Nous rejoindre sur les réseaux

Sports

Coupe de France: Angers prend sa revanche sur Rennes

Article

le

coupe-de-france:-angers-prend-sa-revanche-sur-rennes

Angers a éliminé Rennes 2-1 en 32e de finale de Coupe de France jeudi dans un stade Raymond Kopa balayé par un vent glacial, prenant ainsi sa revanche après sa défaite épique de l’an dernier.

Il y a un an, en 8e de finale de l’édition 2020, Angers, finaliste de l’édition 2017, et Rennes, alors tenant du titre, avaient disputé le dernier match spectaculaire de la compétition avant la suppression des prolongations en Coupe de France.

Menés 3-1 à la 85e, les Angevins avaient égalisé à 3-3 pour arracher des prolongations. De nouveau menés, ils étaient revenus à 4-4 avant de céder à la 110e sur une frappe de Jérémy Gélin, actuellement en prêt à Anvers (1ère div. belge).

Dans le même stade, sous la direction du même arbitre Thomas Léonard, mais cette fois à huis clos, les Angevins ont cueilli les Rennais à froid dès les premières minutes. Le meneur Angelo Fulgini s’est d’abord défait de la charnière centrale rennaise pour tromper Alfred Gomis de la tête, sur un centre millimétré de Vincent Manceau (1-0, 4e).

Le même Fulgini a ensuite transformé d’une frappe au ras du poteau un penalty sifflé pour une faute du capitaine rennais Damien Da Silva sur Pierrick Capelle (2-0, 11e).

Stérile possession rennaise

Face à des Angevins bien organisés en défense, les Rouge et Noir sont alors retombé dans leur jeu de possession stérile, incapables de s’approcher du but adverse.

Dans le même temps, Angers restait dangereux en contre et a manqué de peu de prendre le large quand un tir de Sada Thioub dévié par Gomis est revenu sur Mohamed-Ali Cho. En déséquilibre, l’attaquant de 17 ans, qui fêtait jeudi sa première titularisation en professionnel, a manqué sa reprise, détournée sur la ligne par Nayef Aguerd.

Serhou Guirassy, entré en jeu quelques minutes peu après la pause en replacement de Benjamin Del Castillo sonné par un dégagement reçu en plein visage, a finalement relancé le match d’une splendide frappe enroulée, quasiment dos au but, qui a trouvé le poteau entrant (2-1, 53e).

Le même Guirassy s’est ensuite enfoncé dans la surface pour délivrer un bon centre en retrait pour Martin Terrier, qui a complètement manqué sa frappe (69e). Et il a frôlé le cadre de la tête (82e). Mais les Angevins ont tenu bon.

Corrigés dimanche à Nice 3-0 en championnat, ils attendent désormais les Nantais d’Antoine Kombouaré dans trois jours. Quant aux Rennais, décrochés par le quatuor de tête en Ligue 1, ils auront l’occasion de se relancer dimanche face aux Stéphanois, eux aussi éliminés jeudi.

Click to comment

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Sports

JO d’hiver 2030 : les Alpes françaises, seule candidature retenue

Article

le

JO d'hiver 2030 : les Alpes françaises, seule candidature retenue

La France est en passe d’organiser les Jeux olympiques d’hiver en 2030. Le CIO a écarté les autres candidatures en lice.

Les Alpes françaises sont en excellente position pour accueillir les Jeux olympiques d’hiver 2030, devenant ainsi la quatrième ville hôte de cet événement emblématique. Le Comité international olympique (CIO) a annoncé aujourd’hui que la France est la seule candidature retenue, marquant ainsi un moment historique dans l’histoire des Jeux olympiques d’hiver.

Le projet olympique, porté conjointement par les deux régions françaises d’Auvergne – Rhône-Alpes et Provence-Alpes-Côte d’Azur, a réussi à convaincre la commission exécutive du CIO grâce à son dossier de candidature solide et à une présentation convaincante lors du grand oral de 45 minutes. Cette décision fait suite à des mois de préparation et de compétition intense entre plusieurs nations aspirantes à l’accueil des Jeux olympiques d’hiver 2030.

La France a une longue histoire de réussite dans l’organisation des Jeux olympiques d’hiver, avec des précédents à Chamonix en 1924, Grenoble en 1968 et Albertville en 1992. Le choix des Alpes françaises comme hôte des Jeux olympiques d’hiver 2030 est le fruit d’un projet ambitieux qui met en avant 95 % de sites existants, de Nice au Grand-Bornand, en passant par Courchevel Méribel, Val d’Isère et La Clusaz.

Malgré une concurrence sérieuse de la part de la Suède et de la Suisse, la France a réussi à l’emporter grâce à la qualité de son dossier de candidature et à la solidité de son projet. Les Scandinaves avaient précédemment candidaté pour les Jeux olympiques d’hiver 2026, qui finiront par se dérouler à Milan-Cortina d’Ampezzo en Italie. Cependant, face à la puissance et à la tradition des sports d’hiver en France, ces deux pays ont été contraints d’abandonner leur candidature.

La décision finale concernant l’attribution des Jeux olympiques d’hiver 2030 sera officialisée en juillet 2024 lors de la session du CIO à Paris, juste avant le début des Jeux Olympiques d’été. Si tout se passe comme prévu, les amoureux du sport du monde entier auront rendez-vous dans les Alpes françaises pour une nouvelle olympiade hivernale mémorable en 2030.

