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Poussan

Poussan – Des parents d’élèves décorent l’école de leurs enfants pour offrir du bonheur

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Ce dimanche 6 décembre, ils étaient plus de 20 avec échelles, décorations, outils… pour une belle mise en place dans la convivialité et l’entraide aux services des enfants.

C’est pour eux une action militante et républicaine, « Pour que les enfants puissent malgré la pression de ce confinement et cette crise sanitaire garder des lueurs d’espoir et une joie de vivre en partageant collectivement des instants de bonheur ».

Tout est parti des consignes sanitaires nationales lors de la reprise des classes après les congés d’Automne avec un protocole National très strict pour les écoles élémentaires. 

Ces parents d’élèves de l’Ecole des Baux, ont décidé, en accord avec la Maire de Poussan et les Directrices des 2 écoles du groupe scolaire des Baux de décorer les extérieurs des établissements, de l’aire d’accueil, jusqu’aux cours de récréation. 

Ces parents d’élèves motivés ne souhaitent pas en rester là. Cette première action fait partie d’un projet global et de tels événements pourraient et devraient se reproduire régulièrement , faisant suite à des réflexions sur les contraintes nationales imposées aux enfants et ses effets néfastes, à court et à long terme.

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Bouzigues

Élections législatives : Manon Bouquin (RN) élue dans la 4ème circonscription de l’Hérault

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Élections législatives : Manon Bouquin (RN) élue dans la 4ème circonscription de l’Hérault

Manon Bouquin, candidate du Rassemblement National, a été élue députée de la 4ème circonscription de l’Hérault au second tour des élections législatives anticipées, battant de justesse le député sortant Sébastien Rome du Nouveau Front Populaire.

Manon Bouquin est la nouvelle députée de la 4ème circonscription de l’Hérault, qui concerne les communes de Mèze, Poussan, Gigean, Loupian et Bouzigues sur le bassin de Thau. Elle vient à bout du député sortant, Sébastien Rome, du Nouveau Front Populaire.

Avec 40 186 voix, soit 50,49 % des suffrages exprimés, Manon Bouquin confirme la forte dynamique du Rassemblement National (RN) dans cette circonscription. En comparaison, des résultats du premier tour des élections législatives, elle avait obtenu 35 216 voix, soit 41,26 % des suffrages exprimés. Cette progression de 4 970 voix souligne une consolidation du soutien électoral pour la nouvelle députée et son parti.

Sébastien Rome, son adversaire du Nouveau Front Populaire (NFP), a récolté 39 408 voix, représentant 49,51 % des suffrages exprimés. Lors du premier tour, il avait obtenu 28 171 voix, soit 33,00 % des suffrages exprimés. Le député sortant a donc gagné 11 237 voix supplémentaires mais cela n’a pas suffi pour surpasser Manon Bouquin. Le député du NFP perd son siège.

Le taux de participation au second tour s’est établi sur cette circonscription à 72,90 % des inscrits. Parmi les votants, 6 321 ont voté blanc (7,20 % des votants), et 1 877 votes nuls ont été comptabilisés (2,14 % des votants). Les suffrages exprimés ont atteint 79 594 voix, soit 90,66 % des votants.

Le RN gagne donc une seconde députée sur le bassin de Thau. Avec Aurélien Lopez-Liguori élu la semaine dernière au premier tour, le RN compte désormais 2 députés sur 3 sur le bassin de Thau.

Résultats détaillés :

Manon Bouquin (RN) : 40 186 voix, 50,49 % des exprimés.
Sébastien Rome (NFP) : 39 408 voix, 49,51 % des exprimés.

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Poussan

Poussan : En difficulté, la majorité met fin à la diffusion des conseils municipaux

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Poussan : En difficulté, la majorité met fin à la diffusion des conseils municipaux

La décision de la maire de Poussan, Florence Sanchez, soulève des inquiétudes sur la démocratie locale. Un virage vers l’opacité en réponse à ses difficultés.

Dans un mouvement controversé, la majorité municipale de Poussan, dirigée par la maire Florence Sanchez, a cessé la diffusion des conseils municipaux de la commune. Cette décision, interprétée par certains comme un recul en matière de transparence démocratique, soulève des questions et des inquiétudes parmi les citoyens et l’opposition.

Depuis la prise de fonction de Florence Sanchez, les séances du conseil municipal de Poussan étaient accessibles sur la plateforme YouTube, permettant aux résidents de suivre les délibérations et les décisions affectant la commune. Cependant, depuis les deux dernières sessions, cette pratique a été abruptement interrompue, laissant les citoyens sans moyen de surveiller les activités du conseil.

Des sources internes évoquent des contraintes financières comme raison principale de cette décision brutale. Néanmoins, cette explication a suscité des critiques de la part de l’opposition, nombreux sont ceux qui se demandent si des économies n’auraient pas pu être réalisées dans d’autres domaines plutôt que de compromettre la transparence de la gestion municipale.

Cette action vient renforcer les inquiétudes existantes concernant la gestion actuelle de la commune par la majorité de Florence Sanchez. Avec des finances en difficulté empêchant la réalisation de plusieurs projets, une augmentation significative des impôts, et le départ récent de la directrice générale des services, la situation à Poussan apparaît préoccupante.

