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L1: Lyon finit 2020 en tête devant Lille et Paris, Nîmes dernier

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Lyon finit l’année leader! Implacable contre Nantes (3-0), l’OL passera les fêtes en tête de la Ligue 1 juste devant Lille, tombeur de Montpellier (3-2), et le Paris SG, vainqueur 4-0 de Strasbourg. Désillusions pour Marseille, refroidi à Angers (2-1), et Nîmes, nouvelle lanterne rouge.

Lyon nouveau leader, Lille et Paris dauphins

Lyon a retrouvé tout son mordant: privé de Coupe d’Europe pour la première fois au XXIe siècle, le club de Jean-Michel Aulas a achevé l’année en beauté en s’emparant de la première place de L1 à la différence de buts, en vertu d’une large victoire contre des Nantais en pleine crise.

A domicile, l’équipe de Rudi Garcia s’est imposée grâce à Karl Toko Ekambi (4e), Tino Kadewere (37e) et l’indispensable Brésilien Lucas Paqueta (44e) contre des Nantais fantomatiques pour la dernière sur le banc de l’entraîneur intérimaire Patrick Collot, en passe d’être remplacé par l’ancien sélectionneur français Raymond Domenech.

Grâce à une meilleure différence de buts (+20 contre +19), Lyon (36 pts) double Lille (36 pts) alors que le Losc a arraché la victoire à Montpellier sur un but providentiel de Burak Yilmaz (86e). Auparavant, une tête de Gaëtan Laborde (57e) et un ciseau somptueux d’Andy Delort (70e) avaient répondu aux buts lillois: un joli extérieur du pied signé Timothy Weah (23e) et un penalty de Jonathan Ikoné (68e).

Les Parisiens, eux, suivent la cadence: vainqueurs tranquilles de Strasbourg avec des buts de Timothée Pembélé (18e), Kylian Mbappé (80e), Idrissa Gueye (88e) et Moise Kean (90e+1), les joueurs de la capitale (3e, 35 pts) finissent l’année 2020 sur une bonne note malgré une hécatombe de blessés, dont la superstar Neymar, attendue sur les pelouses en janvier.

Rennes enchaîne, Marseille déchante

Après un automne terne, les Rennais ont retrouvé la lumière: ils ont scellé un quatrième succès de rang mercredi soir contre Metz (1-0), sur un but de Clément Grenier (52e), s’installant à la quatrième place du classement avec 31 points.

A l’inverse, l’OM suit une courbe opposée: après six victoires de rang en L1, les Marseillais ont signé un nul et deux défaites sur leurs trois derniers matches, montrant encore un visage très inquiétant à Angers malgré un sursaut final.

L’équipe d’André Villas-Boas s’est retrouvée menée sur des buts de Mathias Pereira Lage (4e) et Loïs Diony (23e). Et alors que Dimitri Payet a buté sur le gardien Paul Bernardoni sur penalty (71e), la tête lobée de Valentin Rongier (75e) n’a pas suffi.

Bref, malgré ses deux matches en retard, Marseille (5e, 28 pts) doit désormais davantage regarder derrière lui que devant puisque quatre équipes à 27 points talonnent l’OM.

Outre Montpellier et Angers, il y a Monaco, qui a arraché un nul 2-2 contre Saint-Etienne malgré l’exclusion précoce du jeune Eliot Matazo (35e). Encore un partage des points pour les Verts, invaincus depuis six matches… pour cinq nuls.

Il y a aussi Lens qui a fini l’année en beauté contre Brest (2-1) grâce à Arnaud Kalimuendo, buteur (11e) puis à l’origine d’un penalty que Florian Sotoca a transformé (34e).

Dijon enfonce Nîmes, Lorient avec émotion

En bas de tableau, Reims a signé l’une des bonnes opérations en allant s’imposer 3-1 sur le terrain de Bordeaux pour remonter à la 15e place.

