Nous rejoindre sur les réseaux

Frontignan

Frontignan – Neptune Olympique: Gérard Prato dénonce l’inaction de Pierre Bouldoire et Michel Arrouy

Article

le

Cela fait 7 mois que l’affaire du club de natation de Frontignan le Neptune Olympique Frontignan a éclaté au grand jour. 

En effet l’ancienne adjointe aux finances de la Ville de Frontignan est soupçonnée d’un détournement de fonds de l’association de natation. D’après des relevés bancaires Mireille Durand aurait utilisé la carte bancaire de l’association à quatorze reprises pour des achats dans trois bureaux de tabac de Frontignan, pour un montant total de plus de 500 euros. Un compte pour un club sportif. On y retrouve également une dépense de plus de 70 € dans un salon de coiffure.

Dans un communiqué Gérard Prato élu d’opposition de droite à Frontignan dénonce l’inaction de la majorité devant cette affaire, « depuis les révélations par la presse au mois de juin 2020 de graves soupçons de détournements de fonds par l’adjointe aux finances de Pierre Bouldoire, les Frontignanais et Lapeyradois attendent de connaître la vérité. Cela fait 7 mois que cette affaire est au point mort et Michel Arrouy semble vouloir protéger Mireille Bertrand, soupçonnée, en sa qualité de trésorière du NOF, d’avoir utilisé la carte de paiement du club pour ses propres besoins ».

Pour Gérard Prato la majorité tente d’étouffer l’affaire, « Pierre Bouldoire et Michel Arrouy ont refusé de porter plainte contre leur ancienne collègue. Laissant sous-entendre que cette démarche devrait être effectuée par le Président du NOF, ils ont indiqué avoir simplement transmis ce dossier à la Chambre Régionale des Comptes (CRC), allant jusqu’à évoquer la possibilité d’un audit privé pour éclaircir cette affaire », explique t-il. Avant de s’interroger, « ni la Chambres des Comptes Régionales, ni un quelconque cabinet d’audit, ni le NOF, n’ont à ce jour, et jusqu’à preuve du contraire, mené la moindre démarche. Pierre Bouldoire, et maintenant Michel Arrouy, tentent tout simplement de gagner du temps, en espérant que cette histoire soit oubliée. Mais qu’ont-ils réellement à cacher dans cette affaire pour œuvrer de la sorte ? ».

Gérard Prato rappelle que, « dès le conseil municipal d’installation du 05 juillet 2020, Gilles Ardinat, élu d’opposition à mes côtés, avait invité à faire toute la transparence sur cette triste affaire. La réponse de Michel Arrouy avait été consternante et Gilles Ardinat fut fustigé par la majorité ».

L’élu d’opposition explique dans son communiqué que l’opposition se substitue à un maire défaillant et à donc saisi le Procureur de la République en date du 26 Juin 2020. « Est-il normal que ce soit à un élu d’opposition d’engager des démarches, à la place du maire, sur une affaire aussi importante ? ».

Gérard Prato s’interroge, « depuis combien de temps, Mireille Bertrand, adjointe aux Finances de la Ville lors du mandat de Pierre Bouldoire, a-t-elle utilisé, en tant que trésorière du NOF, la carte bleue du club de natation pour ses propres besoins ? Quelle est la somme exacte qu’elle aurait détournée, la presse indiquant un montant de plus de 3000 euros pour le seul mois de mars 2020 ? Comment une telle dérive a pu être possible, sachant qu’un quitus doit être délivré après vérification des comptes chaque année lors de l’assemblée générale. Mme Bertrand aurait-elle bénéficié de protection ou de complicité ? ».

L’élu d’opposition de droite de Frontignan demande que, « toutes ces sommes devront bien évidement être remboursées, puisqu’il s’agit de l’argent des contribuables frontignanais (subventions municipales) mais également des adhérents du NOF. Soucieuse du bon usage de l’argent public, l’opposition frontignanaise continuera à jouer pleinement son rôle lors des prochains conseils municipaux, vous pouvez compter sur elle pour briser l’omerta voulue par la gauche frontignanaise sur cette affaire ».

Télécharger l’application Le Singulier > IOS (iPhone) > Android (Samsung) <

À LIRE AUSSI > Le Singulier a déposé plainte contre Midilibre Sète

Bouzigues

Revivez la semaine des 350 ans de la Ville de Sète

Article

le

Revivez la semaine des 350 ans de la Ville de Sète
©Kok

La semaine des 350 ans de la Ville de Sète a été marquée par une série de révélations et de rebondissements qui ont secoué le paysage politique local. Voici un résumé des événements marquants de cette semaine chargée, présentés par notre rédaction.

