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L1: le PSG de Pochettino accroché, Domenech satisfait, Lyon seul leader

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Premières contrastées sur les bancs de Ligue 1: Raymond Domenech avec Nantes a contrarié le rival rennais (0-0) mais Mauricio Pochettino avec le Paris SG a butté contre Saint-Etienne (1-1), dans une 18e journée heureuse pour Lyon et Marseille, et décevante pour Lille.

Au classement, l’OL devient seul leader après son succès 3-2 contre Lens. Battu 2-1 par Angers, Lille laisse la deuxième place au PSG. Rennes (4e) et Marseille (5e), vainqueur 3-1 de Montpellier, sont respectivement à 4 et 5 points du podium.

Pour la reprise du Championnat de France, les regards étaient tournés vers la Beaujoire et Geoffroy-Guichard où ont pris place deux nouveaux venus sur le banc des entraîneurs.

La première de Pochettino, ex-capitaine du PSG nommé samedi à la tête des vice-champions d’Europe, a été gâchée par Saint-Etienne et par une défense parisienne bien trop fébrile, notamment sur l’ouverture du score de Romain Hamouma (19e).

Moïse Kean (22e) a cependant évité à l’Argentin de devenir le premier entraîneur du PSG de l’ère qatarie à perdre pour son baptême du feu.

L’ex-entraîneur de Tottenham (2014-2019), privé de Neymar, a pu constater à quel point sa défense pouvait être fragile. Au rayon des satisfactions, il retiendra peut-être l’activité intéressante de Marco Verratti comme meneur de jeu, avec une passe décisive à la clé.

 

Domenech satisfait

Du côté de Nantes, Domenech a tenu le choc face à Rennes, rival historique des Canaris et favori d’une rencontre qu’ils ont dominée, sans parvenir à faire la différence.

« Au bilan comptable, ça ne fait qu’un point, mais je garde l’organisation, la solidité, l’envie de jouer ensemble contre une belle équipe de Rennes », s’est félicité l’ancien sélectionneur des Bleus (2004-2010).

Le doyen des entraîneurs de L1, bientôt 69 ans, n’avait innové qu’en titularisant Kalifa Coulibaly, très peu utilisé cette saison. L’attaquant s’est distingué par une passe pour Imran Louza (14e) pas loin d’être décisive et une tête lointaine (81e) passée au-dessus de la cage rennaise.

Nantes est 17e avec trois points d’avance sur le barragiste Dijon, revenu avec un point de Reims (0-0).

Dans le haut de tableau, l’OL a assuré contre Lens grâce notamment à un doublé de son capitaine Memphis Depay (38e, 52e sur penalty).

Cela permet aux hommes de Rudi Garcia de caracoler seuls en tête du championnat avec trois points d’avance sur Paris et Lille.

Menés 2-0 après dix minutes de jeu, les Dogues ont retrouvé du mordant grâce à leur attaquant turc Burak Yilmaz (42e), mais son 8e but cette saison n’a pas suffi.

Mal en point avant la trêve, Marseille a retrouvé des couleurs face à Montpellier, concurrent direct battu sur des buts de Nemenja Radonjic (41e), Dimitri Payet (80e) et Valère Germain (84e).

Au classement, l’OM (5e) revient à un point de Rennes, avec deux matches en retard à disputer. Il compte une unité d’avance sur Angers, vainqueur 2-0 de Nice, et sur Monaco qui a écrasé 5-2 une équipe de Lorient en infériorité numérique.

 

Golovin, retour en fanfare

En Bretagne, la partie s’est emballée après l’heure de jeu avec trois buts en quatre minutes, dont celui du revenant Aleksandr Golovin. L’attaquant russe de l’ASM, après quatre mois d’absence, a fêté son retour en marquant cinq secondes après son entrée en jeu!

L’autre carton de la soirée a été signé par Strasbourg, impitoyable face à la lanterne rouge Nîmes (5-0). Les Alsaciens, seizièmes au classement, se donnent un peu d’air au classement avec quatre points d’avance sur Dijon.

