Sète
Sète : le chantier du parking Aristide-Briand visé par une nouvelle plainte explosive
Le Collectif Bancs Publics, appuyé par plusieurs associations, dépose une nouvelle plainte d’une rare gravité contre la municipalité sétoise et les acteurs du chantier. En cause, des irrégularités majeures autour du parking souterrain, et un pompage massif d’eau souterraine jugé illégal.
Le climat se tend encore d’un cran autour du très contesté chantier du parking Aristide-Briand. Ce mercredi 4 juin, lors d’une conférence de presse tenue au cœur de la ville, le Collectif Bancs Publics, le Comité des usagers du bassin de Thau du cycle de l’eau et la prud’homie du bassin de Thau ont annoncé avoir déposé une nouvelle plainte pour faux, usage de faux, escroquerie, et atteinte à la loi sur l’eau. La procédure s’appuie sur un référé environnemental d’urgence, une action rarissime en France, déposée seulement à quatre reprises à ce jour. L’objectif est clair, suspendre la construction du parking avant qu’il ne soit trop tard.
Selon les associations, ce chantier accumule les manquements, oubliant les obligations élémentaires du droit de l’environnement. Une visite d’huissier réalisée le 24 mars dernier a permis de constater des irrégularités majeures dans le pompage des eaux souterraines. Aucune étude d’impact n’a été réalisée pour anticiper les effets sur l’environnement, alors même que cette obligation est incontournable selon le code de l’environnement. Une dérogation a été accordée, mais elle repose sur des données que les plaignants qualifient aujourd’hui de truquées.
L’avocat Stéphane Fernandez, qui représente les associations, pointe le cœur du scandale. Un rapport de la société Antea Group avait évalué les pompages à 12 semaines, à un débit inférieur à 30 mètres cubes par heure, ce qui permettait à la municipalité d’échapper à une étude d’impact. Or, selon les constats réalisés sur place, le débit réel serait de 35 mètres cubes par heure, une violation manifeste du seuil autorisé. Par an, ce sont près de 200 000 mètres cubes d’eau qui auraient été extraits, l’équivalent de 80 piscines olympiques ou de huit millions de bouteilles d’eau. Une aberration écologique insensée, dénoncent les plaignants, d’autant plus que ces pompages devront être répétés chaque année pour éviter l’inondation du parking, bâti sur de l’eau.
Pour Christophe Lalia, membre du Collectif Bancs Publics, le constat est accablant. Il affirme que tout ce que l’on voit dans ce parking est du faux, que la surface donne une impression de légalité, mais que tout le fond repose sur des irrégularités. Malgré le passage en force du chantier, la nature résiste, ajoute-t-il, en évoquant une série de dysfonctionnements survenus ces dernières semaines. Le collectif ne compte pas abandonner le combat, même si la majorité municipale mise sur l’usure et la lenteur judiciaire.
La justice devra dans un premier temps décider si ce référé est recevable. Si tel est le cas, une date d’audience devrait être fixée dans les quinze jours. Le tribunal pourrait alors décider de suspendre purement et simplement la construction en attendant le jugement au fond. En parallèle, une autre audience décisive approche. Le 16 juin 2025 à 14h, François Commeinhes et Christophe Clair devront comparaître devant le tribunal correctionnel de Montpellier, aux côtés de plusieurs entreprises partenaires du chantier, dans le cadre d’une Citation Directe déposée par 160 citoyens [lire ici]. Le dossier, long de 122 pages, évoque des faits graves. Faux et usage de faux, tentative d’escroquerie au jugement, prise illégale d’intérêts, menaces réitérées et abstention volontaire de prévenir un sinistre susceptible de mettre en danger des personnes.
Ce que les citoyens dénoncent depuis le début ne relève plus du simple soupçon. Les faits sont consignés, les preuves s’empilent et les contradictions s’exposent. Dans les prochains jours, la justice dira si le chantier peut continuer à s’enfoncer ou s’il doit s’arrêter net.
