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Bouzigues

Thau : Thierry Baeza « le ramassage des ordures ménagères sur les communes de l’agglo n’est pas équitable »

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Sète Agglopôle Méditerranée

Mardi, lors du conseil communautaire, Thierry Baeza a dénoncé une inégalité qui pèse sur les communes de Sète Agglopôle Méditerranée : la fréquence du ramassage des déchets ménagers.

Depuis la création de Sète Agglopôle Méditerranée, la fréquence des collectes de déchets des communes du nord de l’agglomération diminue. Avant la fusion entre les EPCI, les zones pavillonnaires de la CCNBT (Communauté des Communes Nord du Bassin de Thau) étaient mieux loties. En effet, de mi-mai à mi-octobre, elles bénéficiaient de 2 ramassages de déchets par semaine. Le reste de l’année, un ramassage hebdomadaire est suffisant.

Lors de la fusion, la période de collecte bihebdomadaire a été raccourcie sur 4 mois. Récemment, elle a à nouveau été réduite. « Sur la volonté de Laurence Magne, élue en charge des déchets, la période de ramassage bihebdomadaire est passée à 2 mois. Soit seulement sur juillet et août. Néanmoins, cette réduction n’a été prévue que pour l’ancienne CCNBT. Les villes du sud du Bassin bénéficient toujours de 2 ramassages par semaine de juin à septembre », développe Thierry Baeza. L’agglopôle justifie ces choix par la fin de la saison touristique. La baisse de la fréquentation du Bassin entraîne effectivement la réduction du volume de déchets à collecter.

Un tarif unique pour des services qui diffèrent

Avant la fusion, la taxe d’enlèvement des ordures ménagères était fixée au taux de 18,5% pour l’ex-Thau agglo et de 14,5% pour l’ex-CCNBT. Un an après la création de Sète Agglopôle, cette taxe a été minorée au taux de 14,5% pour toute la communauté d’agglomération. Administrativement, l’harmonisation de ce taux est obligatoire dans les 5 ans qui suivent une fusion d’intercommunalités. « Alors que les habitants de l’Agglopôle paient tous la même taxe d’enlèvement des ordures ménagères, ils ne disposent pas des mêmes services. Jusqu’à présent, nous n’avons pas eu de grosse chaleur mais ça ne saurait tarder. Nous habitons une région où nous consommons du poisson, des coquillages, etc. La saison du melon va débuter. Une seule collecte des déchets ménagers par semaine va causer de gros désagréments hygiéniques en plus des odeurs nauséabondes », explique M. Baeza.

L’intervention de M. Baeza a semblé porter ses fruits puisqu’un retour à l’équité semble se profiler. « François Commeinhes a semblé surpris par cette révélation. Je suis moi-même étonné qu’aucun élu n’ait fait remonter ce souci auparavant. À l’issue du conseil, M. Commeinhes m’a garanti qu’il ferait en sorte de réinstaurer les ramassages bihebdomadaires sur la même durée pour toute l’agglo », conclut-il.

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Bouzigues

Crise politique à Bouzigues : Le budget municipal rejeté une seconde fois

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Bouzigues en ébullition : crise municipale sans précédent autour du maire, Cédric Raja

C’est une impasse totale à Bouzigues, le maire Cédric Raja se heurte toujours à une majorité profondément divisée, le budget municipal ayant été rejeté pour la deuxième fois.

La crise politique à Bouzigues s’aggrave alors que la majorité municipale a rejeté pour la deuxième fois le budget proposé par le maire Cédric Raja, avec un vote de 6 pour, 8 contre et 5 abstentions, lors de la séance du conseil municipal tenue hier soir.

Ce nouvel échec, survenu ce lundi 29 janvier 2024, marque une étape critique dans le conflit politique qui secoue la ville depuis le rejet initial du budget le 19 décembre 2023. La décision de la majorité municipale révèle une fracture profonde au sein du camp de Cédric Raja, avec une opposition croissante à sa gestion de la municipalité.

Le maire, déjà en difficulté après le premier rejet du budget, se retrouve désormais dans une situation encore plus instable. Ce second refus accentue les divisions internes et suscite des interrogations quant à la capacité de la mairie à opérer efficacement. Les tensions paraissent s’être intensifiées, malgré la période d’un mois écoulée depuis le rejet initial du budget, qui aurait dû permettre de résoudre la situation.

Pour rappel, l’origine de cette crise est attribuée à ce que beaucoup considèrent comme une gestion autoritaire et un manque de transparence de la part du maire. Ces problèmes ont conduit à une perte de confiance de nombreux élus envers leur leader, ce qui se reflète dans les résultats du vote.

Avec le budget municipal rejeté une seconde fois, la ville de Bouzigues se retrouve dans une situation de paralysie administrative. Sans un budget approuvé, les services essentiels et les projets d’investissement sont en suspens, créant une incertitude parmi les habitants et les acteurs locaux.

