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Rugby / XV de France : des certitudes et Moefana à l’aile contre l’Ecosse

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La prime à la stabilité. Le XV de France retrouve l’Ecosse, un adversaire qui lui cause des soucis, avec un XV de départ quasiment inchangé par rapport à celui qui avait dominé l’Irlande, samedi, lors de la 3e journée du Tournoi des six nations.

Le joueur de Bordeaux-Bègles Yoram Moefana, titulaire au centre contre le XV du Trèfle (30-24), glisse à l’aile et cède donc sa place à Jonathan Danty, déjà titulaire face à l’Italie (37-15) aux côtés de Gaël Fickou, mais forfait pour le match suivant contre l’Irlande sur blessure.

Au total, deux changements – un de poste et un de joueur – ont été effectués par rapport à l’équipe qui avait battu les Irlandais (30-24) lors de la dernière journée du Tournoi.

L’ailier Gabin Villière, blessé au visage, est le seul des quinze titulaires contre le XV du Trèfle le 12 février absent pour ce premier déplacement des Bleus dans le Tournoi 2022.

Ce XV de départ compte un peu plus de 21 sélections et 25 ans de moyenne pour défier le XV du Chardon, qu’il n’a battu qu’à une seule reprise en trois matches sous l’ère Fabien Galthié.

Le staff des Bleus semble ainsi avoir trouvé son équipe sur la route d’un premier Grand Chelem depuis 2010.

A l’époque, les hommes de Marc Lièvremont s’étaient imposés de justesse à Murrayfield (18-9).

Douze ans plus tard, Moefana (21 ans) vivra sa cinquième sélection, sa troisième titularisation. Pour un drôle de baptême du feu: le jeune centre de l’UBB n’a évolué à l’aile qu’à trois reprises en club, une seule fois cette saison.

« Un très bon match »

Ce décalage du centre à l’aile permet à Danty de retrouver une place aux côtés de Gaël Fickou.

« Il a fait un bon match contre l’Irlande, un très bon match, a expliqué Galthié en conférence de presse à propos de Moefana. Une très bonne rentrée face à l’Italie. Contre l’Angleterre (en décembre 2020), il avait été performant, il est très performant avec son club et, à tous les entraînements avec nous, que ce soit au centre à l’aile. Notre volonté, c’était de garder quelque chose d’homogène au milieu de terrain, avec la paire Fickou-Danty, qui commence à avoir des repères ».

« La question s’est posée avec Lebel, qui est un ailier de métier: nous avons pris cette décision avec cette forme et ces profils-là, très costauds, face à une équipe qui va aligner des trois-quarts très costauds et physiques, autour de Finn Russell. Notre but, c’est d’être en capacité de répondre au coup par coup, avec notamment des ailiers qui, en ce moment, marchent sur l’eau », a ajouté le sélectionneur.

Pas de surprise dans le reste de la composition puisque la charnière de Toulouse, Antoine Dupont et Romain Ntamack, est reconduite pour la onzième fois de l’ère Galthié.

Six Toulousains, au total, débuteront cette rencontre: outre Ntamack et Dupont, le pilier Cyril Baille et le talonneur Julien Marchand, les troisièmes lignes Anthony Jelonch et François Cros seront tous titulaires.

Tout comme Uini Atonio, qui a repoussé la concurrence de Mohamed Haouas ou Demba Bamba pour s’installer à droite de la mêlée.

La troisième ligne de combat, qui avait ferraillé avec succès contre les Irlandais, est aussi reconduite avec l’inépuisable Grégory Alldritt entouré des Toulousains Jelonch et Cros.

L’attelage formé par le colosse Paul Willemse et l’agile Cameron Woki est, lui aussi, reconduit en deuxième ligne.

Pas mal de certitudes donc, pour ce XV de France en quête d’un premier titre dans le Tournoi depuis douze ans.

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Sports

JO d’hiver 2030 : les Alpes françaises, seule candidature retenue

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JO d'hiver 2030 : les Alpes françaises, seule candidature retenue

La France est en passe d’organiser les Jeux olympiques d’hiver en 2030. Le CIO a écarté les autres candidatures en lice.

Les Alpes françaises sont en excellente position pour accueillir les Jeux olympiques d’hiver 2030, devenant ainsi la quatrième ville hôte de cet événement emblématique. Le Comité international olympique (CIO) a annoncé aujourd’hui que la France est la seule candidature retenue, marquant ainsi un moment historique dans l’histoire des Jeux olympiques d’hiver.

Le projet olympique, porté conjointement par les deux régions françaises d’Auvergne – Rhône-Alpes et Provence-Alpes-Côte d’Azur, a réussi à convaincre la commission exécutive du CIO grâce à son dossier de candidature solide et à une présentation convaincante lors du grand oral de 45 minutes. Cette décision fait suite à des mois de préparation et de compétition intense entre plusieurs nations aspirantes à l’accueil des Jeux olympiques d’hiver 2030.

La France a une longue histoire de réussite dans l’organisation des Jeux olympiques d’hiver, avec des précédents à Chamonix en 1924, Grenoble en 1968 et Albertville en 1992. Le choix des Alpes françaises comme hôte des Jeux olympiques d’hiver 2030 est le fruit d’un projet ambitieux qui met en avant 95 % de sites existants, de Nice au Grand-Bornand, en passant par Courchevel Méribel, Val d’Isère et La Clusaz.

Malgré une concurrence sérieuse de la part de la Suède et de la Suisse, la France a réussi à l’emporter grâce à la qualité de son dossier de candidature et à la solidité de son projet. Les Scandinaves avaient précédemment candidaté pour les Jeux olympiques d’hiver 2026, qui finiront par se dérouler à Milan-Cortina d’Ampezzo en Italie. Cependant, face à la puissance et à la tradition des sports d’hiver en France, ces deux pays ont été contraints d’abandonner leur candidature.

