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Faits Divers

Marseille : Nouvelle enquête sur des violences policières présumées lors des émeutes de l’été

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Suite à une plainte déposée par un jeune homme, une enquête est ouverte sur des faits de violences policières présumées lors des nuits d’émeutes fin juin-début juillet.

Le parquet de Marseille a annoncé l’ouverture d’une nouvelle enquête concernant des faits présumés de violences policières, à la suite d’une plainte déposée par un jeune homme. Les faits auraient eu lieu lors des nuits d’émeutes qui ont agité la cité phocéenne entre fin juin et début juillet.

L’enquête porte sur des chefs de « violences volontaires en réunion ayant entraîné une mutilation ou infirmité permanente par personne dépositaire de l’autorité publique et avec arme », a déclaré le parquet. Les faits en question se seraient déroulés dans la nuit du 30 juin au 1er juillet.

C’est au cours de cette nuit que le centre de Marseille a été le théâtre de violentes émeutes suite à la mort de Nahel, un adolescent de 17 ans, tué par un policier à Nanterre (Hauts-de-Seine) lors d’un contrôle routier le 27 juin.

Cette nouvelle enquête du parquet de Marseille survient alors que quatre policiers de la ville ont été mis en examen la semaine dernière, dont un placé en détention provisoire. Ils sont soupçonnés d’avoir roué de coups un jeune homme en marge des émeutes de début juillet.

Le placement en détention provisoire de ce dernier a suscité l’indignation des forces de police. Les syndicats de magistrats ont quant à eux jugé « gravissimes » les déclarations du directeur général de la police nationale (DGPN), Frédéric Veaux, qui a exprimé son souhait de voir libérer le policier de la BAC de Marseille.

Depuis la Nouvelle-Calédonie, Emmanuel Macron a exprimé sa compréhension de « l’émotion » des policiers, tout en rappelant que « nul en République n’est au-dessus de la loi ». Cette affaire met en lumière une fois de plus la tension qui règne entre la population et les forces de l’ordre, en particulier dans les quartiers sensibles de la ville.

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Meurtre de Louise: trois nouvelles gardes à vue, celles d’un homme de 23 ans et de sa mère levées

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Meurtre de Louise: trois nouvelles gardes à vue, celles d'un homme de 23 ans et de sa mère levées

L’enquête sur le meurtre de Louise progresse avec l’interpellation de trois proches d’un suspect, tandis que d’autres suspects sont relâchés.

Dans le cadre de l’enquête sur le meurtre de Louise, une jeune fille de 11 ans retrouvée morte dans un bois à Longjumeau, trois nouvelles personnes ont été placées en garde à vue pour non-dénonciation de crime. Ces individus, identifiés comme le père, la mère et la petite amie d’un homme soupçonné d’être l’auteur du meurtre, ont été interpellés dans la nuit de lundi à mardi. Cette avancée dans l’investigation fait suite à la découverte du corps de Louise, vendredi après-midi, à la sortie de son collège à Epinay-sur-Orge.

L’analyse de cette affaire révèle une complexité croissante. Les autorités ont relâché un homme de 23 ans et sa mère, initialement soupçonnés, faute de preuves suffisantes pour les maintenir en garde à vue. Cette décision souligne la difficulté pour les enquêteurs de démêler les fils de cette tragédie. L’autopsie a révélé que Louise a subi de multiples blessures par arme tranchante, ce qui indique une violence extrême. Le téléphone de la victime, retrouvé à proximité de son corps, pourrait fournir des indices supplémentaires sur les derniers moments de sa vie.

L’implication de proches d’un suspect dans cette affaire jette une lumière nouvelle sur le réseau social de l’accusé principal. Le fait que des membres de sa famille immédiate ainsi que sa compagne aient été placés en garde à vue pour non-dénonciation de crime soulève des questions sur ce qu’ils savaient et quand. Cette information suggère que des éléments cruciaux peuvent avoir été dissimulés ou ignorés, compliquant davantage l’enquête. Le parquet d’Evry, en charge de l’affaire, continue d’explorer toutes les pistes possibles pour éclaircir les circonstances de ce crime odieux.

L’impact émotionnel de cette tragédie sur la communauté locale est palpable. Des hommages fleurissent devant le collège André Maurois, témoignant du choc et de la solidarité des habitants. Cette affaire, qui a secoué la région, met en lumière la nécessité d’une vigilance accrue et d’une coopération citoyenne dans la lutte contre la criminalité.