Cette situation sans précédent à Bouzigues attire l’attention sur les défis auxquels les administrations locales peuvent être confrontées dans la gestion des différences internes, et souligne l’importance de la collaboration et de la transparence en politique municipale. Les prochains jours seront cruciaux pour déterminer l’avenir politique de Cédric Raja et la direction de Bouzigues.

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Bouzigues

Coup de tonnerre à Bouzigues : le budget refusé, Cédric Raja explose en plein vol !

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Coup de tonnerre à Bouzigues : le budget refusé, Cédric Raja explose en plein vol !

Le maire de Bouzigues, Cédric Raja, s’est retrouvé ultra minoritaire ce soir. Dix élus de sa majorité ont voté contre le budget, entraînant son rejet. Cédric Raja semble proche de la sortie.

La commune de Bouzigues a été secouée par un événement politique majeur ce soir lors du conseil municipal. Pendant une séance du conseil municipal particulièrement tendue, le maire Cédric Raja a subi un revers cuisant avec le rejet de son projet de budget pour l’année 2024. Le vote s’est soldé par 10 voix contre et seulement 5 en faveur, un résultat surprenant surtout en l’absence de l’opposition, qui avait choisi de boycotter le conseil municipal et qui n’a pas pris part au vote.

Le rejet du budget met en lumière des divisions profondes au sein de la municipalité, des tensions que nous avions déjà évoquées dans un article récent (lire ici). Cédric Raja et ses derniers partisans avaient alors réfuté ces affirmations, les qualifiant de « fausses informations ». La crise politique, loin de se dissiper, apparaît donc bel et bien réelle à Bouzigues.

La gestion autoritaire et le manque de transparence du maire sont devenus des points de friction majeurs au sein de sa propre majorité, et il semble que de nombreux élus de son camp aient choisi de marquer leur désaccord en rejetant le budget proposé.

Maintenant que le budget a été rejeté, Cédric Raja est confronté à un dilemme délicat. Il pourrait choisir de revoir sa stratégie et de collaborer davantage avec les membres de sa majorité opposés à son approche actuelle. Dans ce cas, il pourrait présenter une version amendée du budget pour un second vote au conseil municipal dans les prochaine semaines.

Cependant, s’il persiste dans son attitude actuelle, la commune pourrait être confrontée à un blocage, le préfet étant alors autorisé à valider le budget en son nom. En fin de compte, la préfecture pourrait également prendre le contrôle des affaires courantes de la commune, en attendant de nouvelles élections.

La crise politique à Bouzigues est loin d’être résolue, et la suite des événements promet d’être cruciale pour l’avenir de la commune. Les habitants de Bouzigues attendent avec impatience de voir comment le maire et le conseil municipal résoudront cette situation complexe.

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Bouzigues

Revivez la semaine des 350 ans de la Ville de Sète

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Revivez la semaine des 350 ans de la Ville de Sète
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La semaine des 350 ans de la Ville de Sète a été marquée par une série de révélations et de rebondissements qui ont secoué le paysage politique local. Voici un résumé des événements marquants de cette semaine chargée, présentés par notre rédaction.

1.Affaire mystérieuse autour du directeur des HLM de Sète :

L’accord de départ mystérieux de Jean-Paul GIRAL, ancien directeur de l’Office Public de Sète Thau Habitat, a soulevé des questions troublantes concernant la transparence financière au sein de cette institution publique. Les détails de cet accord intriguent la communauté locale.

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2.Pratiques de censure sur les réseaux sociaux :

Une enquête de notre rédaction révèle des pratiques de censure sur les réseaux sociaux de la ville de Sète, laissant les citoyens privés de leur droit à la liberté d’expression. Cette révélation remet en question la transparence de l’administration locale et suscite des inquiétudes quant à la communication publique.

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3.Tensions au Conseil Municipal à Sète :

Un coup de théâtre au Conseil Municipal de la ville de Sète, où deux élus ont quitté la séance, accusant François Commeinhes d’espionnage. Les dissensions politiques et les allégations explosives ont ébranlé la scène politique locale.

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4.Désaveu du président de Sète Agglopôle :

Au sein de Sète Agglopôle, le président fait face à un désaveu notable malgré les vents contraires. François Commeinhes peut néanmoins compter sur le soutien indéfectible du maire de Frontignan, Michel Arrouy, dans un contexte politique tendu.

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5.L’Ombre de François Commeinhes sur Bouzigues :

La crise politique secouant le paisible village de Bouzigues est marquée par des accusations de clientélisme, des divisions au sein de la majorité, et une opposition qui semble ne pas être à la hauteur. L’influence de François Commeinhes plane sur cette situation complexe.

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