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Bruno
5 juin 2025 at 10 h 47 min
BRAVO……………………
reilles jean claude
5 juin 2025 at 11 h 09 min
superbe , bravo pour votre lutte votre ténacité de défendre les setois (es).
Lulu34
6 juin 2025 at 7 h 33 min
Vous avez raison pour les prélèvements illégaux.voir l article de l ex maire de sete qui l avait son bateau aux frais du contribuable.un repris de justice. Vive BP
Jean PEUPLU
5 juin 2025 at 16 h 15 min
Ah que serait la France sans ses associations !!! Un truc vous déplaît ? Créez une association. Demandez des subventions ou faites cotiser vos membres. Toutefois gardez à l’esprit qu’il faut continuer à appeler le plus grand nombre à effectuer des dons.
Montez un dossier jusqu’à identifier une « non conformité » À ce moment là vous vous sentez comme le gagnant de l’Euromillions : vous avez décroché le Jackpot !!!!
Constat d’huissier, photos, articles de presse … il faut bien que le monde entier sache que vous aviez raison depuis le début. Allez hop, on va faire travailler les avocats et engorger encore un peu plus les tribunaux.
Et tout ça pour quoi ? 5m3/h de trop. Quand on s’y connait un peu, cela reste plus qu’anecdotique surtout si on considère les prélèvements illégaux de tous les citoyens de Sete qui n’ont pas déclaré les forages privés qui leur servent à arroser leur potager ou leur pelouse.
Bref comment lutter contre les contre-tout ?
Bébert
6 juin 2025 at 3 h 14 min
En créant une association !
Antoinette
6 juin 2025 at 9 h 05 min
Donc , si l on suit le raisonnement de jean peuplu on peut justifier un acte illégal ( de la mairie ) par un autre acte illégal de citoyens qui de leur côté font des forages interdits !!
Drôle de logique …
ciffo
6 juin 2025 at 9 h 34 min
Réponse à Jean Peuplu et infos pour les autres.
Vous me faites rire quand vous comparez les 30m3/h = 500 L d’eau à la minute minimum, pompés et rejetés dans le réseau eaux usées pendant des mois, contenant aussi trop de boue et trop d’eau salée, et maintenant dans le réseau pluvial, au fait d’arroser sa pelouse ou son potager. Et35m3/h, ça fait 583 L minute. En plus c’est 24h/24 et 7j/7 et ce depuis fin novembre 2024. Mais dans quel état seraient les potagers et les pelouses ! C’est l’équivalent d’une lance d’incendie puissante qui fonctionnerait en permanence. Et Commeinhes a parlé de 50m3/h dans sa
conférence de presse de la rentrée, ce qui ferait 833L/min. Là c’est l’équivalent d’une lance parmi les plus puissantes contre l’incendie ! Tant qu’ils sont branchés sur le réseau pluvial, vous pouvez aller regarder ce que ça donne dans l’avaloir qui se trouve en face du portail rue Gabriel Péri. Et avant ils avaient les bassins de partout et envoyaient l’eau d’un à l’autre tout en les remplissant de béton, avant de faire venir le décanteur lamellaire et système de traitement pH (eau en contact avec béton frais, laitance de béton) et autres fonctions, permettant de rejeter l’eau hors du chantier. Actuellement, ils n’ont plus qu’un décanteur
«normal». Et vous osez dire « quand on connaît un peu» ! De toute évidence vous ne connaissez rien de ce chantier, est-ce-que vous l’avez vu même ? et vous n’avez pas pris la peine de calculer un peu ce que représentent en réalité de telles quantités d’eau pompée en permanence.