1.Affaire mystérieuse autour du directeur des HLM de Sète :

L’accord de départ mystérieux de Jean-Paul GIRAL, ancien directeur de l’Office Public de Sète Thau Habitat, a soulevé des questions troublantes concernant la transparence financière au sein de cette institution publique. Les détails de cet accord intriguent la communauté locale.

>Lire l’article

2.Pratiques de censure sur les réseaux sociaux :

Une enquête de notre rédaction révèle des pratiques de censure sur les réseaux sociaux de la ville de Sète, laissant les citoyens privés de leur droit à la liberté d’expression. Cette révélation remet en question la transparence de l’administration locale et suscite des inquiétudes quant à la communication publique.

>Lire l’article

3.Tensions au Conseil Municipal à Sète :

Un coup de théâtre au Conseil Municipal de la ville de Sète, où deux élus ont quitté la séance, accusant François Commeinhes d’espionnage. Les dissensions politiques et les allégations explosives ont ébranlé la scène politique locale.

>Lire l’article

4.Désaveu du président de Sète Agglopôle :

Au sein de Sète Agglopôle, le président fait face à un désaveu notable malgré les vents contraires. François Commeinhes peut néanmoins compter sur le soutien indéfectible du maire de Frontignan, Michel Arrouy, dans un contexte politique tendu.

>Lire l’article

5.L’Ombre de François Commeinhes sur Bouzigues :

La crise politique secouant le paisible village de Bouzigues est marquée par des accusations de clientélisme, des divisions au sein de la majorité, et une opposition qui semble ne pas être à la hauteur. L’influence de François Commeinhes plane sur cette situation complexe.

>Lire l’article

Lire Plus

Frontignan

Sète Agglopôle : Un président désavoué toujours soutenu par Michel Arrouy

Article

le

Sète Agglopôle : Un président désavoué toujours soutenu par Michel Arrouy
©SèteAgglopôleMéditerranée

Malgré les vents contraires, François Commeinhes peut compter sur l’appui indéfectible du maire de Frontignan, Michel Arrouy.

Ce jeudi, à 17 heures, le conseil communautaire de Sète Agglopôle Méditerranée (SAM) se réunira à Villeyrac, marquant ainsi la rentrée politique pour les élus communautaires. Cependant, les mois récents ont été tumultueux au sein de la SAM, avec un désaveu significatif de la part de certains de ses vice-présidents et des critiques grandissantes envers François Commeinhes, son président.

Au cœur de la controverse se trouve une augmentation de 75 % de la taxe foncière que quatre vice-présidents de la SAM ont rejetée en bloc. De plus, un événement majeur, passé quasiment inaperçu cet été, a exposé la fragilité de la direction de François Commeinhes au sein de cette assemblée communautaire.

En juin 2023, François Commeinhes a demandé aux communes affiliées à la SAM de soumettre au vote de leurs conseils municipaux le transfert de la séquence « éviter, réduire, compenser » (ERC), qui relève actuellement de leur compétence, vers la communauté d’agglomération. Ce transfert a été l’occasion d’évaluer le sentiment général à l’égard de la présidence de François Commeinhes parmi les conseillers municipaux n’appartenant pas à la SAM.

Dans la lignée du mécontentement général envers la gestion de François Commeinhes, les conseillers municipaux des communes ont exprimé ouvertement leur désaccord et ont rejeté ce transfert de compétences. Sur les 14 communes concernées, 6 ont opposé leur refus. Soit quasiment la moitié des communes qui sont contre ce nouveau transfert de compétences à la SAM.

Les conseils municipaux de Mèze, Mireval, Montbazin, Balaruc-le-Vieux, Loupian et Bouzigues se sont tous prononcés contre la volonté de François Commeinhes, généralement en accord avec leur maire. Cependant, à Bouzigues, un fait notable s’est produit lorsque Cédric Raja a cherché à suivre la ligne du président de la SAM. Sa tentative a été violemment rejetée par une courageuse majorité municipale, isolant ainsi le maire de Bouzigues dans sa décision.

