence croissante, cette édition de Capital risque de faire réagir. En soulevant des questions cruciales sur l’utilisation de l’argent public, elle pourrait relancer le débat sur la nécessité d’une réforme en profondeur du système administratif français.

Ne manquez pas ce rendez-vous sur M6 à 21h10 pour découvrir une enquête qui promet de bousculer certaines certitudes.

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8 Commentaires

1 Commentaire

  1. jh34@orange.fr

    17 mars 2025 at 8 h 57 min

    L’état très mauvais gestionnaire. Et, en plus, complètement déconnecté de la vie du français.

  2. Jean-Pierre

    17 mars 2025 at 12 h 45 min

    Notre maire toujours a faire de la bonne pub nationalement…
    Il prend la même route que le couple Balkany …
    Il croit que la mairie il a hérité de sont père…

    Marques hervé toujours la laisse et la muselière ???

  3. Lucas

    17 mars 2025 at 12 h 48 min

    Pas possible honteux …

    • Bernard

      18 mars 2025 at 13 h 59 min

      Nos élus sont frappé iniomanie et qui paye les contribuables.

  4. Thierry

    17 mars 2025 at 12 h 53 min

    Bonjours

    Je me demande pourquoi l’info n’est pas sur le site de la ville , ont va cas même passé sur M6 .

    Les sétois ont hâte de voir

    bravo a notre municipalité incompétente

  5. Nono

    17 mars 2025 at 12 h 58 min

    Hervé marques c’est a sont fils qui l’aurais du mettre une laisse et une muselière , avec toute ses atrocité qui la commis sont fils au college st joseph …
    Tien faudrais en parlé de sa…

    • Agnès

      17 mars 2025 at 19 h 17 min

      Comeinhes maire malveillant

  6. Des nuls

    17 mars 2025 at 22 h 53 min

    Une equipe de bras cassés

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