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Escalade militaire : Washington prêt à intervenir contre l’Iran, Téhéran résiste

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Les tensions atteignent un point critique alors que les frappes israéliennes se poursuivent et que les États-Unis envisagent une implication directe dans le conflit.

Pour la septième nuit consécutive, l’aviation israélienne a mené des attaques ciblées sur plusieurs sites iraniens, dont des infrastructures nucléaires. Le président américain a laissé entendre qu’une intervention militaire des États-Unis n’était pas exclue si la situation l’exigeait. « Nous ne voulons pas entrer en guerre, mais si l’alternative est de laisser l’Iran obtenir l’arme atomique, alors nous agirons », a-t-il déclaré, sans confirmer ni infirmer une éventuelle opération.

En réponse, le guide suprême iranien a réaffirmé avec fermeté que son pays ne capitulerait pas. Les forces israéliennes, qui contrôlent désormais l’espace aérien iranien, ont intensifié leurs frappes, visant notamment la capitale Téhéran et ses environs. Des alertes ont été lancées pour évacuer des zones proches de complexes nucléaires, laissant présager de nouvelles destructions.

Les pertes humaines s’alourdissent des deux côtés, avec des centaines de victimes en Iran et plusieurs dizaines en Israël. Les représailles iraniennes, initialement massives, semblent perdre en intensité depuis quelques jours. Washington a déployé des renforts militaires dans la région, dont un troisième porte-avions, tandis que l’Iran accuse Israël de perturber délibérément ses réseaux de communication.

Les négociations semblent au point mort. Si des contacts auraient été pris entre responsables iraniens et américains, Téhéran a vivement démenti toute demande de pourparlers. Le président russe, quant à lui, a estimé que les frappes israéliennes renforçaient paradoxalement le régime iranien, tout en niant toute demande d’assistance militaire de la part de l’Iran.

Sur le terrain, la population subit de plein fouet les conséquences du conflit. Les pénuries de denrées alimentaires et de carburant se multiplient, provoquant des files d’attente interminables et une flambée des prix. Les commerces ferment, et l’économie locale est mise à rude épreuve. Alors que la situation humanitaire se dégrade, la communauté internationale craint une extension du conflit, avec des répercussions imprévisibles pour toute la région.

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