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Covid: le chef de l’OMS exhorte la Tanzanie à protéger sa population

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Le directeur général de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) a appelé dimanche la Tanzanie à prendre des mesures « robustes » pour protéger sa population du Covid-19 tandis que le président John Magufuli a infléchi son discours sur l’épidémie.

Depuis le début de la pandémie, le président Magufuli n’a eu de cesse de minimiser la dangerosité du coronavirus. Le pays a publié pour la dernière fois des chiffres officiels sur les infections au coronavirus en avril 2020 (509 cas officiellement).

En juin, le chef de l’Etat avait même affirmé que les prières avaient sauvé son pays et l’avait déclaré « libéré du Covid ».

Mais ces dernières semaines, la Tanzanie est frappée par une vague de décès officiellement attribués à des pneumonies.

Mercredi, ce sont deux personnalités qui ont été emportées: le premier vice-président de l’archipel semi-autonome de Zanzibar Seif Sharif Hamad, dont le parti a confirmé qu’il avait contracté le Covid-19, et le chef de la fonction publique John Kijazi.

« De nombreux Tanzaniens voyageant dans les pays voisins et au-delà ont été testés positifs au Covid-19. Cela montre la nécessité pour la Tanzanie de prendre des mesures robustes pour protéger à la fois sa propre population et les populations de ces pays et d’ailleurs », a appelé le chef éthiopien de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, dans un communiqué.

M. Tedros souligne que, déjà en janvier, il avait invité les autorités tanzaniennes à prendre des mesures de santé publique contre le Covid-19, à se préparer à la vaccination et à partager les données sur la pandémie.

« Depuis lors, j’ai parlé à plusieurs responsables en Tanzanie mais l’OMS attend encore de recevoir des informations concernant les mesures prises par la Tanzanie pour répondre à la pandémie », a-t-il déploré.

« La situation reste très préoccupante. Je renouvelle mon appel à la Tanzanie à commencer à rapporter les cas de Covid-19 et à partager les chiffres. J’appelle aussi la Tanzanie à mettre en oeuvre des mesures de santé publique qui permettent de briser les chaînes de transmission et à se préparer à la vaccination », a ajouté M. Tedros.

« Dieu en premier »

L’appel de l’OMS vient renforcer celui formulé depuis la Tanzanie par certaines personnalités et groupes de pression, au risque parfois d’être harcelés par les autorités.

Samedi, l’ordre des avocats de Tanzanie (Tanzania Law Society – TLS) est devenu le premier corps professionnel à demander au gouvernement de reconnaître ouvertement la présence du virus et de prendre les mesures appropriées.

« La pandémie du Covid-19 est une réalité dans le pays et le nombre des morts a augmenté ces derniers mois. Familles et institutions diverses perdent beaucoup d’employés, de membres, de parents, d’amis et de voisins », indique l’ordre, soulignant que certains de ses membres ont déjà succombé au Covid-19.

Ces derniers jours, le président Magufuli a graduellement infléchi son discours sur le Covid-19. Jeudi, lors des obsèques du chef de la fonction publique, M. Magufuli, réélu en octobre pour un second mandat de cinq ans, a évoqué le virus sans jamais le nommer.

« Quand cette maladie respiratoire est apparue l’an dernier, nous avons gagné parce que nous avons placé Dieu en premier et pris d’autres mesures. Je suis sûr que nous vaincrons à nouveau si nous refaisons de même », a-t-il déclaré.

« Nous ne ferons aucun confinement », a-t-il toutefois averti. « Continuons à placer Dieu en premier et à prendre des précautions. »

Dimanche, le président a révélé que certains de ses proches avaient été infectés et a encouragé à demi-mots le port du masque.

« Certains parmi mes proches collaborateurs et des membres de ma famille sont tombés malades mais ils ont guéri », a-t-il déclaré lors d’un office religieux dans une église catholique de Dar es Salaam.

