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Bleus: Mbappé et Giroud, duo reformé et en forme contre l’Afrique du Sud

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Réunis sous le maillot bleu neuf mois après l’Euro, Kylian Mbappé et Olivier Giroud ont guidé la France vers un succès confortable contre l’Afrique du Sud en amical (5-0), facilitant l’intégration de plusieurs néophytes, dont Jonathan Clauss.

Douze ans après la dernière confrontation face aux « Bafana Bafana », une défaite 2-1 en plein scandale de Knysna au Mondial-2010, c’est bien dans la sérénité que les Bleus ont terminé leur rassemblement de mars, déjà projetés sur le Mondial-2022 prévu en fin d’année, et son tirage au sort programmé vendredi à Doha. 

Le stade Pierre-Mauroy de Villeneuve-d’Ascq et ses 48.120 spectateurs offrait un cadre idéal pour affiner les automatismes, faire tourner l’effectif et prolonger l’élan positif créé par la victoire (2-1) vendredi à Marseille contre la Côte d’Ivoire.

L’enceinte nordiste a aussi permis à Giroud et Mbappé de se retrouver côte à côte sous le maillot bleu, une première depuis l’Euro, marqué dans sa préparation par une petite friction entre les deux hommes, le Chambérien ayant reproché, en creux, au Bondynois de ne pas assez le servir. 

Mardi, ils ont terminé la rencontre par une franche accolade à la sortie du joueur de l’AC Milan. 

Pour réconcilier ces deux tempéraments, Antoine Griezmann avait joué son rôle à merveille un peu plus tôt, en leur offrant un caviar chacun.

Le premier a été magnifié par le joueur du Paris SG d’une frappe en lucarne (23e). Le second a été parfaitement converti par l’avant-centre milanais, dans un petit espace (33e). Et Mbappé n’a eu besoin de personne pour provoquer et marquer un penalty en fin de rencontre (76e).

26e but pour Mbappé

La star des Bleus referme une semaine agitée: son refus de participer à une opération marketing de la Fédération a suscité des questionnements, et une infection ORL l’a privé du premier match…

Mais comme d’habitude lorsqu’il est attendu, le champion du monde a régalé son monde et dégoûté les Sud-Africains par ses accélérations foudroyantes et un doublé qui porte son total à 26 buts en 54 sélections.

Giroud, rappelé après le forfait sur blessure de Karim Benzema, continue lui d’être opportuniste: avec son but à Marseille vendredi, le voici à 48 réalisations sous le maillot bleu, trois de moins que le recordman Thierry Henry.

Ce fut aussi une soirée de découvertes: Clauss, William Saliba et Mike Maignan ont dignement fêté leur première titularisation –tous les trois comptaient déjà une entrée en jeu en Bleu– avec une mention particulière pour le Lensois, attraction d’un public tiraillé entre les acclamations des fans Sang et Or et les sifflets des supporters lillois.

Lucas Digne, ancien Lillois, a eu droit à ses chants après une frappe sur le poteau (64e), avant un but de Wissam Ben Yedder (82e). Même Mattéo Guendouzi a participé à la fête avec son premier but en Bleu (90e+2).

Avec cette 7e victoire d’affilée, les Tricolores et leur sélectionneur Didier Deschamps maintiennent le cap, même si le niveau montera d’un cran au mois de juin pour la Ligue des nations. 

D’ici là, « DD » a déjà un voyage pour Doha à l’agenda: les prochains jours seront dédiés à la recherche d’un camp de base dans l’émirat en vue du Mondial, et surtout au tirage au sort de la compétition, vendredi… La défense du titre a déjà commencé.

Sports

JO d’hiver 2030 : les Alpes françaises, seule candidature retenue

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JO d'hiver 2030 : les Alpes françaises, seule candidature retenue

La France est en passe d’organiser les Jeux olympiques d’hiver en 2030. Le CIO a écarté les autres candidatures en lice.

Les Alpes françaises sont en excellente position pour accueillir les Jeux olympiques d’hiver 2030, devenant ainsi la quatrième ville hôte de cet événement emblématique. Le Comité international olympique (CIO) a annoncé aujourd’hui que la France est la seule candidature retenue, marquant ainsi un moment historique dans l’histoire des Jeux olympiques d’hiver.

Le projet olympique, porté conjointement par les deux régions françaises d’Auvergne – Rhône-Alpes et Provence-Alpes-Côte d’Azur, a réussi à convaincre la commission exécutive du CIO grâce à son dossier de candidature solide et à une présentation convaincante lors du grand oral de 45 minutes. Cette décision fait suite à des mois de préparation et de compétition intense entre plusieurs nations aspirantes à l’accueil des Jeux olympiques d’hiver 2030.

La France a une longue histoire de réussite dans l’organisation des Jeux olympiques d’hiver, avec des précédents à Chamonix en 1924, Grenoble en 1968 et Albertville en 1992. Le choix des Alpes françaises comme hôte des Jeux olympiques d’hiver 2030 est le fruit d’un projet ambitieux qui met en avant 95 % de sites existants, de Nice au Grand-Bornand, en passant par Courchevel Méribel, Val d’Isère et La Clusaz.

Malgré une concurrence sérieuse de la part de la Suède et de la Suisse, la France a réussi à l’emporter grâce à la qualité de son dossier de candidature et à la solidité de son projet. Les Scandinaves avaient précédemment candidaté pour les Jeux olympiques d’hiver 2026, qui finiront par se dérouler à Milan-Cortina d’Ampezzo en Italie. Cependant, face à la puissance et à la tradition des sports d’hiver en France, ces deux pays ont été contraints d’abandonner leur candidature.

