Monde
Un prénom courant en France jugé obscène en Nouvelle-Zélande
Le prénom Fanny, très répandu dans l’Hexagone, fait partie des appellations prohibées par les autorités néo-zélandaises en raison de sa connotation vulgaire en anglais.
En Nouvelle-Zélande, certaines dénominations jugées inappropriées sont formellement interdites lors de l’enregistrement des nouveau-nés. Parmi elles figure le prénom Fanny, pourtant courant et sans équivoque en France. Les services de l’état civil considèrent cette appellation comme obscène, car elle désigne de manière argotique les parties intimes féminines dans les pays anglophones.
Le gouvernement local actualise régulièrement sa liste de prénoms prohibés, qui inclut également des titres nobiliaires, des références religieuses ou encore des noms évoquant des substances illicites. Les autorités encouragent vivement les parents à choisir avec discernement l’identité de leur enfant, soulignant que la perception d’un prénom peut évoluer avec le temps.
En France, bien qu’aucune liste officielle n’existe, les officiers d’état civil disposent d’un droit de veto lorsqu’un prénom semble contraire à l’intérêt de l’enfant. Plusieurs cas emblématiques ont défrayé la chronique, comme le refus d’enregistrer des prénoms inspirés de marques commerciales ou de personnages de fiction. La législation française permet ainsi d’éviter des choix qui pourraient exposer les enfants à des moqueries ou des préjudices.
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