De plus, cette décision soulève des questions sur le rôle des femmes dans l’arène politique. Perçu comme porteur de renouveau, de sensibilité et d’inclusion, l’engagement féminin en politique est ici remis en question par les actions de la maire. Cette démarche contraste fortement avec les attentes sociétales actuelles en matière de démocratie participative.

L’opposition politique poussanaise, solide et engagée, se trouve désormais privée d’un outil essentiel pour exposer les incohérences de cette majorité municipale, laquelle peine à impulser une dynamique positive. L’espoir demeure que la transparence et la responsabilité reviennent rapidement au premier plan dans la gestion de la commune de Poussan. Il suffit parfois d’un simple téléphone…

À LIRE AUSSI > Les Poussannais confrontés à leur troisième hausse d’impôts en peu de temps

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Frontignan

Sète Agglopôle : Un président désavoué toujours soutenu par Michel Arrouy

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Sète Agglopôle : Un président désavoué toujours soutenu par Michel Arrouy
©SèteAgglopôleMéditerranée

Malgré les vents contraires, François Commeinhes peut compter sur l’appui indéfectible du maire de Frontignan, Michel Arrouy.

Ce jeudi, à 17 heures, le conseil communautaire de Sète Agglopôle Méditerranée (SAM) se réunira à Villeyrac, marquant ainsi la rentrée politique pour les élus communautaires. Cependant, les mois récents ont été tumultueux au sein de la SAM, avec un désaveu significatif de la part de certains de ses vice-présidents et des critiques grandissantes envers François Commeinhes, son président.

Au cœur de la controverse se trouve une augmentation de 75 % de la taxe foncière que quatre vice-présidents de la SAM ont rejetée en bloc. De plus, un événement majeur, passé quasiment inaperçu cet été, a exposé la fragilité de la direction de François Commeinhes au sein de cette assemblée communautaire.

En juin 2023, François Commeinhes a demandé aux communes affiliées à la SAM de soumettre au vote de leurs conseils municipaux le transfert de la séquence « éviter, réduire, compenser » (ERC), qui relève actuellement de leur compétence, vers la communauté d’agglomération. Ce transfert a été l’occasion d’évaluer le sentiment général à l’égard de la présidence de François Commeinhes parmi les conseillers municipaux n’appartenant pas à la SAM.

Dans la lignée du mécontentement général envers la gestion de François Commeinhes, les conseillers municipaux des communes ont exprimé ouvertement leur désaccord et ont rejeté ce transfert de compétences. Sur les 14 communes concernées, 6 ont opposé leur refus. Soit quasiment la moitié des communes qui sont contre ce nouveau transfert de compétences à la SAM.

Les conseils municipaux de Mèze, Mireval, Montbazin, Balaruc-le-Vieux, Loupian et Bouzigues se sont tous prononcés contre la volonté de François Commeinhes, généralement en accord avec leur maire. Cependant, à Bouzigues, un fait notable s’est produit lorsque Cédric Raja a cherché à suivre la ligne du président de la SAM. Sa tentative a été violemment rejetée par une courageuse majorité municipale, isolant ainsi le maire de Bouzigues dans sa décision.

Selon nos informations, le motif avancé dans le refus des communes concernées est que de nombreux transferts de compétences profitent à la ville de Sète au détriment des autres communes. De plus, de nombreux problèmes de fonctionnement persistent au sein de la SAM. Ainsi, l’heure ne semble pas venue d’accorder un transfert supplémentaire qui pourrait une fois de plus défavoriser les communes qui se considèrent comme invisibles. Il reste à observer si ce transfert de compétences vers la SAM est juridiquement possible désormais, quand un grand nombre s’y oppose.

Malgré ces revers, François Commeinhes fera sa rentrée rentrée politique à la SAM avec confiance. Le maire affairiste de Sète garde toujours une faible majorité pour faire passé les délibérations discutable dans cette assemblée grâce au soutien indéfectible du maire socialiste de Frontignan, Michel Arrouy, et des conseillers communautaires frontignans qui l’accompagnent. Cette solidarité persistante soulève des questions sur les liens entre les politiciens locaux, en particulier lorsque leurs antécédents politiques sont variés.

Bien que François Commeinhes ait bénéficié du soutien de Robert Ménard lors des élections sénatoriales de 2014, il semble que le maire socialiste de Frontignan n’ait aucun problème à collaborer avec des individus ayant des liens passés avec l’extrême-droite. Il est à rappeler que le maire de Béziers avait annoncé, lors d’un meeting en soutien à Sébastien Pacull à Sète le 21 janvier 2020, qu’il avait contribué à mobiliser les voix des environs de Béziers afin de garantir à François Commeinhes un siège au Palais du Luxembourg. Manifestement, cela ne semble pas poser de problème au maire socialiste de Frontignan quand il s’agit de faire des affaires politiques, bien qu’il soit très enclin à dénoncer la montée de l’extrême droite dans sa commune.

Alors que la SAM traverse une période d’incertitude politique, l’énigme persistante demeure : jusqu’où ira le soutien indéfectible de Michel Arrouy envers François Commeinhes, quel que soit le prix à payer sur le plan politique ? Le conseil communautaire de ce jeudi pourrait donner quelques éléments de réponse à cette énigme politique.

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