Lire Plus

France

Paris 2024 : « On ne va pas être prêts », selon Anne Hidalgo

Article

le

Paris 2024 : « On ne va pas être prêts », selon Anne Hidalgo

Dans l’émission « Quotidien », la maire de Paris a annoncé mercredi du retard dans la préparation des JO 2024 à Paris d’un point de vue des transports en commun.

Alors que Paris se prépare à accueillir les Jeux Olympiques et Paralympiques en 2024, la maire de la ville, Anne Hidalgo, a récemment exprimé des inquiétudes concernant l’état de préparation des infrastructures de transport. Lors de son apparition dans l’émission « Quotidien » sur TMC mercredi soir, la maire socialiste a indiqué que Paris n’était « pas prête » en termes de transports, évoquant un nombre et une fréquence de trains insuffisants dans certaines zones.

La future station du RER E à la Porte Maillot a été spécifiquement mentionnée comme un point critique. « Il y a des endroits où les transports ne seront pas prêts parce qu’il n’y aura pas le nombre de trains et la fréquence », a précisé Hidalgo. Elle a également souligné les difficultés quotidiennes existantes dans le réseau de transport parisien et la lutte pour atteindre les niveaux requis de ponctualité et de confort.

Interrogée sur la responsabilité de ces retards, la maire a évoqué le rôle du gouvernement et de la Région Île-de-France, tout en reconnaissant sa propre implication dans le processus. Clément Beaune, ministre délégué chargé des Transports, a rapidement répondu en critiquant l’approche médiatique de Hidalgo.

Valérie Pécresse, présidente de la région Île-de-France, a elle aussi commenté sur les réseaux sociaux, en insistant sur la nécessité de la participation active d’Anne Hidalgo aux comités stratégiques sur les transports.

Outre les préoccupations liées aux transports, Anne Hidalgo a également abordé le sujet des personnes sans domicile fixe, pointant du doigt un autre défi majeur à relever avant les Jeux.

Les Jeux Olympiques et Paralympiques de 2024 représentent un événement de grande ampleur pour Paris, avec près de 15 millions de spectateurs attendus. La promesse faite par les autorités d’assurer un accès 100 % public aux sites de compétition souligne l’importance cruciale de résoudre ces problèmes de mobilité dans un délai serré. La préparation de la capitale française pour cet événement mondial est désormais plus que jamais sous le feu des projecteurs.

Lire Plus

Sports

Éliminatoires de l’Euro 2024 : l’équipe de France termine son année 2023 par un match nul en Grèce

Article

le

Éliminatoires de l’Euro 2024 : l’équipe de France termine son année 2023 par un match nul en Grèce

Avant l’important Euro 2024 en Allemagne, Didier Deschamps, le sélectionneur de l’équipe de France, se retrouve face à un défi crucial. Avec seulement deux matchs amicaux programmés en mars, il lui faut prendre des décisions déterminantes sur la composition de son équipe. Cette année 2023 s’est achevée par un match nul (2-2) contre la Grèce, offrant à Deschamps matière à réflexion.

En dépit de l’équipe remaniée contre la Grèce, les leaders incontestés restent Kylian Mbappé et Antoine Griezmann, avec Mike Maignan comme gardien de but principal. Deschamps a figé pour l’instant la hiérarchie des gardiens, avec Brice Samba et Alphonse Areola en tant que remplaçants.

La défense semble également avoir ses favoris. Jules Koundé, malgré une performance mitigée contre la Grèce, garde son poste à l’arrière droit. Les frères Hernandez se disputent la place à gauche, tandis que la paire centrale Dayot Upamecano et Ibrahima Konaté, formée lors de la Coupe du monde, conserve la confiance du sélectionneur.

Le milieu de terrain s’articulera autour d’Aurélien Tchouameni, d’Eduardo Camavinga et d’Adrien Rabiot, ce dernier gagnant en leadership. L’attaque verra une compétition entre Ousmane Dembélé et Kingsley Coman pour l’aile droite, et bien qu’Olivier Giroud, à 37 ans, ne soit pas assuré d’une place de titulaire, son expérience reste précieuse.

Des joueurs comme Randal Kolo Muani et Marcus Thuram se détachent pour leurs récentes performances, augmentant leurs chances de figurer dans la liste finale. En défense, Benjamin Pavard, désormais désireux d’évoluer comme défenseur central, pourrait laisser sa place sur le côté droit à Jonathan Clauss.

Dans le secteur du milieu de terrain, Youssouf Fofana et le jeune Warren Zaïre-Emery, impressionnant avec le PSG, sont des noms à surveiller. La défense centrale, quant à elle, offre peu de place pour les nouveaux venus, malgré les efforts de joueurs comme William Saliba ou Jean-Clair Todibo.

Boubacar Kamara pourrait se frayer un chemin au milieu, tandis que Christopher Nkunku et le jeune Mathys Tel restent des options offensives à considérer en fonction de leur forme et progression.

Alors que 16 places semblent déjà attribuées, la concurrence reste féroce pour les 9 places restantes. Deschamps devra équilibrer expérience et jeunesse pour construire une équipe capable de briller en Allemagne en 2024.

Lire Plus

Les + Lus