« Le gouvernement n’a pas prohibé le port du masque. Seulement, choisissez bien les masques que vous portez. Les masques importés peuvent nous apporter le Covid. Utilisez les masques fabriqués par le ministère de la Santé ou que vous fabriquez vous-mêmes », a-t-il lancé.

En janvier, le président Magufuli avait déjà qualifié de « dangereux » les vaccins contre le Covid.

Dimanche, le ministère de la Santé a publié un communiqué appelant la population « à continuer de croire en Dieu ». Et à respecter les gestes barrières, port du masque inclus.

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Hamas-Israël : 12 nouveaux otages remis en liberté, dont 2 étrangers

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Hamas-Israël : 12 nouveaux otages remis en liberté, dont 2 étrangers

Après trois premiers Français, mineurs, libérés lundi 27 novembre, 12 nouveaux otages du Hamas ont été relâchés ce mardi soir. Parmi eux, deux ressortissants étrangers.

La libération des otages du Hamas suit son cours ce mardi 28 novembre, avec 12 nouvelles remises en liberté. Il s’agit de 10 Israéliens, et de deux ressortissants étrangers, d’origine allemande et thaïlandaise, a indiqué le bureau du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu dans la soirée. Ceux-ci vont être « emmenés vers des hôpitaux israéliens où ils retrouveront leur famille », a précisé de son côté l’armée israélienne, qui a confirmé leur arrivée en Israël via l’Egypte.

Plusieurs femmes, accompagnées par des combattants palestiniens masqués du Hamas et du Jihad islamique, deux groupes islamistes palestiniens, ont été remises au Comité international de la Croix-Rouge (CICR) à Rafah, dans le sud du territoire palestinien près de la frontière égyptienne.

En parallèle, une nouvelle salve de prisonniers palestiniens ont été libérés. Il s’agit de 30 Palestiniens emprisonnés par Israël, tous des femmes et des jeunes de moins de 19 ans, a annoncé l’autorité pénitentiaire israélienne.

Entrée en vigueur le 24 novembre, la trêve dans la guerre entre Israël et le Hamas, a été prolongée jusqu’à jeudi matin, à 05h00 GMT. Au total, 20 otages israéliens et 60 prisonniers palestiniens doivent être libérés lors de cette extension, selon le Qatar, principal médiateur dans les négociations sur le dossier des otages.

60 otages israéliens et 180 Palestiniens libérés

Chaque jour depuis vendredi, le Hamas relâche une dizaine de femmes et d’enfants enlevés lors de son attaque sanglante du 7 octobre en Israël, contre la libération de trois fois plus de prisonniers palestiniens. Douze otages (dix Israéliennes et deux Thaïlandais) et trente prisonniers palestiniens ont ainsi encore été libérés mardi soir.

L’accord de trêve, négocié avec l’appui également de l’Égypte et des États-Unis, a déjà permis la libération de 60 otages israéliens et de 180 Palestiniens écroués dans des prisons israéliennes. Vingt-et-un otages étrangers, en majorité des Thaïlandais vivant en Israël, ont été libérés hors du cadre de cet accord.

Les autorités israéliennes ont estimé à environ 240 le nombre de personnes enlevées et emmenées à Gaza le 7 octobre, lors de l’attaque sans précédent du mouvement islamiste palestinien qui a coûté la vie à quelque 1.200 personnes en Israël, en grande majorité des civils.

Une prolongation de la trêve espérée par les médiateurs

En coulisses, les médiateurs s’activent pour prolonger la trêve au-delà de jeudi. Le secrétaire d’État américain Antony Blinken est attendu de nouveau en Israël et en Cisjordanie cette semaine. « Notre objectif principal à l’heure actuelle, et notre espoir, est de parvenir à une trêve durable qui mènera à de nouvelles négociations et, finalement, à la fin de la guerre », a déclaré le ministre des Affaires étrangères du Qatar, Majed Al Ansari. « Cependant, nous travaillons avec ce que nous avons. Et ce que nous avons, c’est qu’on peut prolonger (la trêve) d’un jour à chaque fois que le Hamas est en mesure de garantir la libération d’au moins dix otages », a-t-il expliqué.

