Nous rejoindre sur les réseaux

Faits Divers

Violences conjugales au cœur du procès Jubillar

Article

le

L’accusé reconnaît des tensions verbales, mais nie toute agression physique, lors d’une audience marquée par des témoignages contradictoires.

Lors de la treizième journée de son procès aux assises du Tarn, Cédric Jubillar a été interrogé sur la nature de ses relations avec son épouse disparue, Delphine Jubillar. Les débats ont porté sur les dynamiques conjugales, évoquant des soupçons d’infidélité, des échanges épistolaires et des altercations au sein du couple.

Interpellé sur sa propension à la violence verbale, l’intéressé a reconnu l’usage d’insultes et de propos blessants. Une écoute téléphonique a d’ailleurs retenu une déclaration significative, dans laquelle il affirmait faire « très mal avec les mots ». Si la fréquence des disputes a été confirmée, l’accusé a nié toute forme de violence physique envers son épouse, concédant uniquement l’avoir un jour saisie par les épaules.

Face aux allégations de la cousine de la disparue, qui évoquait des gestes violents, Cédric Jubillar a opposé un démenti catégorique, qualifiant la témoin de « menteuse invétérée ». Il a en outre soutenu avoir lui-même subi des gifles de la part de Delphine, sans jamais y répondre, estimant être « en tort ». Ces éléments s’inscrivent dans un dossier où les versions divergent, alimentant les questionnements sur la vie privée du couple.

Click to comment

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Les + Lus