Strasbourg, qui avait quitté la L1 fin décembre sur deux défaites sans marquer le moindre but, a soigné ses statistiques grâce notamment à Ludovic Ajorque (37e, 51e) qui a raté le triplé sur penalty (58e).

A Metz (0-0), Bordeaux n’a pas été aussi flamboyant en l’absence de son N.10 Hatem Ben Arfa, indisponible.

Dans un autre duel de milieu de tableau, Nice a été défait 2-0 à Brest à cause d’erreurs défensives exploitées par Steve Mounié (22e) et Franck Honorat (27e), sous les yeux du jeune défenseur central William Saliba, prêté lundi à l’OGCN par Arsenal.

Le gardien brestois Gautier Larsonneur a failli relancer Nice avec un dégagement complètement manqué qui a rebondi sur son propre but (36e), une scène qui a fait le bonheur des internautes.

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JO d’hiver 2030 : les Alpes françaises, seule candidature retenue

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JO d'hiver 2030 : les Alpes françaises, seule candidature retenue

La France est en passe d’organiser les Jeux olympiques d’hiver en 2030. Le CIO a écarté les autres candidatures en lice.

Les Alpes françaises sont en excellente position pour accueillir les Jeux olympiques d’hiver 2030, devenant ainsi la quatrième ville hôte de cet événement emblématique. Le Comité international olympique (CIO) a annoncé aujourd’hui que la France est la seule candidature retenue, marquant ainsi un moment historique dans l’histoire des Jeux olympiques d’hiver.

Le projet olympique, porté conjointement par les deux régions françaises d’Auvergne – Rhône-Alpes et Provence-Alpes-Côte d’Azur, a réussi à convaincre la commission exécutive du CIO grâce à son dossier de candidature solide et à une présentation convaincante lors du grand oral de 45 minutes. Cette décision fait suite à des mois de préparation et de compétition intense entre plusieurs nations aspirantes à l’accueil des Jeux olympiques d’hiver 2030.

La France a une longue histoire de réussite dans l’organisation des Jeux olympiques d’hiver, avec des précédents à Chamonix en 1924, Grenoble en 1968 et Albertville en 1992. Le choix des Alpes françaises comme hôte des Jeux olympiques d’hiver 2030 est le fruit d’un projet ambitieux qui met en avant 95 % de sites existants, de Nice au Grand-Bornand, en passant par Courchevel Méribel, Val d’Isère et La Clusaz.

Malgré une concurrence sérieuse de la part de la Suède et de la Suisse, la France a réussi à l’emporter grâce à la qualité de son dossier de candidature et à la solidité de son projet. Les Scandinaves avaient précédemment candidaté pour les Jeux olympiques d’hiver 2026, qui finiront par se dérouler à Milan-Cortina d’Ampezzo en Italie. Cependant, face à la puissance et à la tradition des sports d’hiver en France, ces deux pays ont été contraints d’abandonner leur candidature.

La décision finale concernant l’attribution des Jeux olympiques d’hiver 2030 sera officialisée en juillet 2024 lors de la session du CIO à Paris, juste avant le début des Jeux Olympiques d’été. Si tout se passe comme prévu, les amoureux du sport du monde entier auront rendez-vous dans les Alpes françaises pour une nouvelle olympiade hivernale mémorable en 2030.

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Paris 2024 : « On ne va pas être prêts », selon Anne Hidalgo

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Paris 2024 : « On ne va pas être prêts », selon Anne Hidalgo

Dans l’émission « Quotidien », la maire de Paris a annoncé mercredi du retard dans la préparation des JO 2024 à Paris d’un point de vue des transports en commun.

Alors que Paris se prépare à accueillir les Jeux Olympiques et Paralympiques en 2024, la maire de la ville, Anne Hidalgo, a récemment exprimé des inquiétudes concernant l’état de préparation des infrastructures de transport. Lors de son apparition dans l’émission « Quotidien » sur TMC mercredi soir, la maire socialiste a indiqué que Paris n’était « pas prête » en termes de transports, évoquant un nombre et une fréquence de trains insuffisants dans certaines zones.

