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Thau

[Urgent] Une fermeture des bars sur Sète et le Bassin de Thau est envisagée dès lundi par le préfet de l’Hérault

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Une fermeture des bars sur Sète et le Bassin de Thau

D’après nos informations la décision serait prise. Les bars sur Sète et le Bassin de Thau devront rester fermés dès ce lundi 19 Octobre 2020.

Plusieurs patrons de bars sont déjà au courant des nouvelles restrictions que va prendre le Préfet. Certains bien informés n’ont même pas renouvelé le stock de la semaine prochaine.

En coulisses le président de Sète – Agglopôle François Commeinhes est très actif auprès du Préfet de l’Hérault pour essayer d’obtenir un sursis. Même si l’échéance est repoussée d’une semaine ou deux, la fermeture des bars semble inévitable dans les prochaines semaines devant l’augmentation des cas de Covid-19 sur le bassin de Thau.

L’afflux des Montpelliérains vers le Bassin de Thau pose problème ?

Alors que Montpellier a basculé en zone d’alerte maximale mardi, l’afflux vers le Bassin de Thau des habitants de Montpellier et son agglomération pose en réalité un problème. Le Préfet de l’Hérault semble redouter que le Bassin de Thau soit pour beaucoup de Montpelliérains une alternative pour venir se détendre dans un secteur sans restriction sanitaire.

Le préfecture de l’Hérault cherche avant tout à ralentir la propagation du virus dans le département mais surtout aujourd’hui à limiter son déplacement vers le secteur du Bassin de Thau pour qu’il ne passe pas à son tour en zone d’alerte maximale.

Un mal pour un bien ?

À lire aussi >> [Sète] Un pistolet 6.35, de la drogue, un gilet pare-balles et 14.000€ saisis à l’île de Thau

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4 Commentaires

4 Comments

  1. Delille eric

    14 octobre 2020 at 11 h 06 min

    Laissez nous travailler dans le respect des règles sanitaires, fermer les bars, c’est condamner tout un secteur à la faillite, alors que les clusters ne proviennent pas de ces établissements, nous sommes prêts, par contre, à respecter un couvre-feu, qui éviterait les rassemblements nocturnes et les réunions festives. Merci à notre Maire François Commeinhes de défendre notre outil de travail.

  2. Gigi

    15 octobre 2020 at 6 h 26 min

    Dramatique pour cette profession

  3. Xavier Pezet

    15 octobre 2020 at 13 h 14 min

    Merde mon bistro préférer à sete j ai pas mal de souvenir pas toujours sofs .

  4. Sylvie

    20 octobre 2020 at 22 h 15 min

    Il suffisait d’arreter, également ,l’arrivage de nouveaux vacanciers , ce weekend, comme il aurait dû être au mois de Juillet ! Nous étions en zone verte fin juin ….. Mais tout ça n’est qu’une affaire de pognon !!

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Gigean

Gigean : démission du directeur général des services, le troisième en 4 ans !

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©MairiedeGigean

La crise politique s’intensifie dans la commune de Gigean avec la démission du directeur général des services (DGS), Léo Sendra, tandis que les tensions internes perdurent.

La commune de Gigean traverse une nouvelle tempête politique avec la démission du directeur général des services (DGS), Léo Sendra. Annoncée début février 2024 par l’intéressé lui-même via un courriel adressé à l’ensemble des élus, cette démission marque un nouveau tournant dans la crise qui secoue la municipalité, déjà fragilisée par une série de départs notables. Ce nouveau départ devrait être officialisé dans les prochains jours.

Léo Sendra, dont la gestion professionnelle et les qualités humaines, sont grandement appréciées en interne, quitte ses fonctions au milieu d’un climat politique tumultueux, marqué par des luttes de pouvoir internes. Cette décision intervient dans un contexte où Gigean a déjà enregistré une série de départs significatifs, notamment celui d’un cadre A en charge de l’urbanisme, qui a également sollicité ces dernières semaines sa mutation. La commune a également été secouée en septembre 2023 par une vague massive de départs dans la police municipale, causée par la gestion « autoritaire » du maire Marcel Stoecklin, suscitant des inquiétudes quant à la gouvernance locale et la gestion des services publics.

Cette annonce survient également après l’incident survenu lors d’une réunion des élus de la majorité, où une altercation physique entre deux élues, Hélène Auge et Leïla Bertes. Cet épisode découle d’un désaccord concernant l’utilisation de fonds publics lors d’une soirée caritative. Les élus impliqués dans cette altercation ont dû se rendre à la gendarmerie pour s’expliquer, une enquête est toujours en cours.

En réaction à ces tensions, le maire Marcel Stoecklin avait envisagé de démissionner et de transmettre son poste à son troisième adjoint, Alain Bertes, contournant ainsi son premier adjoint, Marc Gonzalez, avec qui il était en conflit. Cette tentative de négociation a soulevé des questions sur le respect des règles démocratiques et a exacerbé la tension politique à Gigean, où Marcel Stoecklin semblait être dans une impasse.

La démission de Léo Sendra constitue un nouveau défi pour la municipalité de Gigean, qui devra chercher à restaurer la stabilité au sein de son administration. Marcel Stoecklin enregistrera bientôt son quatrième DSG en quatre ans, soit une moyenne d’un DGS par an depuis sa prise de pouvoir. Ce nouveau départ marque un nouveau chapitre dans la saga politique en constante évolution de Gigean, soulignant l’urgence d’une résolution constructive des conflits internes pour garantir le bon fonctionnement de la commune.