Pour ce qui est de subventions, et non, le collectif se débrouille avec ses adhérents, des gens qui comprennent la gravité de ce qui arrive sous et sur cette place. Avant, depuis 1841 (terrassement) à 1842 (plantation des arbres) il y avait une belle esplanade créée par un maire intelligent, Jean-Baptiste Doumet, où les arbres avaient un accès naturel à l’eau et à la terre végétale « sans pierraille » qui a été mise sur la place à l’aide de chariots tirés par des
chevaux, sans l’aide des machines de maintenant. Grâce à leur ombre et leur évapotranspiration, les arbres faisaient baisser de plusieurs degré la température sur la place en été. Quelues années après la fin de son mandat, le fils Emile Doumet est devenu maire et a créé le Jardin du Château d’Eau. Deux maires qui ont créé un beau patrimoine pour les gens de tous les âges dont ceux qui n’auraient jamais de jardin à eux, des endroits arborés et ombragés où se retrouver, mais le jardin du Château d’Eau est inaccessible pour beaucoup de personnes âgées et
pour les PMR. Commeinhes a détruit ce patrimoine, richesse du centre-ville, qu’était cette place, pour mettre du béton et des voitures à la place de la terre et il prive le public de cette place,
pendant des années pour les travaux, tout en condamnant les contribuables à payer pour toujours l’eau potable pour irriguer par la suite les arbres sur une dalle et qui ne deviendront jamais grands. Pas de problème pour lui, il a ses propres jardins pour profiter de l’ombre et des arbres, et pas qu’à Sète. Là, on en est à 19,2M d’euros TTC (16MHT), sans savoir de combien sera
le coût final, comme ont dit Escarguel et Sabatier le 29 novembre, bétonnage payé par toutes les communes de l’agglo y compris des gens qui vivent tranquilles dans leurs villages. Et sur le site de l’agglo, ils avaient prévu 8M777 763E pour l’aménagement de la place qui se ferait sur 2 ans pour planter des arbres dans quelques cm de terre entre la dalle de couverture du parking et la dalle de surface en utilisant des Tree Parker avec une dérogation car l’entreprise interdit en principe de les installer sur une dalle. Ca sera plus cher à cause de l’inflation depuis le temps. Ils devaient commencer l’aménagement en janvier 2024 ! Et il faudra irriguer en permanence ces arbres avec l’eau potable du réseau sans qu’un jour ils ne puissent devenir grands dans de telles conditions. Et en sachant que la source d’Issanka, où la ville de Sète prenait 80% de son eau avant, a été à sec de juillet à décembre 2023 obligeant à acheter l’eau à Florensac. Pour le moment, la nappe alluviale de l’Hérault au niveau de la station André Filliol, qui est à 10km de la mer en ligne droite, n’est pas encore salée. Mais pas loin de là, l’Orb, qui déssert des villages plus haut pour l’eau potable, est devenue salée jusqu’à 12km. Et pendant ce temps-là à Sète on construit 1800 nouveaux logements le long de la route de Montpellier et on va en construire plein côté quai des Moulins. On peut multiplier par 2 ou 3 le nombre d’habitants par rapport au nombre de nouveaux logements qui auront tous besoin d’eau. Sabatier a dit que
pendant les 6 premiers mois pour les tilleuls, ils les avaient arrosés de 300L par semaine. Ensuite, quand les racines se développpent, les arbres se débrouillent pour trouver de l’eau dans la terre. Cette possibilité aura été détruite pour toujours au seul endroit où on avait une place avec de la fraîcheur en centre-ville de Sète. A moins de faire comme à Montpellier, mettre de la terre à la place des voitures, mais en plus, faire des ouvertures pour que l’eau douce de la nappe et du Mt St Clair puisse de nouveau irriguer la terre comme avant.