La décision finale concernant l’attribution des Jeux olympiques d’hiver 2030 sera officialisée en juillet 2024 lors de la session du CIO à Paris, juste avant le début des Jeux Olympiques d’été. Si tout se passe comme prévu, les amoureux du sport du monde entier auront rendez-vous dans les Alpes françaises pour une nouvelle olympiade hivernale mémorable en 2030.

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Paris 2024 : « On ne va pas être prêts », selon Anne Hidalgo

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Paris 2024 : « On ne va pas être prêts », selon Anne Hidalgo

Dans l’émission « Quotidien », la maire de Paris a annoncé mercredi du retard dans la préparation des JO 2024 à Paris d’un point de vue des transports en commun.

Alors que Paris se prépare à accueillir les Jeux Olympiques et Paralympiques en 2024, la maire de la ville, Anne Hidalgo, a récemment exprimé des inquiétudes concernant l’état de préparation des infrastructures de transport. Lors de son apparition dans l’émission « Quotidien » sur TMC mercredi soir, la maire socialiste a indiqué que Paris n’était « pas prête » en termes de transports, évoquant un nombre et une fréquence de trains insuffisants dans certaines zones.

La future station du RER E à la Porte Maillot a été spécifiquement mentionnée comme un point critique. « Il y a des endroits où les transports ne seront pas prêts parce qu’il n’y aura pas le nombre de trains et la fréquence », a précisé Hidalgo. Elle a également souligné les difficultés quotidiennes existantes dans le réseau de transport parisien et la lutte pour atteindre les niveaux requis de ponctualité et de confort.

Interrogée sur la responsabilité de ces retards, la maire a évoqué le rôle du gouvernement et de la Région Île-de-France, tout en reconnaissant sa propre implication dans le processus. Clément Beaune, ministre délégué chargé des Transports, a rapidement répondu en critiquant l’approche médiatique de Hidalgo.

Valérie Pécresse, présidente de la région Île-de-France, a elle aussi commenté sur les réseaux sociaux, en insistant sur la nécessité de la participation active d’Anne Hidalgo aux comités stratégiques sur les transports.

Outre les préoccupations liées aux transports, Anne Hidalgo a également abordé le sujet des personnes sans domicile fixe, pointant du doigt un autre défi majeur à relever avant les Jeux.

Les Jeux Olympiques et Paralympiques de 2024 représentent un événement de grande ampleur pour Paris, avec près de 15 millions de spectateurs attendus. La promesse faite par les autorités d’assurer un accès 100 % public aux sites de compétition souligne l’importance cruciale de résoudre ces problèmes de mobilité dans un délai serré. La préparation de la capitale française pour cet événement mondial est désormais plus que jamais sous le feu des projecteurs.

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Éliminatoires de l’Euro 2024 : l’équipe de France termine son année 2023 par un match nul en Grèce

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Éliminatoires de l’Euro 2024 : l’équipe de France termine son année 2023 par un match nul en Grèce

Avant l’important Euro 2024 en Allemagne, Didier Deschamps, le sélectionneur de l’équipe de France, se retrouve face à un défi crucial. Avec seulement deux matchs amicaux programmés en mars, il lui faut prendre des décisions déterminantes sur la composition de son équipe. Cette année 2023 s’est achevée par un match nul (2-2) contre la Grèce, offrant à Deschamps matière à réflexion.

En dépit de l’équipe remaniée contre la Grèce, les leaders incontestés restent Kylian Mbappé et Antoine Griezmann, avec Mike Maignan comme gardien de but principal. Deschamps a figé pour l’instant la hiérarchie des gardiens, avec Brice Samba et Alphonse Areola en tant que remplaçants.

La défense semble également avoir ses favoris. Jules Koundé, malgré une performance mitigée contre la Grèce, garde son poste à l’arrière droit. Les frères Hernandez se disputent la place à gauche, tandis que la paire centrale Dayot Upamecano et Ibrahima Konaté, formée lors de la Coupe du monde, conserve la confiance du sélectionneur.

Le milieu de terrain s’articulera autour d’Aurélien Tchouameni, d’Eduardo Camavinga et d’Adrien Rabiot, ce dernier gagnant en leadership. L’attaque verra une compétition entre Ousmane Dembélé et Kingsley Coman pour l’aile droite, et bien qu’Olivier Giroud, à 37 ans, ne soit pas assuré d’une place de titulaire, son expérience reste précieuse.

Des joueurs comme Randal Kolo Muani et Marcus Thuram se détachent pour leurs récentes performances, augmentant leurs chances de figurer dans la liste finale. En défense, Benjamin Pavard, désormais désireux d’évoluer comme défenseur central, pourrait laisser sa place sur le côté droit à Jonathan Clauss.

Dans le secteur du milieu de terrain, Youssouf Fofana et le jeune Warren Zaïre-Emery, impressionnant avec le PSG, sont des noms à surveiller. La défense centrale, quant à elle, offre peu de place pour les nouveaux venus, malgré les efforts de joueurs comme William Saliba ou Jean-Clair Todibo.

Boubacar Kamara pourrait se frayer un chemin au milieu, tandis que Christopher Nkunku et le jeune Mathys Tel restent des options offensives à considérer en fonction de leur forme et progression.

Alors que 16 places semblent déjà attribuées, la concurrence reste féroce pour les 9 places restantes. Deschamps devra équilibrer expérience et jeunesse pour construire une équipe capable de briller en Allemagne en 2024.

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