Mais le coup de maître est signé Dijon qui, pour la première fois depuis la quatrième journée, n’est plus lanterne rouge: les Bourguignons ont transmis le mistigri à leur adversaire du soir Nîmes, battu 3-1 sur un doublé de Moussa Konaté (75e, 90e+4) alors que les « Crocos » menaient jusqu’à un dernier quart d’heure cauchemardesque, avec notamment l’exclusion de Florian Miguel (76e).

L’équipe de David Linarès compte désormais 12 pts, à égalité avec Nîmes et le barragiste Lorient.

Les Lorientais, menés 2-0 à Nice, ont arraché un nul inespéré (2-2) dans un match lourd d’émotions pour eux avec une minute de silence en hommage à un jardinier tué dimanche au stade du Moustoir par la chute d’un portique chauffant destiné au traitement de la pelouse.

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Sports

JO d’hiver 2030 : les Alpes françaises, seule candidature retenue

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JO d'hiver 2030 : les Alpes françaises, seule candidature retenue

La France est en passe d’organiser les Jeux olympiques d’hiver en 2030. Le CIO a écarté les autres candidatures en lice.

Les Alpes françaises sont en excellente position pour accueillir les Jeux olympiques d’hiver 2030, devenant ainsi la quatrième ville hôte de cet événement emblématique. Le Comité international olympique (CIO) a annoncé aujourd’hui que la France est la seule candidature retenue, marquant ainsi un moment historique dans l’histoire des Jeux olympiques d’hiver.

Le projet olympique, porté conjointement par les deux régions françaises d’Auvergne – Rhône-Alpes et Provence-Alpes-Côte d’Azur, a réussi à convaincre la commission exécutive du CIO grâce à son dossier de candidature solide et à une présentation convaincante lors du grand oral de 45 minutes. Cette décision fait suite à des mois de préparation et de compétition intense entre plusieurs nations aspirantes à l’accueil des Jeux olympiques d’hiver 2030.

La France a une longue histoire de réussite dans l’organisation des Jeux olympiques d’hiver, avec des précédents à Chamonix en 1924, Grenoble en 1968 et Albertville en 1992. Le choix des Alpes françaises comme hôte des Jeux olympiques d’hiver 2030 est le fruit d’un projet ambitieux qui met en avant 95 % de sites existants, de Nice au Grand-Bornand, en passant par Courchevel Méribel, Val d’Isère et La Clusaz.

Malgré une concurrence sérieuse de la part de la Suède et de la Suisse, la France a réussi à l’emporter grâce à la qualité de son dossier de candidature et à la solidité de son projet. Les Scandinaves avaient précédemment candidaté pour les Jeux olympiques d’hiver 2026, qui finiront par se dérouler à Milan-Cortina d’Ampezzo en Italie. Cependant, face à la puissance et à la tradition des sports d’hiver en France, ces deux pays ont été contraints d’abandonner leur candidature.

La décision finale concernant l’attribution des Jeux olympiques d’hiver 2030 sera officialisée en juillet 2024 lors de la session du CIO à Paris, juste avant le début des Jeux Olympiques d’été. Si tout se passe comme prévu, les amoureux du sport du monde entier auront rendez-vous dans les Alpes françaises pour une nouvelle olympiade hivernale mémorable en 2030.

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Paris 2024 : « On ne va pas être prêts », selon Anne Hidalgo

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Paris 2024 : « On ne va pas être prêts », selon Anne Hidalgo

Dans l’émission « Quotidien », la maire de Paris a annoncé mercredi du retard dans la préparation des JO 2024 à Paris d’un point de vue des transports en commun.

Alors que Paris se prépare à accueillir les Jeux Olympiques et Paralympiques en 2024, la maire de la ville, Anne Hidalgo, a récemment exprimé des inquiétudes concernant l’état de préparation des infrastructures de transport. Lors de son apparition dans l’émission « Quotidien » sur TMC mercredi soir, la maire socialiste a indiqué que Paris n’était « pas prête » en termes de transports, évoquant un nombre et une fréquence de trains insuffisants dans certaines zones.

La future station du RER E à la Porte Maillot a été spécifiquement mentionnée comme un point critique. « Il y a des endroits où les transports ne seront pas prêts parce qu’il n’y aura pas le nombre de trains et la fréquence », a précisé Hidalgo. Elle a également souligné les difficultés quotidiennes existantes dans le réseau de transport parisien et la lutte pour atteindre les niveaux requis de ponctualité et de confort.

