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Faits Divers

Hommage national au policier tué, les deux suspects en passe d’être mis en examen

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Un hommage national présidé par le Premier ministre sera rendu au brigadier Eric Masson à Avignon mardi après-midi, au moment où les deux principaux suspects de son meurtre doivent être présentés à des juges d’instruction en vue de leur mise en examen.

Âgés de 19 et 20 ans et déjà condamnés plusieurs fois, les deux jeunes hommes avaient été interpellés dimanche soir au péage de Remoulins, à une vingtaine de kilomètres de la Cité des Papes et voulaient fuir vers l’Espagne, selon les enquêteurs.

Les gardes à vue de la sœur du tireur présumé et du conducteur de la voiture dans laquelle ils ont été arrêtés ont en revanche été levées sans poursuite à ce stade, a précisé le procureur d’Avignon Philippe Guémas.

Lors de son audition lundi, le tireur présumé a contesté formellement les faits. « Il est atterré, interloqué, et ne veut pas prendre pour les autres », a expliqué lundi son avocat, Me Louis-Alain Lemaire.

Selon une source policière, les enquêteurs ont aussi saisi dimanche soir environ 2.000 euros en liquide dans leur véhicule. Les enquêteurs cherchent à savoir si la sœur du tireur présumé, qui avait été placée en garde à vue à Avignon lundi à l’aube, a effectué un trajet vers l’Espagne pour reconnaître le parcours, selon la même source.

Durcissement des peines

Onze jours après la mort de Stéphanie Monfermé, une agente administrative du commissariat de Rambouillet, la mort d’Eric Masson le 5 mai lors d’une banale intervention sur un point de trafic de stupéfiant dans le centre-ville d’Avignon a suscité une immense émotion en France et alimenté la colère dans la profession.

Au lendemain d’une rencontre avec les syndicats de police, le Premier ministre Jean Castex doit présider mardi un hommage national en préfecture du Vaucluse, en présence des ministres de l’Intérieur Gérald Darmanin et de la Justice Eric Dupond-Moretti. Deux de ses collègues s’exprimeront à travers des lectures et la Légion d’honneur sera remise à titre posthume à ce père de famille de 36 ans, issus d’une famille de policiers, unanimement décrit comme « loyal et courageux ».

Entré comme gardien de la paix en 2008 dans le Val-de-Marne, Eric Masson avait rejoint le berceau familial vauclusien en 2016 au sein du Groupe départemental d’intervention (GDI).

Plusieurs milliers de personnes s’étaient déjà réunies dimanche devant l’hôtel de police d’Avignon pour lui rendre hommage.

Ses obsèques se dérouleront dans l’intimité familiale mercredi dans la commune de Bédarrides (Vaucluse) où il habitait avec sa compagne et ses deux fillettes.

Lundi soir, Jean Castex a annoncé lundi soir un durcissement des peines encourues par les agresseurs de policiers et de gendarmes et notamment une peine de sûreté de 30 ans pour les personnes condamnées à perpétuité pour un crime commis contre les forces de l’ordre.

Ces mesures ne s’appliqueront pas, quoi qu’il en soit, au cas du meurtrier d’Eric Masson, en vertu du principe de la non-rétroactivité de la loi. Et elles n’ont pas satisfait aux exigences des organisations syndicales qui réclament des peines incompressibles ou des peines minimales.

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Faits Divers

Meurtre de Louise: trois nouvelles gardes à vue, celles d’un homme de 23 ans et de sa mère levées

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Meurtre de Louise: trois nouvelles gardes à vue, celles d'un homme de 23 ans et de sa mère levées

L’enquête sur le meurtre de Louise progresse avec l’interpellation de trois proches d’un suspect, tandis que d’autres suspects sont relâchés.

Dans le cadre de l’enquête sur le meurtre de Louise, une jeune fille de 11 ans retrouvée morte dans un bois à Longjumeau, trois nouvelles personnes ont été placées en garde à vue pour non-dénonciation de crime. Ces individus, identifiés comme le père, la mère et la petite amie d’un homme soupçonné d’être l’auteur du meurtre, ont été interpellés dans la nuit de lundi à mardi. Cette avancée dans l’investigation fait suite à la découverte du corps de Louise, vendredi après-midi, à la sortie de son collège à Epinay-sur-Orge.

L’analyse de cette affaire révèle une complexité croissante. Les autorités ont relâché un homme de 23 ans et sa mère, initialement soupçonnés, faute de preuves suffisantes pour les maintenir en garde à vue. Cette décision souligne la difficulté pour les enquêteurs de démêler les fils de cette tragédie. L’autopsie a révélé que Louise a subi de multiples blessures par arme tranchante, ce qui indique une violence extrême. Le téléphone de la victime, retrouvé à proximité de son corps, pourrait fournir des indices supplémentaires sur les derniers moments de sa vie.

L’implication de proches d’un suspect dans cette affaire jette une lumière nouvelle sur le réseau social de l’accusé principal. Le fait que des membres de sa famille immédiate ainsi que sa compagne aient été placés en garde à vue pour non-dénonciation de crime soulève des questions sur ce qu’ils savaient et quand. Cette information suggère que des éléments cruciaux peuvent avoir été dissimulés ou ignorés, compliquant davantage l’enquête. Le parquet d’Evry, en charge de l’affaire, continue d’explorer toutes les pistes possibles pour éclaircir les circonstances de ce crime odieux.