La décision finale concernant l’attribution des Jeux olympiques d’hiver 2030 sera officialisée en juillet 2024 lors de la session du CIO à Paris, juste avant le début des Jeux Olympiques d’été. Si tout se passe comme prévu, les amoureux du sport du monde entier auront rendez-vous dans les Alpes françaises pour une nouvelle olympiade hivernale mémorable en 2030.

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Paris 2024 : « On ne va pas être prêts », selon Anne Hidalgo

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Paris 2024 : « On ne va pas être prêts », selon Anne Hidalgo

Dans l’émission « Quotidien », la maire de Paris a annoncé mercredi du retard dans la préparation des JO 2024 à Paris d’un point de vue des transports en commun.

Alors que Paris se prépare à accueillir les Jeux Olympiques et Paralympiques en 2024, la maire de la ville, Anne Hidalgo, a récemment exprimé des inquiétudes concernant l’état de préparation des infrastructures de transport. Lors de son apparition dans l’émission « Quotidien » sur TMC mercredi soir, la maire socialiste a indiqué que Paris n’était « pas prête » en termes de transports, évoquant un nombre et une fréquence de trains insuffisants dans certaines zones.

La future station du RER E à la Porte Maillot a été spécifiquement mentionnée comme un point critique. « Il y a des endroits où les transports ne seront pas prêts parce qu’il n’y aura pas le nombre de trains et la fréquence », a précisé Hidalgo. Elle a également souligné les difficultés quotidiennes existantes dans le réseau de transport parisien et la lutte pour atteindre les niveaux requis de ponctualité et de confort.

Interrogée sur la responsabilité de ces retards, la maire a évoqué le rôle du gouvernement et de la Région Île-de-France, tout en reconnaissant sa propre implication dans le processus. Clément Beaune, ministre délégué chargé des Transports, a rapidement répondu en critiquant l’approche médiatique de Hidalgo.

Valérie Pécresse, présidente de la région Île-de-France, a elle aussi commenté sur les réseaux sociaux, en insistant sur la nécessité de la participation active d’Anne Hidalgo aux comités stratégiques sur les transports.

Outre les préoccupations liées aux transports, Anne Hidalgo a également abordé le sujet des personnes sans domicile fixe, pointant du doigt un autre défi majeur à relever avant les Jeux.

Les Jeux Olympiques et Paralympiques de 2024 représentent un événement de grande ampleur pour Paris, avec près de 15 millions de spectateurs attendus. La promesse faite par les autorités d’assurer un accès 100 % public aux sites de compétition souligne l’importance cruciale de résoudre ces problèmes de mobilité dans un délai serré. La préparation de la capitale française pour cet événement mondial est désormais plus que jamais sous le feu des projecteurs.

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Éliminatoires de l’Euro 2024 : l’équipe de France termine son année 2023 par un match nul en Grèce

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Éliminatoires de l’Euro 2024 : l’équipe de France termine son année 2023 par un match nul en Grèce

Avant l’important Euro 2024 en Allemagne, Didier Deschamps, le sélectionneur de l’équipe de France, se retrouve face à un défi crucial. Avec seulement deux matchs amicaux programmés en mars, il lui faut prendre des décisions déterminantes sur la composition de son équipe. Cette année 2023 s’est achevée par un match nul (2-2) contre la Grèce, offrant à Deschamps matière à réflexion.

En dépit de l’équipe remaniée contre la Grèce, les leaders incontestés restent Kylian Mbappé et Antoine Griezmann, avec Mike Maignan comme gardien de but principal. Deschamps a figé pour l’instant la hiérarchie des gardiens, avec Brice Samba et Alphonse Areola en tant que remplaçants.

La défense semble également avoir ses favoris. Jules Koundé, malgré une performance mitigée contre la Grèce, garde son poste à l’arrière droit. Les frères Hernandez se disputent la place à gauche, tandis que la paire centrale Dayot Upamecano et Ibrahima Konaté, formée lors de la Coupe du monde, conserve la confiance du sélectionneur.

Le milieu de terrain s’articulera autour d’Aurélien Tchouameni, d’Eduardo Camavinga et d’Adrien Rabiot, ce dernier gagnant en leadership. L’attaque verra une compétition entre Ousmane Dembélé et Kingsley Coman pour l’aile droite, et bien qu’Olivier Giroud, à 37 ans, ne soit pas assuré d’une place de titulaire, son expérience reste précieuse.

Des joueurs comme Randal Kolo Muani et Marcus Thuram se détachent pour leurs récentes performances, augmentant leurs chances de figurer dans la liste finale. En défense, Benjamin Pavard, désormais désireux d’évoluer comme défenseur central, pourrait laisser sa place sur le côté droit à Jonathan Clauss.

Dans le secteur du milieu de terrain, Youssouf Fofana et le jeune Warren Zaïre-Emery, impressionnant avec le PSG, sont des noms à surveiller. La défense centrale, quant à elle, offre peu de place pour les nouveaux venus, malgré les efforts de joueurs comme William Saliba ou Jean-Clair Todibo.

Boubacar Kamara pourrait se frayer un chemin au milieu, tandis que Christopher Nkunku et le jeune Mathys Tel restent des options offensives à considérer en fonction de leur forme et progression.

Alors que 16 places semblent déjà attribuées, la concurrence reste féroce pour les 9 places restantes. Deschamps devra équilibrer expérience et jeunesse pour construire une équipe capable de briller en Allemagne en 2024.

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