La future station du RER E à la Porte Maillot a été spécifiquement mentionnée comme un point critique. « Il y a des endroits où les transports ne seront pas prêts parce qu’il n’y aura pas le nombre de trains et la fréquence », a précisé Hidalgo. Elle a également souligné les difficultés quotidiennes existantes dans le réseau de transport parisien et la lutte pour atteindre les niveaux requis de ponctualité et de confort.

Interrogée sur la responsabilité de ces retards, la maire a évoqué le rôle du gouvernement et de la Région Île-de-France, tout en reconnaissant sa propre implication dans le processus. Clément Beaune, ministre délégué chargé des Transports, a rapidement répondu en critiquant l’approche médiatique de Hidalgo.

Valérie Pécresse, présidente de la région Île-de-France, a elle aussi commenté sur les réseaux sociaux, en insistant sur la nécessité de la participation active d’Anne Hidalgo aux comités stratégiques sur les transports.

Outre les préoccupations liées aux transports, Anne Hidalgo a également abordé le sujet des personnes sans domicile fixe, pointant du doigt un autre défi majeur à relever avant les Jeux.

Les Jeux Olympiques et Paralympiques de 2024 représentent un événement de grande ampleur pour Paris, avec près de 15 millions de spectateurs attendus. La promesse faite par les autorités d’assurer un accès 100 % public aux sites de compétition souligne l’importance cruciale de résoudre ces problèmes de mobilité dans un délai serré. La préparation de la capitale française pour cet événement mondial est désormais plus que jamais sous le feu des projecteurs.

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Éliminatoires de l’Euro 2024 : l’équipe de France termine son année 2023 par un match nul en Grèce

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Éliminatoires de l’Euro 2024 : l’équipe de France termine son année 2023 par un match nul en Grèce

Avant l’important Euro 2024 en Allemagne, Didier Deschamps, le sélectionneur de l’équipe de France, se retrouve face à un défi crucial. Avec seulement deux matchs amicaux programmés en mars, il lui faut prendre des décisions déterminantes sur la composition de son équipe. Cette année 2023 s’est achevée par un match nul (2-2) contre la Grèce, offrant à Deschamps matière à réflexion.

En dépit de l’équipe remaniée contre la Grèce, les leaders incontestés restent Kylian Mbappé et Antoine Griezmann, avec Mike Maignan comme gardien de but principal. Deschamps a figé pour l’instant la hiérarchie des gardiens, avec Brice Samba et Alphonse Areola en tant que remplaçants.

La défense semble également avoir ses favoris. Jules Koundé, malgré une performance mitigée contre la Grèce, garde son poste à l’arrière droit. Les frères Hernandez se disputent la place à gauche, tandis que la paire centrale Dayot Upamecano et Ibrahima Konaté, formée lors de la Coupe du monde, conserve la confiance du sélectionneur.

Le milieu de terrain s’articulera autour d’Aurélien Tchouameni, d’Eduardo Camavinga et d’Adrien Rabiot, ce dernier gagnant en leadership. L’attaque verra une compétition entre Ousmane Dembélé et Kingsley Coman pour l’aile droite, et bien qu’Olivier Giroud, à 37 ans, ne soit pas assuré d’une place de titulaire, son expérience reste précieuse.

Des joueurs comme Randal Kolo Muani et Marcus Thuram se détachent pour leurs récentes performances, augmentant leurs chances de figurer dans la liste finale. En défense, Benjamin Pavard, désormais désireux d’évoluer comme défenseur central, pourrait laisser sa place sur le côté droit à Jonathan Clauss.

Dans le secteur du milieu de terrain, Youssouf Fofana et le jeune Warren Zaïre-Emery, impressionnant avec le PSG, sont des noms à surveiller. La défense centrale, quant à elle, offre peu de place pour les nouveaux venus, malgré les efforts de joueurs comme William Saliba ou Jean-Clair Todibo.

Boubacar Kamara pourrait se frayer un chemin au milieu, tandis que Christopher Nkunku et le jeune Mathys Tel restent des options offensives à considérer en fonction de leur forme et progression.

Alors que 16 places semblent déjà attribuées, la concurrence reste féroce pour les 9 places restantes. Deschamps devra équilibrer expérience et jeunesse pour construire une équipe capable de briller en Allemagne en 2024.

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