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Vaste coup de filet contre les attaques ciblant les prisons françaises

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Une vingtaine d’individus, dont des détenus, ont été déférés devant la justice dans le cadre d’une enquête sur des actes de violence coordonnés.

Les autorités judiciaires ont présenté 21 suspects, dont deux mineurs et sept personnes déjà incarcérées, dans le cadre des récentes attaques visant des établissements pénitentiaires. Les magistrats devront statuer sur leur mise en examen et un éventuel placement en détention provisoire. Cette procédure intervient après une série d’interpellations menées dans plusieurs villes françaises, notamment Paris, Marseille, Lyon et Bordeaux, dans le cadre d’une vaste opération policière.

Les enquêteurs ont identifié un mode opératoire récurrent, orchestré via une chaîne Telegram sous le nom de « DDPF » (Défense des droits des prisonniers français). Selon les investigations, des appels à l’action y étaient relayés, suivis du recrutement d’exécutants rémunérés pour commettre des dégradations, des incendies de véhicules et même des tirs d’armes lourdes près de prisons ou de domiciles de surveillants. Bien que l’origine exacte de ce mouvement reste floue, les autorités soupçonnent des liens avec la criminalité organisée.

Les réquisitions du parquet demandent le maintien en détention de tous les suspects, soulignant la gravité des faits et les risques de récidive. Cette affaire met en lumière une nouvelle forme de menace coordonnée contre les institutions pénitentiaires, mobilisant à la fois des moyens numériques et des actes violents sur le terrain.

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