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Mèze

Sète Agglopôle : Les élus de Mèze dénoncent la surfacturation de l’eau pour 7 750 habitants

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Sète Agglopôle Les élus de Mèze dénoncent la surfacturation de l'eau pour 7 750 habitants
Marcel Graine(g) - Thierry Baeza(c) - Eve Gimenez Sylva(d)

Les représentants de Mèze à Sète Agglopôle Méditerranée ont vivement critiqué une surfacturation de l’eau, touchant 7 750 habitants locaux, et exigent une résolution urgente, soulignant l’impact financier sur les ménages mézois.

Un vent de consternation a soufflé ce jeudi 16 novembre sur Sète Agglopôle Méditerranée (SAM), suite à la révélation d’une surfacturation de l’eau potable affectant 7 750 résidents de Mèze. L’alerte a été donnée lors du dernier Conseil Communautaire de SAM, où les élus mézois se sont mobilisés pour défendre les intérêts de leurs administrés face à cette facturation injustifiée.

Le rapport 2022 sur le prix et la qualité du service de l’eau potable à Mèze, présenté jeudi dernier par Yves Michel, vice-président en charge de la gestion de l’eau à SAM, a été le point de départ de cette controverse. C’est après cette présentation que Marcel Graine, membre influent de la majorité de Thierry Baëza, a brillamment mis en évidence des incohérences flagrantes dans le rapport. Marcel Graine a dévoilé des augmentations de recettes suspectes pour SAM, malgré un nombre d’abonnés stable et une consommation d’eau en baisse dans sa commune, soulevant des questions sur la fiabilité de cette gestion.

Yves Michel, vice-président en charge de la gestion de l’eau à SAM, s’est trouvé dans l’embarras face à ces révélations. Sa réponse évasive, promettant une rectification en cas d’erreur, n’a pas suffi à apaiser les inquiétudes. « Nous allons vérifier », a-t-il répondu, laissant planer un doute quant à la résolution immédiate du problème.

L’ampleur de cette surfacturation soulève également des questions sur d’autres communes potentiellement affectées. Jusqu’à présent, le silence règne, alimenté par une apparente réticence des autres membres du conseil à questionner ouvertement cette situation, probablement par crainte de représailles de la part d’un François Commeinhes, déjà visiblement mal à l’aise pendant la séance.

Thierry Baeza a exigé une correction rapide de cette erreur flagrante qui a injustement affecté le budget des résidents de Mèze. Les élus mézois surveillent attentivement le processus de remboursement de cette surfacturation. Marcel Graine considère que cette surfacturation constitue « une infraction juridique caractérisée, pouvant faire l’objet de poursuites en cas de non-correction. Elle vient s’ajouter à d’autres manquements, en particulier le manque de transparence concernant cette augmentation tarifaire auprès des consommateurs. »

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