Interrogée sur la responsabilité de ces retards, la maire a évoqué le rôle du gouvernement et de la Région Île-de-France, tout en reconnaissant sa propre implication dans le processus. Clément Beaune, ministre délégué chargé des Transports, a rapidement répondu en critiquant l’approche médiatique de Hidalgo.

Valérie Pécresse, présidente de la région Île-de-France, a elle aussi commenté sur les réseaux sociaux, en insistant sur la nécessité de la participation active d’Anne Hidalgo aux comités stratégiques sur les transports.

Outre les préoccupations liées aux transports, Anne Hidalgo a également abordé le sujet des personnes sans domicile fixe, pointant du doigt un autre défi majeur à relever avant les Jeux.

Les Jeux Olympiques et Paralympiques de 2024 représentent un événement de grande ampleur pour Paris, avec près de 15 millions de spectateurs attendus. La promesse faite par les autorités d’assurer un accès 100 % public aux sites de compétition souligne l’importance cruciale de résoudre ces problèmes de mobilité dans un délai serré. La préparation de la capitale française pour cet événement mondial est désormais plus que jamais sous le feu des projecteurs.

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Éliminatoires de l’Euro 2024 : l’équipe de France termine son année 2023 par un match nul en Grèce

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Éliminatoires de l’Euro 2024 : l’équipe de France termine son année 2023 par un match nul en Grèce

Avant l’important Euro 2024 en Allemagne, Didier Deschamps, le sélectionneur de l’équipe de France, se retrouve face à un défi crucial. Avec seulement deux matchs amicaux programmés en mars, il lui faut prendre des décisions déterminantes sur la composition de son équipe. Cette année 2023 s’est achevée par un match nul (2-2) contre la Grèce, offrant à Deschamps matière à réflexion.

En dépit de l’équipe remaniée contre la Grèce, les leaders incontestés restent Kylian Mbappé et Antoine Griezmann, avec Mike Maignan comme gardien de but principal. Deschamps a figé pour l’instant la hiérarchie des gardiens, avec Brice Samba et Alphonse Areola en tant que remplaçants.

La défense semble également avoir ses favoris. Jules Koundé, malgré une performance mitigée contre la Grèce, garde son poste à l’arrière droit. Les frères Hernandez se disputent la place à gauche, tandis que la paire centrale Dayot Upamecano et Ibrahima Konaté, formée lors de la Coupe du monde, conserve la confiance du sélectionneur.

Le milieu de terrain s’articulera autour d’Aurélien Tchouameni, d’Eduardo Camavinga et d’Adrien Rabiot, ce dernier gagnant en leadership. L’attaque verra une compétition entre Ousmane Dembélé et Kingsley Coman pour l’aile droite, et bien qu’Olivier Giroud, à 37 ans, ne soit pas assuré d’une place de titulaire, son expérience reste précieuse.

Des joueurs comme Randal Kolo Muani et Marcus Thuram se détachent pour leurs récentes performances, augmentant leurs chances de figurer dans la liste finale. En défense, Benjamin Pavard, désormais désireux d’évoluer comme défenseur central, pourrait laisser sa place sur le côté droit à Jonathan Clauss.

Dans le secteur du milieu de terrain, Youssouf Fofana et le jeune Warren Zaïre-Emery, impressionnant avec le PSG, sont des noms à surveiller. La défense centrale, quant à elle, offre peu de place pour les nouveaux venus, malgré les efforts de joueurs comme William Saliba ou Jean-Clair Todibo.

Boubacar Kamara pourrait se frayer un chemin au milieu, tandis que Christopher Nkunku et le jeune Mathys Tel restent des options offensives à considérer en fonction de leur forme et progression.

Alors que 16 places semblent déjà attribuées, la concurrence reste féroce pour les 9 places restantes. Deschamps devra équilibrer expérience et jeunesse pour construire une équipe capable de briller en Allemagne en 2024.

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