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Ligue des champions : Lens bat le Séville FC et s’assure une place en Ligue Europa

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Ligue des champions : Lens bat le Séville FC et s'assure une place en Ligue Europa

Vainqueurs du Séville FC (2-1) mardi au stade Bollaert-Delelis lors de la dernière journée de Ligue des champions, les Sang et Or disputeront les barrages de la Ligue Europa en février.

Le RC Lens a obtenu sa consolation tant attendue après avoir été éliminé de la Ligue des champions lors de la cinquième journée, subissant une défaite écrasante face à Arsenal (0-6). Les Sang et Or ont rebondi devant leur public ce mardi soir, en battant le Séville FC par 2-1. Cette victoire, bien que difficilement acquise avec un but crucial d’Angelo Fulgini à la 96e minute, permettra à Lens de participer à la Ligue Europa lors des barrages de la phase éliminatoire en février.

La qualification et la victoire ne sont pas venues facilement pour les Lensois. Le but de Fulgini en toute fin de match a libéré les fans du stade Bollaert, qui étaient plongés dans l’angoisse après l’égalisation de Sergio Ramos sur penalty à la 79e minute. Tout résultat en faveur de Séville aurait signifié l’élimination de Lens, et le contenu du match laissait craindre le pire pour les joueurs de Franck Haise.

Pendant l’intégralité de la rencontre, Lens a été dominé par le Séville FC en termes de possession de balle, de qualité technique et d’engagement. Alors que Lens n’avait besoin que d’un match nul pour se qualifier pour la Ligue Europa, Séville avait besoin de la victoire pour les surpasser à la troisième place du groupe. Cette domination andalouse a été évidente pendant près d’une heure de jeu. Brice Samba a dû effectuer une superbe parade sur une frappe lointaine d’Ivan Rakitic à la 29e minute pour empêcher le score de refléter cette suprématie sévillane.

En première mi-temps, les Lensois n’ont même pas réussi à toucher le ballon dans la surface adverse, une première depuis l’arrivée de Franck Haise sur le banc en 2020. La deuxième période a montré une légère amélioration, mais Séville est resté dangereux avec une frappe d’Adria Pedrosa qui a heurté la barre transversale à la 57e minute. Cependant, trois minutes plus tard, le public du stade Bollaert a poussé un soupir de soulagement lorsque Lens a enfin montré un peu de combativité.

C’est sur l’une de leurs rares contre-attaques que Facundo Medina a provoqué un penalty en étant fauché par l’ancien joueur de Lille, Boubakary Soumaré. Przemyslaw Frankowski a transformé le penalty à la 63e minute, donnant à Lens un avantage qui semblait injuste étant donné la physionomie du match. Cependant, quelques minutes plus tard, Medina a commis une faute en accrochant Youssef En-Nesyri dans la surface lensoise. Initialement, Brice Samba a sauvé son équipe en repoussant le penalty de Sergio Ramos à la 78e minute, mais le gardien français était sorti de sa ligne au moment du tir.

Samba n’a rien pu faire sur la deuxième tentative de l’ancien défenseur parisien (79e minute), et pendant de longues minutes, il semblait que Lens allait être rattrapé par sa condition de néophyte en Ligue des champions. L’exploit contre Arsenal en début de saison semblait bien loin. Finalement, Angelo Fulgini a assuré la victoire et la qualification, offrant ainsi à Lens une place en Ligue Europa. Les Lensois connaîtront leur adversaire lors du tirage au sort qui se tiendra le 18 décembre prochain. Cette victoire est un moment de réjouissance pour les fans de Lens et une belle récompense pour leur équipe.

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Espagne: Une Française retrouvée morte dans son camping-car, la piste criminelle privilégiée

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Espagne: Une Française retrouvée morte dans son camping-car, la piste criminelle privilégiée

Une femme de 63 ans a été retrouvée morte poignardée dans son camping-car à Alcossebre, sur la côte est de l’Espagne, jeudi 18 juillet. Les enquêteurs n’excluent aucune piste, rapporte le site L’Espanol.

Ce jeudi, une femme a été retrouvée morte dans son camping-car, stationné sur une place d’Alcossebre, sur la côte est de l’Espagne. Le corps de la victime présentait des traces de coups de couteau, selon le média local L’Espanol. Elle avait également un couteau planté dans le visage. La Garde civile a indiqué à nos confrères espagnols que la femme, âgée de 63 ans, était de nationalité française et semblait voyager seule comme touriste.

Une enquête pour meurtre a été ouverte et une autopsie doit être menée prochainement. Pour l’heure, les enquêteurs tentent d’identifier la victime et de recueillir des preuves visant à clarifier la cause du décès. Aucune piste n’est écartée pour le moment. Les premiers éléments de l’enquête ont permis de retracer le parcours de la sexagénaire.

Avant d’arriver à Alcossebre, la victime avait séjourné à Tarragone, à environ 150 km au nord. Elle avait également été inscrite seule. Les forces de l’ordre ont interrogé les voyageurs qui occupaient les caravanes garées à proximité de celle de la femme. Selon les premiers témoignages, elle était garée dans la zone depuis deux jours. Certains ont par ailleurs indiqué avoir vu un homme en compagnie de cette dernière, les heures précédant sa mort. L’individu est actuellement recherché.