Les chefs des services de renseignement américain et israélien se trouvaient mardi à Doha pour discuter avec le Premier ministre du Qatar de la « prochaine phase » d’un accord potentiel entre le Hamas et Israël, selon une source informée de la visite.

« Nous soutenons la prolongation de cette pause et des pauses futures, si nécessaire, afin de permettre l’augmentation de l’aide et de faciliter la libération de tous les otages », ont déclaré pour leur part les chefs de la diplomatie du G7 dans un communiqué conjoint.

La prolongation de la trêve à Gaza a permis l’entrée de nouveaux camions d’aide humanitaire dans la bande de Gaza, assiégée et bombardée sept semaines durant par l’armée israélienne. Malgré l’arrivée depuis le 24 novembre de centaines de camions, la situation y reste « catastrophique », a jugé le Programme alimentaire mondial (PAM), estimant qu’« il existe un risque de famine ».

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Gaza: nouvelle libération d’otages du Hamas et de prisonniers palestiniens

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Gaza: nouvelle libération d'otages du Hamas et de prisonniers palestiniens

Dix-sept otages retenus dans la bande de Gaza depuis des semaines ont été libérés samedi soir au terme d’une longue attente due à des complications de dernière minute, au deuxième jour d’une trêve entre le Hamas et Israël qui a relâché en échange 39 prisonniers palestiniens.

Cette trêve, fruit d’un accord conclu sous l’égide du Qatar, a offert un nouveau jour de répit aux habitants du territoire assiégé après sept semaines de guerre, déclenchée par une attaque sanglante du Hamas sur le sol israélien le 7 octobre. Les bombardements israéliens ont cessé depuis vendredi matin, tout comme les tirs de roquettes du mouvement islamiste sur Israël.

Les brigades Ezzedine al-Qassam, branche armée du mouvement islamiste, ont diffusé une vidéo montrant les 13 otages israéliens et quatre thaïlandais montant dans des véhicules du Comité international de la Croix-Rouge (CICR), peu avant minuit. Une jeune femme, une cheville bandée, et marchant avec des béquilles, a été allongée sur un brancard dans un des véhicules.

Parmi les otages rentrés en Israël figure Maya Regev, 21 ans, enlevée avec son frère de 18 ans alors qu’ils tentaient de fuir le festival de musique Tribe of Nova attaqué par les combattants du Hamas le 7 octobre à l’aube. Une vidéo publiée sur les réseaux sociaux avait montré la jeune femme et son frère ligotés à l’arrière d’un pick-up.

« Je suis très heureuse que Maya soit sur le point de nous rejoindre. Néanmoins, j’ai le cœur brisé parce que mon fils Itay est toujours prisonnier du Hamas à Gaza », a déclaré sa mère Mirit dans un communiqué publié par le Forum des familles d’otages.

Au total, 270 personnes avaient été tuées par le Hamas lots de l’attaque de Tribe of Nova, devenu un des symboles du massacre en Israël. Maya Regev est la première participante enlevée lors de ce festival à être libérée.

Une Israélo-Irlandaise de 9 ans, Emily, fait également partie du groupe des 17 personnes libérées, a annoncé le Premier ministre irlandais Leo Varadkar, évoquant « une journée d’immense joie et soulagement ».

« Pas de mots »

« Nous ne trouvons pas les mots pour décrire nos émotions après 50 jours difficiles et compliqués », s’est réjoui dans un communiqué Thomas Hand, le père d’Emily. « Nous sommes ravis de retrouver Emily, mais en même temps, nous nous souvenons (…) de tous les otages qui ne sont pas encore rentrés chez eux ».

