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Économie

Sète : Les marchés nocturnes reviennent les mardis et dimanches !

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Sète : Marchés nocturnes, où l'artisanat et la convivialité se rencontrent

La période estivale s’accompagne du retour des marchés nocturnes. Lieux, horaires, artisans présents et produits à la vente. On vous dit tout. 

Les marchés nocturnes sont associés aux vacances, aux souvenirs et aux flâneries. Ils reviennent d’ailleurs à Sète à partir de mardi 20 juillet. Ils auront lieu de 18h à minuit. Place Édouard Herriot les mardis 20 et 27 juillet puis 3 août. Place du Gallon les dimanches 25 juillet, 1er et 8 août. À partir du 10 août, ils se passeront sur la Promenade Jean-Baptiste Marty. Organisés par l’association 7 Artisanal, vous y retrouverez des artisans et commerçants locaux.

« On espère avoir plus de monde que l’année dernière », indique Céline Ploom, exposante de PloomBijoux sur les nocturnes et présidente de l’associations 7 Artisanal. « Notre association promeut l’artisanat et défend par conséquent les intérêts des artisans. Dans l’idéal on aimerait présenter un marché de produits majoritairement artisanal. Au fur et à mesure, on espère réunir uniquement des artisans sur nos marchés. Cette année, ce sera mixte : artisans et revendeurs seront présents. Le dimanche, nous présenterons 23 stands. Cependant, le mardi nous serons en plus petit comité : une quinzaine d’exposants. Enfin, on a aussi dans l’idée d’organiser un marché d’automne et de printemps pour exposer d’avantage les artisans locaux », poursuit-elle.

Malgré le désengagement des anciens organisateurs à 4 jours de la date initiale, 7 Artisanal s’est démenée pour préserver ces marchés nocturnes. De nombreux artisans sétois et héraultais participeront donc aux marchés. Parmi eux les Pépettes de Sète qui réalisent du crochet, Principauté de Sète qui fait des flocages, Terre Singulière qui fait de la céramique, Green’n’Glam qui fait de la cosmétique, Les 50 senteurs de Grey et Les Coquettes de Sète qui fabriquent des bougies. Seront aussi présents Pompon et Tricotin, Monsieur Bar, Lalla Malish et Chic et Culotté qui proposent des textiles enfants made in Sète, PloomBijoux qui propose des bijoux fabriqués à Sète, etc. Du Miel local, des sirops artisanaux et des confitures seront entre autres proposés à la vente. Des artistes locaux, dont un tatoueur à l’encre éphémère, seront également présents.

L’association a de beaux projets pour la suite : organisation d’un marché automnale les 23 et 24 octobre et stands culinaires pour les marchés nocturnes de l’été 2022.

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Économie

Pour contrer les produits chinois en Europe, la France défend l’idée de «préférence européenne»

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Pour contrer les produits chinois en Europe, la France défend l'idée de «préférence européenne»

Pour préserver l’industrie européenne face aux puissances américaine et chinoise, les Vingt-Sept doivent « éliminer les charges administratives inutiles », ont fait valoir ce lundi les ministres allemand et français de l’Économie et italien des Entreprises, lors d’une réunion organisée à Meudon.

Les ministres de l’Économie français, italien et allemand se sont réunis le lundi 8 avril en région parisienne pour définir une politique industrielle commune, notamment dans des secteurs clés tels que l’intelligence artificielle et la transition énergétique.

Bruno Le Maire, ministre français de l’Économie, a souligné le déficit commercial croissant entre la Chine et l’Europe, qui a triplé au cours des dix dernières années, passant de 100 à 300 milliards d’euros. Il a mis en avant l’inondation du marché européen par des produits chinois, notamment dans les domaines des panneaux solaires, des voitures électriques et des batteries.

Pour rééquilibrer la balance commerciale, Bruno Le Maire a proposé d’imposer une préférence européenne dans les marchés publics, suggérant des quotas de contenu européen allant jusqu’à 60% dans les appels d’offres, ainsi que des normes environnementales et de qualité plus strictes.

Si l’Italie soutient cette position, le ministre allemand de l’Économie, Robert Habeck, s’est montré plus réservé. Il a exprimé des préoccupations quant au protectionnisme, soulignant l’importance de l’ouverture des marchés et de la mondialisation. L’Allemagne, exportatrice majeure vers la Chine, craint les mesures de rétorsion et souhaite éviter une escalade dans les tensions commerciales avec Pékin.