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Ukraine : Zelensky favorable à une participation russe à un sommet pour la paix

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Ukraine : Zelensky favorable à une participation russe à un sommet pour la paix

Pour la première fois, le président ukrainien Volodymyr Zelensky s’est déclaré favorable à la participation de représentants russes à un prochain sommet pour la paix. Il reste confiant quant au soutien des États-Unis, même en cas de retour au pouvoir de Donald Trump.

Lundi 15 juillet, le président ukrainien Volodymyr Zelensky a surpris en se déclarant ouvert à la participation de la Russie à un futur sommet pour la paix, organisé par Kiev. Lors d’une conférence de presse, il a affirmé que des représentants russes devraient participer à ce deuxième sommet, espérant qu’un plan puisse être prêt en novembre. Zelensky n’a pas évoqué l’arrêt des hostilités, mais l’établissement d’un plan sur trois sujets : la sécurité énergétique de l’Ukraine, la libre navigation en mer Noire et les échanges de prisonniers.

C’est la première fois que Zelensky envisage des discussions avec la Russie sans exiger un retrait préalable des forces russes du territoire ukrainien. Par le passé, il avait refusé toute négociation tant que Vladimir Poutine resterait au pouvoir, allant jusqu’à signer un décret rendant illégales de telles discussions.

Le premier sommet pour la paix en Ukraine, organisé en Suisse en juin, avait rassemblé une centaine de pays, sans la Russie et sans la Chine, alliée de Moscou. En 2022, l’Ukraine avait proposé un plan de paix en dix points, soutenu par l’Occident et impliquant le retrait des forces russes, une proposition rejetée par Moscou.

Volodymyr Zelensky a également affirmé ne pas craindre une éventuelle réélection de Donald Trump à la présidence américaine, malgré les incertitudes que cela pourrait entraîner sur le soutien de Washington à Kiev. « Je pense que si Donald Trump devient président, nous travaillerons ensemble. Je n’ai pas peur », a-t-il déclaré.

La perspective d’une victoire de Trump en novembre soulève des questions sur la continuité du soutien américain à l’Ukraine. Trump a laissé entendre qu’il mettrait fin rapidement au conflit s’il revenait à la Maison-Blanche, ce qui pourrait contraindre Kiev à négocier dans une position défavorable. Actuellement, près de 20% du territoire ukrainien est encore occupé par la Russie.

Cependant, Zelensky a souligné le soutien significatif du parti républicain aux États-Unis, affirmant que la majorité de ce parti soutient l’Ukraine. Il a récemment rencontré de nombreux élus républicains et noté que certains dirigeants républicains avaient des positions plus radicales que Trump lui-même.

En somme, le président ukrainien se montre ouvert à de nouvelles discussions pour la paix, tout en restant confiant quant au soutien international à son pays, indépendamment des changements politiques à venir aux États-Unis.

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Brest refuse l’accès au voilier russe Shtandart en raison des sanctions européennes

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Brest refuse l'accès au voilier russe Shtandart en raison des sanctions européennes

La réplique d’une frégate russe du XVIIIᵉ siècle pourrait se voir refuser l’accès au port breton en raison des sanctions européennes.

Le navire russe Shtandart, une réplique d’une frégate du XVIIIᵉ siècle, pourrait se voir refuser l’accès au port de Brest lors des fêtes maritimes prévues du 12 au 17 juillet. Bien que l’événement attire chaque année des milliers de spectateurs, l’application des sanctions européennes contre la Russie, étendues depuis le 24 juin aux « navires répliques historiques », menace la participation de ce trois-mâts de 34 mètres de long.

Le Shtandart, parti de La Rochelle jeudi dernier, doit accoster à Brest malgré un arrêté de la préfecture interdisant son entrée. Le capitaine du navire, Vladimir Martus, se dit déterminé à tenter d’accoster, malgré les interdictions. « Nous allons entrer à Brest avec le voilier français Belem et d’autres bateaux (…) Je ne sais pas si la police va m’arrêter ou pas, mais je vais essayer », a-t-il déclaré.

Le navire, arborant désormais le pavillon des Îles Cook après avoir abandonné celui de la Russie à la demande des autorités françaises, suscite la polémique depuis des mois. Le capitaine Martus, qui se présente comme un dissident au régime russe, affirme œuvrer pour « l’amitié entre les peuples de toutes les nations » et a exprimé son soutien à la « lutte héroïque » des Ukrainiens contre l’agression russe, qualifiant Vladimir Poutine de « dictateur ».

Malgré ces déclarations, une source proche du dossier indique que le Shtandart ne devrait pas être autorisé à approcher de Brest, sauf pour une escale technique. Cette décision est soutenue par certains opposants au navire, qui contestent les intentions du capitaine. Bernard Grua, animateur du collectif « No Shtandart In Europe », accuse Martus de ne jamais critiquer la Russie sur les réseaux sociaux, affirmant que ses propos relèvent du « langage du FSB (ex-KGB) ».

Mardi après-midi, une trentaine de détracteurs du Shtandart se sont rassemblés devant la mairie de Brest, brandissant des drapeaux ukrainiens et des pancartes telles que « Russia go home » et « Shtandart: espion russe ». Ils ont également exprimé leur soutien au préfet du Finistère pour sa décision de tenir le navire à distance.

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