Selon nos informations, le motif avancé dans le refus des communes concernées est que de nombreux transferts de compétences profitent à la ville de Sète au détriment des autres communes. De plus, de nombreux problèmes de fonctionnement persistent au sein de la SAM. Ainsi, l’heure ne semble pas venue d’accorder un transfert supplémentaire qui pourrait une fois de plus défavoriser les communes qui se considèrent comme invisibles. Il reste à observer si ce transfert de compétences vers la SAM est juridiquement possible désormais, quand un grand nombre s’y oppose.

Malgré ces revers, François Commeinhes fera sa rentrée rentrée politique à la SAM avec confiance. Le maire affairiste de Sète garde toujours une faible majorité pour faire passé les délibérations discutable dans cette assemblée grâce au soutien indéfectible du maire socialiste de Frontignan, Michel Arrouy, et des conseillers communautaires frontignans qui l’accompagnent. Cette solidarité persistante soulève des questions sur les liens entre les politiciens locaux, en particulier lorsque leurs antécédents politiques sont variés.

Bien que François Commeinhes ait bénéficié du soutien de Robert Ménard lors des élections sénatoriales de 2014, il semble que le maire socialiste de Frontignan n’ait aucun problème à collaborer avec des individus ayant des liens passés avec l’extrême-droite. Il est à rappeler que le maire de Béziers avait annoncé, lors d’un meeting en soutien à Sébastien Pacull à Sète le 21 janvier 2020, qu’il avait contribué à mobiliser les voix des environs de Béziers afin de garantir à François Commeinhes un siège au Palais du Luxembourg. Manifestement, cela ne semble pas poser de problème au maire socialiste de Frontignan quand il s’agit de faire des affaires politiques, bien qu’il soit très enclin à dénoncer la montée de l’extrême droite dans sa commune.

Alors que la SAM traverse une période d’incertitude politique, l’énigme persistante demeure : jusqu’où ira le soutien indéfectible de Michel Arrouy envers François Commeinhes, quel que soit le prix à payer sur le plan politique ? Le conseil communautaire de ce jeudi pourrait donner quelques éléments de réponse à cette énigme politique.

Télécharger l’application Le Singulier > IOS (iPhone) > Android (Samsung)

À LIRE AUSSI > Frontignan : le maire socialiste et les élus écologistes vont trahir les électeurs de gauche

Lire Plus

Frontignan

Hérault : le député Nupes, Sylvain Carrière, dénonce les atteintes aux libertés publiques

Article

le

Hérault : le député Nupes, Sylvain Carrière, dénonce les atteintes aux libertés publiques
©SylvainCarrière

Sylvain Carrière s’insurge contre les restrictions de la liberté de rassemblement et les accusations de sortie de l’arc républicain.

Dans une déclaration sans équivoque, Sylvain Carrière, député NUPES de l’Hérault, s’est exprimé avec véhémence contre les récentes accusations portées à l’encontre des députés Insoumis, les accusant de sortir de « l’arc républicain ».

« Après avoir bafoué pendant des mois la représentativité nationale, bâillonnant notamment les députés sur leur droit d’amendement, voilà que Mme Borne se permet d’accuser depuis la tribune de l’Assemblée les députés Insoumis de sortir de ‘l’arc républicain' », a déclaré Sylvain Carrière avec indignation.

Il a poursuivi en affirmant : « Se mobiliser contre l’interdiction d’un rassemblement en mémoire d’Adama Traoré serait donc un crime de lèse majesté ? Appeler à une réponse politique après le tragique épisode qui a suivi la mort du jeune Nahel ne serait donc pas une posture républicaine ? Petit à petit, les libertés publiques perdent du terrain. Ne plus pouvoir manifester contre un pouvoir, c’est en accepter le discours. Là est la pente autoritaire. »

Dans sa prise de parole, le député de l’Hérault fait référence à la présence de députés NUPES lors de la manifestation en mémoire d’Adama Traoré qui avait été interdite.

Sylvain Carrière a souligné le caractère symbolique de ses propos en cette période, déclarant : « A quelques jours du 14 juillet, jour de fête Nationale, jour anniversaire de la prise de la Bastille, les Insoumis ont autant leur place dans l’arc républicain que les sans-culottes ! Leur engagement en faveur des libertés individuelles et de l’égalité est essentiel dans notre démocratie. »

Avec cette déclaration, le député de la 8e circonscription de l’Hérault se positionne en défenseur des libertés publiques et critique la tendance autoritaire qu’il perçoit dans les restrictions imposées aux rassemblements et les accusations portées contre les députés Insoumis.

Télécharger l’application Le Singulier > IOS (iPhone) > Android (Samsung)

Lire Plus

Les + Lus