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Économie

Le déficit public a dérapé l’an dernier, à 5,5 % du PIB, bien au-delà des prévisions du gouvernement

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Le déficit public a dérapé l'an dernier, à 5,5 % du PIB, bien au-delà des prévisions du gouvernement

Selon les chiffres de l’Insee publiés mardi, le déficit public de la France a atteint 5,5% du PIB en 2023, à 154 milliards d’euros. C’est bien plus que les 4,8% de déficit réalisés en 2022 et que les 4,9% initialement prévus par le gouvernement.

Le déficit public en France a grimpé à 5,5 % du PIB en 2023, révèlent les données publiées ce mardi matin par l’Insee. Cette augmentation spectaculaire contraste vivement avec les prévisions gouvernementales qui tablaient encore sur un déficit de -4,9 % il y a quelques semaines à peine. De plus, la dette publique s’est également avérée plus élevée que prévu, atteignant 110,6 % du PIB.

Cette annonce a été accueillie avec inquiétude par le gouvernement, qui redoutait depuis plusieurs semaines cette officialisation. Les raisons de ce dérapage sont attribuées au ralentissement de l’activité économique, un facteur auquel le gouvernement ne s’attendait pas.

Bruno Le Maire, ministre de l’Économie, a souligné que cet écart résultait notamment de « recettes fiscales moins élevées que prévu », avec une perte estimée à 21 milliards d’euros. Il a également pointé du doigt la baisse plus rapide que prévu de l’inflation, entraînant des rentrées moindres, notamment sur la TVA. Par ailleurs, la crise du marché immobilier a également eu un impact négatif sur les recettes fiscales.

Cette révélation survient à un moment délicat pour le gouvernement, alors que les principales agences de notation doivent bientôt évaluer la soutenabilité de la dette française. Une éventuelle dégradation de la note aurait des conséquences néfastes pour la majorité gouvernementale, surtout à l’approche des élections européennes.

Face à ces chiffres alarmants, le gouvernement se trouve confronté à un défi majeur pour redresser les comptes publics. Les ministres Bruno Le Maire et Thomas Cazenave, responsables des Finances publiques, avaient prévu de ramener le déficit à 4,4 % du PIB d’ici la fin de l’année 2024, mais cet objectif semble désormais difficilement réalisable.

Emmanuel Macron a déjà évoqué une révision des objectifs budgétaires, soulignant la nécessité d’un ajustement budgétaire progressif. Bruno Le Maire a appelé à une « prise de conscience collective », suggérant que des économies devraient être réalisées non seulement par l’État mais aussi par les dépenses sociales et les collectivités locales. Cependant, il a exclu toute augmentation d’impôts, envisageant seulement un durcissement de la taxation des producteurs d’électricité.

Cette annonce a sérieusement écorné la crédibilité budgétaire du gouvernement, attaquée par l’opposition qui dénonce son incapacité à maîtriser les finances publiques. Marine Le Pen a déjà critiqué sévèrement ces chiffres, affirmant que le pays n’avait jamais connu une situation budgétaire aussi précaire.

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Économie

Inflation : Les prix des produits alimentaires baissent, mais ceux de l’énergie continuent d’augmenter

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Inflation : Les prix des produits alimentaires baissent, mais ceux de l'énergie continuent d'augmenter

L’Insee publie son dernier rapport sur l’inflation, mettant en lumière une hausse des prix de l’énergie et une légère baisse de l’inflation en février 2024.

Le dernier rapport de l’Insee sur l’inflation en France met en évidence une augmentation des prix de l’énergie, contribuant à maintenir l’inflation à un niveau élevé. Cependant, cette dernière montre également des signes de ralentissement, atteignant 3% sur un an pour le mois de février 2024, légèrement en baisse par rapport au chiffre de 3,1% enregistré en janvier de la même année.

La hausse des prix de l’énergie continue d’exercer une pression à la hausse sur l’inflation, reflétant les défis persistants auxquels sont confrontés les consommateurs français. Cette tendance contraste avec la baisse des prix de l’alimentaire, indiquant une certaine stabilité dans ce secteur.

Malgré cette légère baisse, l’inflation reste un sujet de préoccupation pour les autorités économiques et les ménages, en particulier dans un contexte de volatilité des prix et d’incertitude économique.

Ce rapport souligne l’importance de surveiller de près l’évolution des prix de l’énergie et d’autres facteurs influençant l’inflation, afin de mieux comprendre les tendances économiques et d’anticiper les défis à venir pour l’économie française.

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