Quatre Germano-Israéliens font également partie du groupe rentré en Israël samedi, a indiqué la cheffe de la diplomatie allemande Annalena Baerbock en exprimant son « soulagement ». Quatre autres Germano-israéliens avaient déjà été libérés vendredi.

Les 17 personnes libérées « se sont soumises à une évaluation médicale initiale », a indiqué l’armée israélienne dans un communiqué. Une d’entre elles a été hospitalisée, et les autres devaient retrouver leurs familles, a-t-elle précisé.

A Tel-Aviv, des dizaines de milliers de manifestants se sont rassemblés samedi soir sur la Place des otages. « Sortez-les de l’enfer », pouvait-on lire sur une banderole.

La libération de ce deuxième groupe d’otages a été retardée pendant plusieurs heures samedi en raison d’un différend entre le Hamas et Israël sur le respect de l’accord, mais le gouvernement du Qatar a finalement annoncé que les obstacles avaient été levés.

Célébrations en Cisjordanie

Tard dans la soirée, Israël a annoncé avoir libéré un second groupe de 39 prisonniers palestiniens, tous des femmes et des jeunes de moins de 19 ans.

En Cisjordanie occupée, des convois de voitures surmontées de drapeaux des différents mouvements palestiniens, Hamas en tête, ont défilé dans les rues, escortant un bus de la Croix-Rouge transportant les prisonniers libérés.

A Jérusalem-Est, les célébrations ont été plus discrètes. Les membres des forces de sécurité israéliennes casqués et armés étaient particulièrement nombreux dans la maison d’Israa Jaabis, 39 ans, la prisonnière la plus connue de la liste.

Sa photo, levant ses doigts atrophiés, le visage en partie brûlé, dans un tribunal israélien, est régulièrement brandie dans les manifestations ou pour illustrer les souffrances des prisonniers palestiniens.

« J’ai honte de parler de réjouissance alors que toute la Palestine est blessée », a-t-elle affirmé à des journalistes dans le salon familial dans son quartier de Jabal Moukkaber, aux côtés de son fils Moatassem, 13 ans. « Ils doivent libérer tout le monde », a-t-elle encore plaidé.

Mme Jaabis avait été condamnée à 11 ans de prison pour avoir fait exploser une bonbonne de gaz qu’elle transportait dans le coffre de sa voiture à un barrage en 2015, blessant un policier.

Toujours en Cisjordanie, six Palestiniens ont été tués samedi lors de plusieurs incidents avec l’armée israélienne, selon le ministère palestinien de la Santé. Depuis le 7 octobre, quelque 230 Palestiniens ont été tués en Cisjordanie par des soldats israéliens ou des colons.

Près de 250 camions dans Gaza

L’accord entre le Hamas et Israël, conclu également avec l’appui des Etats-Unis et de l’Egypte, prévoit quatre jours de trêve qui doivent permettre la libération de 50 otages et de 150 prisonniers palestiniens.

Vendredi, 13 premiers otages israéliens, des femmes et des enfants, avaient été relâchés par le Hamas, qui avait également libéré dix Thaïlandais et un Philippin qui ne faisaient pas partie de l’accord. En contrepartie, Israël avait libéré un premier groupe de 39 détenus palestiniens.

Cette pause, renouvelable, inclut aussi l’entrée d’aide humanitaire et de carburant à Gaza, soumis à un siège total d’Israël depuis le 7 octobre. Ces cargaisons, dont l’entrée depuis l’Egypte est soumise au feu vert israélien, arrivaient ces dernières semaines au compte-gouttes.

Un total de 248 camions chargés d’aide humanitaire sont entrés samedi dans la bande de Gaza, dont 61 ont livré de l’eau, des aliments et du matériel médical dans le nord du territoire, selon l’ONU.

L’armée israélienne considère le tiers nord de la bande de Gaza comme une zone de combats. Elle a ordonné à la population de partir et empêche quiconque d’y revenir.