L’impact émotionnel de cette tragédie sur la communauté locale est palpable. Des hommages fleurissent devant le collège André Maurois, témoignant du choc et de la solidarité des habitants. Cette affaire, qui a secoué la région, met en lumière la nécessité d’une vigilance accrue et d’une coopération citoyenne dans la lutte contre la criminalité.

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Nice : une fillette de 3 ans décède dans l’incendie d’un appartement en pleine nuit

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Nice : une fillette de 3 ans décède dans l’incendie d’un appartement en pleine nuit

Dans la nuit du 8 au 9 février, un incendie a ravagé un appartement à Nice, entraînant la mort d’une enfant de trois ans et blessant légèrement cinq autres personnes.

Un drame poignant s’est produit à Nice, dans le quartier de Las Planas, lorsque, aux premières heures du dimanche 9 février, un feu s’est déclaré dans un appartement du sixième étage d’un immeuble de huit étages. Alertés par des voisins, les secours sont intervenus avec diligence, mais l’ampleur du sinistre a rendu les opérations de sauvetage difficiles. Malgré l’engagement rapide des 41 pompiers sur place, équipés de deux lances à incendie, le brasier a eu raison de la vie d’une petite fille de trois ans, trouvée gravement blessée dans l’appartement en feu. Elle a succombé à ses blessures, tandis que cinq autres individus ont été légèrement touchés et ont reçu les soins nécessaires.

L’origine de l’incendie demeure, à ce jour, un mystère. Les enquêteurs n’ont pas encore déterminé ce qui a pu déclencher ce terrible brasier, laissant la communauté dans l’incertitude et le deuil. Sur les réseaux sociaux, les réactions ont été vives, reflétant l’onde de choc ressentie par la population. Anthony Borré, premier adjoint au maire de Nice, a qualifié cet événement de « terrible drame », soulignant que la municipalité accompagnerait les sinistrés pour sécuriser les logements endommagés. De même, Éric Ciotti, député des Alpes-Maritimes, a exprimé une « tristesse immense » et adressé ses condoléances aux proches de la victime.

Cet incident rappelle cruellement la vulnérabilité des habitants face aux sinistres domestiques et souligne l’importance de la prévention et de la rapidité des secours en cas de catastrophe. Bien que les circonstances précises de l’incendie restent à élucider, l’attention se tourne désormais vers le soutien des familles endeuillées et l’amélioration des mesures de sécurité dans les habitations.

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Faits-Divers-Essonne : le corps de Louise, 11 ans, retrouvé dans un bois

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Faits-Divers-Essonne : le corps de Louise, 11 ans, retrouvé dans un bois

Portée disparue vendredi après-midi, Louise a été retrouvée sans vie dans le bois des Templiers à Épinay-sur-Orge. Une enquête pour meurtre sur mineur est en cours. Deux suspects, un homme de 23 ans et une femme de 20 ans, ont été interpellés.

L’émotion est vive en Essonne après la découverte du corps de Louise, 11 ans, dans la nuit de vendredi à samedi. La jeune fille avait disparu quelques heures plus tôt après avoir quitté le collège André-Maurois d’Épinay-sur-Orge aux alentours de 13h50. Ne la voyant pas rentrer, sa famille avait rapidement donné l’alerte, déclenchant d’importantes recherches.

Les forces de l’ordre ont mobilisé d’importants moyens pour la retrouver, brigade cynophile, drones et hélicoptère ont quadrillé la zone. L’analyse des images de vidéosurveillance a permis d’identifier son dernier passage dans le parc des Templiers, situé à quelques dizaines de mètres de son établissement scolaire. C’est précisément dans ce périmètre que les recherches se sont intensifiées. À 21h40, un chien pisteur a marqué un arrêt dans le parc. Après plusieurs heures de battue, les enquêteurs ont fait une découverte macabre ! Le corps de Louise a été retrouvé sans vie à 1h50 du matin dans cet espace boisé.

Les causes précises de son décès restent à déterminer. Une autopsie, prévue dans l’après-midi à l’institut médico-légal de Corbeil-Essonnes, devra apporter des éléments essentiels pour comprendre ce qui s’est passé et orienter les investigations.

L’enquête a rapidement mené à l’interpellation de deux individus. Un homme de 23 ans, déjà connu des services de police, a été repéré sur les images de vidéosurveillance. Les forces de l’ordre se sont rendues à son domicile, situé à Épinay-sur-Orge, peu après 00h30. Sur place, il se trouvait en compagnie d’une jeune femme de 20 ans, qui se présentait comme sa conjointe. Tous deux ont été placés en garde à vue dans le cadre de l’enquête pour meurtre sur mineur.

Ce drame soulève une vive émotion dans la commune et bien au-delà. Tandis que l’enquête se poursuit pour faire toute la lumière sur les circonstances de cette tragédie, la douleur des proches de Louise et l’attente des premiers résultats d’autopsie pèsent sur cette affaire qui bouleverse l’opinion publique.

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