Les parkings actuels ont toujours un grand nombre de places libres, chiffre d’affaires 2023 =
195 000€ pour V Hugo 313 places. Halles avec 264 places a fait 992 000€ et Canal avec 388 places a fait 1M 077 000€. Vous pouvez regarder sur felicittaparc.com qui indique le nombre de places libres en permanence. Il n’y a que Halles qui est parfois complet très temporairement mi ou fin de matinée, surtout le mercedi à cause du marché. Canal est à 3 minutes à pied et V. Hugo 7 minutes. Le soir, même en été, il y a un grand nombre de places libres dans tous ces parkings, sans compter les autres endroits pour stationner. Et on ne donne plus d’abonnements. Il n’y avait aucune raison de faire ce parking, en plus au mauvais endroit par rapport à l’accès dans la seule rue qui relie le quai au haut de Sète. Et il n’y a pas de sortie dans le marché actuel, alors au
lieu d’avoir 2 voies pour y entrer, l’une des deux servira de sortie !
JEAN PRUPLU
7 juin 2025 at 13 h 08 min
Vous pouvez écrire des textes interminables, nous noyer de chiffres en tentant de justifier que vous avez raison. Je n’ai comme seule et unique réponse que le pompage de 30m3/h est autorisé par les services de l’Etat. Que cela ne vous plaise pas ou cela aille à l’encontre de votre idéologie, on s’en moque. Nous sommes dans un état de droit et l’intérêt de tous l’emporte sur l’idéologie d’une minorité. La seule chose à reprocher actuellement est un dépassement de pompage de 5 m3/h qui meme s’il est 24/24 ne représente guère plus que l’utilisation d’un arrosage de 100 à 150 particuliers sur une ville à 45 000 habitants.
Riko Branco
8 juin 2025 at 0 h 34 min
Et vous trouvez normal que l’on pompe sans relâche X mètre cube d’eau salé ou pas, dans un Trou où un ingénieur en mocassins avait affirmé qu’il n’y avait pas d’eau sous la place. Et qui quelques mois auparavant ne connaissait pas le montant final de la facture.
Si c’est cela votre état de droit et votre vision du bien commun cela n’engage que vous.
Mais c’est bien triste et fataliste.
Lino
10 juin 2025 at 18 h 49 min
L’ingénieur il est non seulement ingénieur des deux ramiers et aussi ingénieur de la belle poule (bateau de promenade) qui ne respecte même pas la vitesse de 4 nœuds dans les canaux. Ca c’est un bon ingénieur !!!!!
ciffo
8 juin 2025 at 9 h 19 min
Contrairement à vous, je ne suis pas du tout idéologue et de plus je ne serai jamais membre d’un parti politique . Vous ne voulez surtout pas accepter la vérité, les détails techniques ne vous intéressent pas parce que vous avez votre idée préconçue. Vous êtes certainement un proche de ceux qui sont responsables de l’existence de ce chantier. Moi, les détails techniques m’intéressent que je sois pour ou conntre un projet, alors je suis de près les travaux, prends des centaines de photos, et fais toutes les recherches nécessaires dans les documents officiels. J’aime savoir la vérité et peux donc prouver tout ce que je dis. Par contre, pour une partie, cette vérité n’est que de démontrer ce qu’ont dit les « officiels » qui ne disent pas la vérité, ou dont la vérité d’un moment, ne le sera plus par la suite, du fait par exemple de l’augmentation des coûts et de la durée des travaux par rapport à ce qu’ils avaient annoncé.
Ils avaient prévu 16 mois pour faire le parking comme ça a été le cas pour V Hugo, mais
dont l’ouverture du niveau -2 a été retardé de plusieurs mois à cause des fuites. Au bout de 24 mois et demi de travaux, ils sont très loin d’avoir terminé. Et je ne compte pas le terrassement avant, je ne compte qu’à partir du début des travaux bétonnage des murettes guides, le 23 mai 2023.