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À LIRE AUSSI > Gigean : Le maire envisage de démissionner et consulte en Préfecture de l’Hérault

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Mèze

Mèze : Confrontation entre François Commeinhes et Thierry Baëza sur l’accueil des gens du voyage

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Mèze : Confrontation entre François Commeinhes et Thierry Baëza sur l'accueil des gens du voyage
@VilledeMèze

Une situation tendue se dessine à Mèze alors que la tension monte entre François Commeinhes et le maire Thierry Baëza. Le sujet brûlant qui alimente cette nouvelle polémique : l’accueil des gens du voyage.

Depuis quelques semaines, une quarantaine de caravanes des gens du voyage occupent illégalement le stade municipal de Balaruc-le-Vieux, en face du centre commercial Carrefour. Alors que la gendarmerie leur a demandé de partir et que l’aire de Frontignan est fermée pour travaux, ces voyageurs ont trouvé un nouveau refuge dimanche soir à Gigean, près de la piscine intercommunale. Face à cette situation, François Commeinhes et son équipe ont pris l’initiative d’intervenir en ouvrant en urgence l’aire de grand passage de Mèze, sans même en informer le maire de Mèze.

Cependant, cette décision a été accueillie avec fermeté par Thierry Baeza, maire de Mèze. En effet, l’aire de passage de Mèze est soumise à des règles strictes, ne pouvant accueillir les voyageurs que du 1er avril au 31 octobre, conformément à ses statuts. Pour faire respecter cette réglementation, Thierry Baeza a ordonné le blocage de l’aire par ses services, utilisant du sable et du béton. Malgré cela, François Commeinhes a fait retirer ces blocs en fin de journée pour permettre l’installation des voyageurs.

Cette action unilatérale a suscité l’indignation de Thierry Baeza, dénonçant un abus de pouvoir flagrant de la part du président de la SAM. « Encore une fois, les règles sont bafouées ! », s’est insurgé le maire de Mèze. Il souligne également le non-respect de la réglementation par Sète Agglopôle Méditerranée (SAM), qui a ouvert l’aire de grand passage de Mèze à un groupe de gens du voyage sans en informer les autorités locales.

Thierry Baeza a déclaré envisager sérieusement le dépôt d’une plainte contre la SAM pour ces manquements et ce passage en force. Il insiste sur le fait que la ville de Mèze est en parfaite conformité avec le schéma départemental d’accueil des gens du voyage, contrairement à d’autres entités telles que SAM et la Ville de Sète, qui ne respectent pas ces dispositifs pourtant obligatoires. Il refuse que sa ville soit la victime des négligences des autres municipalités et de l’intercommunalité.

Cette récente intensification du débat sur l’accueil des gens du voyage souligne les tensions durables au sein de la SAM entre les élus, mettant en évidence des divergences profondes quant à la gestion de cette administration.

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Bouzigues

Crise politique à Bouzigues : Le budget municipal rejeté une seconde fois

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Bouzigues en ébullition : crise municipale sans précédent autour du maire, Cédric Raja

C’est une impasse totale à Bouzigues, le maire Cédric Raja se heurte toujours à une majorité profondément divisée, le budget municipal ayant été rejeté pour la deuxième fois.

La crise politique à Bouzigues s’aggrave alors que la majorité municipale a rejeté pour la deuxième fois le budget proposé par le maire Cédric Raja, avec un vote de 6 pour, 8 contre et 5 abstentions, lors de la séance du conseil municipal tenue hier soir.

Ce nouvel échec, survenu ce lundi 29 janvier 2024, marque une étape critique dans le conflit politique qui secoue la ville depuis le rejet initial du budget le 19 décembre 2023. La décision de la majorité municipale révèle une fracture profonde au sein du camp de Cédric Raja, avec une opposition croissante à sa gestion de la municipalité.

Le maire, déjà en difficulté après le premier rejet du budget, se retrouve désormais dans une situation encore plus instable. Ce second refus accentue les divisions internes et suscite des interrogations quant à la capacité de la mairie à opérer efficacement. Les tensions paraissent s’être intensifiées, malgré la période d’un mois écoulée depuis le rejet initial du budget, qui aurait dû permettre de résoudre la situation.

Pour rappel, l’origine de cette crise est attribuée à ce que beaucoup considèrent comme une gestion autoritaire et un manque de transparence de la part du maire. Ces problèmes ont conduit à une perte de confiance de nombreux élus envers leur leader, ce qui se reflète dans les résultats du vote.

Avec le budget municipal rejeté une seconde fois, la ville de Bouzigues se retrouve dans une situation de paralysie administrative. Sans un budget approuvé, les services essentiels et les projets d’investissement sont en suspens, créant une incertitude parmi les habitants et les acteurs locaux.

Cette situation sans précédent à Bouzigues attire l’attention sur les défis auxquels les administrations locales peuvent être confrontées dans la gestion des différences internes, et souligne l’importance de la collaboration et de la transparence en politique municipale. Les prochains jours seront cruciaux pour déterminer l’avenir politique de Cédric Raja et la direction de Bouzigues.

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