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Nice : une fillette de 3 ans décède dans l’incendie d’un appartement en pleine nuit

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Nice : une fillette de 3 ans décède dans l’incendie d’un appartement en pleine nuit

Dans la nuit du 8 au 9 février, un incendie a ravagé un appartement à Nice, entraînant la mort d’une enfant de trois ans et blessant légèrement cinq autres personnes.

Un drame poignant s’est produit à Nice, dans le quartier de Las Planas, lorsque, aux premières heures du dimanche 9 février, un feu s’est déclaré dans un appartement du sixième étage d’un immeuble de huit étages. Alertés par des voisins, les secours sont intervenus avec diligence, mais l’ampleur du sinistre a rendu les opérations de sauvetage difficiles. Malgré l’engagement rapide des 41 pompiers sur place, équipés de deux lances à incendie, le brasier a eu raison de la vie d’une petite fille de trois ans, trouvée gravement blessée dans l’appartement en feu. Elle a succombé à ses blessures, tandis que cinq autres individus ont été légèrement touchés et ont reçu les soins nécessaires.

L’origine de l’incendie demeure, à ce jour, un mystère. Les enquêteurs n’ont pas encore déterminé ce qui a pu déclencher ce terrible brasier, laissant la communauté dans l’incertitude et le deuil. Sur les réseaux sociaux, les réactions ont été vives, reflétant l’onde de choc ressentie par la population. Anthony Borré, premier adjoint au maire de Nice, a qualifié cet événement de « terrible drame », soulignant que la municipalité accompagnerait les sinistrés pour sécuriser les logements endommagés. De même, Éric Ciotti, député des Alpes-Maritimes, a exprimé une « tristesse immense » et adressé ses condoléances aux proches de la victime.

Cet incident rappelle cruellement la vulnérabilité des habitants face aux sinistres domestiques et souligne l’importance de la prévention et de la rapidité des secours en cas de catastrophe. Bien que les circonstances précises de l’incendie restent à élucider, l’attention se tourne désormais vers le soutien des familles endeuillées et l’amélioration des mesures de sécurité dans les habitations.

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Faits-Divers-Essonne : le corps de Louise, 11 ans, retrouvé dans un bois

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Faits-Divers-Essonne : le corps de Louise, 11 ans, retrouvé dans un bois

Portée disparue vendredi après-midi, Louise a été retrouvée sans vie dans le bois des Templiers à Épinay-sur-Orge. Une enquête pour meurtre sur mineur est en cours. Deux suspects, un homme de 23 ans et une femme de 20 ans, ont été interpellés.

L’émotion est vive en Essonne après la découverte du corps de Louise, 11 ans, dans la nuit de vendredi à samedi. La jeune fille avait disparu quelques heures plus tôt après avoir quitté le collège André-Maurois d’Épinay-sur-Orge aux alentours de 13h50. Ne la voyant pas rentrer, sa famille avait rapidement donné l’alerte, déclenchant d’importantes recherches.

Les forces de l’ordre ont mobilisé d’importants moyens pour la retrouver, brigade cynophile, drones et hélicoptère ont quadrillé la zone. L’analyse des images de vidéosurveillance a permis d’identifier son dernier passage dans le parc des Templiers, situé à quelques dizaines de mètres de son établissement scolaire. C’est précisément dans ce périmètre que les recherches se sont intensifiées. À 21h40, un chien pisteur a marqué un arrêt dans le parc. Après plusieurs heures de battue, les enquêteurs ont fait une découverte macabre ! Le corps de Louise a été retrouvé sans vie à 1h50 du matin dans cet espace boisé.

Les causes précises de son décès restent à déterminer. Une autopsie, prévue dans l’après-midi à l’institut médico-légal de Corbeil-Essonnes, devra apporter des éléments essentiels pour comprendre ce qui s’est passé et orienter les investigations.

L’enquête a rapidement mené à l’interpellation de deux individus. Un homme de 23 ans, déjà connu des services de police, a été repéré sur les images de vidéosurveillance. Les forces de l’ordre se sont rendues à son domicile, situé à Épinay-sur-Orge, peu après 00h30. Sur place, il se trouvait en compagnie d’une jeune femme de 20 ans, qui se présentait comme sa conjointe. Tous deux ont été placés en garde à vue dans le cadre de l’enquête pour meurtre sur mineur.

Ce drame soulève une vive émotion dans la commune et bien au-delà. Tandis que l’enquête se poursuit pour faire toute la lumière sur les circonstances de cette tragédie, la douleur des proches de Louise et l’attente des premiers résultats d’autopsie pèsent sur cette affaire qui bouleverse l’opinion publique.

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