Malgré cet avertissement, des milliers de Gazaouis déplacés ont profité de la pause dans les combats pour tenter de rentrer chez eux dans le Nord. Et selon le ministère de la Santé du Hamas, sept de ces personnes ont été blessées samedi par des tirs israéliens.

« Enorme pression »

Selon les autorités israéliennes, 1.200 personnes, en grande majorité des civils, ont été tuées lors de l’attaque du Hamas le 7 octobre, et 240 personnes ont été prises en otage.

En représailles, Israël a promis d' »éliminer » le Hamas, classé organisation terroriste par les Etats-Unis, l’Union européenne et Israël, bombardant sans relâche le territoire palestinien et lançant le 27 octobre une offensive terrestre, jusqu’à la trêve.

A Gaza, 14.854 personnes, parmi lesquelles 6.150 enfants et jeunes de moins de 18 ans, ont été tuées par les frappes israéliennes, selon le gouvernement du Hamas.

Le chef d’état-major de l’armée israélienne, le général Herzi Halevi, a prévenu que la guerre n’était pas finie. « Nous recommencerons à attaquer Gaza dès que la trêve sera terminée (…) pour démanteler le Hamas et créer une énorme pression afin de ramener aussi vite que possible autant d’otages que possible, jusqu’au dernier d’entre eux », a-t-il dit.

Les hôpitaux du sud de la bande de Gaza ont continué samedi à recevoir de nombreux blessés évacués du nord. Mais selon Ashraf al-Qidreh, porte-parole du ministère de la Santé du Hamas, « ils n’ont plus ni la capacité d’accueil ni l’équipement » pour faire face à cet afflux.

Plus de la moitié des logements du territoire ont été endommagés ou détruits, selon l’ONU, et 1,7 million de personnes ont été déplacées, sur 2,4 millions d’habitants.

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Otages du Hamas : 24 personnes libérées ce vendredi

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Otages du Hamas : 24 personnes libérées ce vendredi

Une première salve de libération d’otages a eu lieu ce vendredi, en fin d’après-midi, dans le cadre de l’accord conclu entre Israël et le Hamas. 24 personnes, entre les mains du Hamas depuis le 7 octobre, vont pouvoir rejoindre leur famille.

La France a salué, ce vendredi 24 novembre, la libération de 24 otages. Parmi eux figurent 13 ressortissants israéliens qui ont été retenus par le Hamas pendant un mois et demi. Ces libérations sont le fruit d’un accord signé entre Israël et le Hamas. Aucun Français ne figure parmi ces treize personnes, mais la France travaille à la libération de ses ressortissants. D’après la liste officielle communiquée par Israël, on connaît désormais les identités des personnes libérées : des femmes et des enfants.

Parmi tous les otages libérés, on y trouve trois familles avec des enfants : les familles Asher, Munder et Aloni. Leur sort avait beaucoup choqué les Israéliens, car ce sont plusieurs générations de ces familles qui avaient été kidnappées ensemble le 7 octobre. La suite de la liste se constitue de cinq femmes âgées, dont la doyenne a 85 ans. Son nom : Yaffa Adar. Il s’agissait de l’une des otages les plus âgées.

Ce vendredi soir, une forme d’amertume règne cependant, notamment sur le sort des enfants. Il y en a seulement quatre parmi les 13 personnes libérées. Il en resterait donc 35 aux mains du Hamas. On ne sait pas, pour l’heure, si l’opération de libération va bien se poursuivre samedi.

Ces premiers otages libérés ont passé des examens médicaux, selon le porte-parole de l’armée israélienne. Trente-sept autres personnes doivent être libérées d’ici à la fin de la trêve de quatre jours conclue par Israël et le mouvement palestinien. Du côté palestinien, 39 prisonniers ont été relâchés, comme convenu.

La trêve en vigueur se poursuivait dans l’enclave ce vendredi dans la soirée. Au moins 137 camions remplis d’aide humanitaire y sont entrés et ont été déchargés, selon l’ONU.

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