Vous n’avez probablement pas lu l’article comme il faut non plus. Il est bien précisé 12 semaines pour le pompage et c’est ce qui est marqué dans le dossier du permis de construire. Sans compter le pompage dans les bassins à partir de septembre 2024, le pompage en continue avec rejet hors du chantier dure depuis la dernière semaine de novembre 2024. Et au mois de décembre il y avait 2 tuyaux qui n’étaient pas branchés sur les décanteurs et qui rejetaient l’eau directement dans le regard pour les eaux usées à côté du gros tuyau qui lui au moins, était bien branché sur le décanteur. Il est totalement illégal de rejeter l’eau d’un chantier sans pas passer par un décanteur, et ici il y en avait 2 à la suite dont un laméllaire, avec 60 lamelles à cause de la quantité de MES à enlever. Il y avait énormément de boue, tellement que des camions sont venus en pomper une partie ! D’ailleurs, ça a mis en panne des pompes obligeant l’entreprise spécialisée qui les loue à venir les remettre en état au moins 2 fois !
Il y a autre chose aussi qui n’est pas mentionné ici. La dérogation pour l’arrachage des arbres a été accordée à condition « qu’en tout état de cause des arbres soient replantés sur la place avant le 31 décembre 2025 et dans de telles conditions qu’ils puissent atteindre la même hauteur que les autres spécimens de la même espèce » (les 25 tilleuls restés le long de la rue du 8 Mai 45). Cette condition ne sera pas respectée non plus parce qu’à cause du problème de l’eau (et avant, les cavités et la roche aussi) le chantier a tant de retard que l’arrêté municipal pour la construction a été prolongé jusqu’au
31 décembre 2025.
Etant donné qu’ils ont prévu 2 ans complets pour aménager la place après la fin
de construction du parking, il n’y aura certainement pas début de plantation des d’arbres avant 2027, et la place ne sera pas terminée avant début 2028, au plus tôt en supposant qu’ils arrivent à commencer en janvier 2026.
Sur le site de l’agglo, projets SPLBT/SA ELIT 2024, ils avaient prévu de faire l’aménagement de la place de janvier 2024 à décembre 2025 !
Et ça serait bien qu’ils suspendent le pompage puisque ça ne devait durer que 12 semaines
« environ », et on verra bien ce qui arrivera ! 12 semaines, ça fait jusqu’à mi-février. Actuellement ça fait 28 semaines et on entame la 29ème, et étant donné la quantité d’eau qui passe dans l’avaloir, et le fait qu’ils ont été obligés de créer un trou dans le radier pour la petite pompe supplémentaire qui pompe SUR la membrane dite étanche, à 30 cm de profondeur, épaisseur du radier, ils ne pourront pas ralentir le débit, sans inonder le niveau -2.
Là où ils ont mis cette petite pompe et le long de la rue Gén de Gaulle, et par endroits à droite le long dela rue du 11 Novembre, il y avait de l’eau par dessus cette membrane, quand ils ont coulé le radier alors que cette membrane est censée protéger le dessous du radier de l’eau. Et çe, malgré plusieurs pompes pour tenter d’enlever l’eau depuis des mois.
Bbernardde7
13 juin 2025 at 17 h 48 min
Le bon côté reste qu’aucun ouvrier ne s’est noyé pendant les travaux.
En revanche, ils ont désormais pieds palmés.
Jean Michel R.
8 juin 2025 at 13 h 52 min
La mauvaise foi des partisans de cette monstruosité de parking est à peine croyable. Je crois qu’il est inutile de tenter de les convaincre d’une évidence. Il n’y a pas plus sourd que celui qui ne veut pas entendre…. Sûrement car ils faisaient partie de la clique de malhonnêtes de FC et qu’ils y trouvaient égoïstement leur méprisable intêret au détriment de celui d’une immense majorité de Sétois et de touristes. Bravo aux associations !!! Poursuivez votre courageux combat jusqu’à la victoire !!! 👊
cifffo
6 juin 2025 at 10 h 35 min
Un petit PS La boue dans l’eau pompée, c’était quand il creusaient, logiquement maintenant il ne devrait plus y en avoir mais il y a l’eau salée qui vient d’en profondeur mélangée à l’eau de la nappe.