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Première dame sous le feu des critiques : Marlène Schiappa monte au créneau pour défendre Brigitte Macron

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Alors qu’une vidéo du couple présidentiel fait polémique, l’ancienne ministre dénonce le harcèlement incessant dont serait victime l’épouse d’Emmanuel Macron.

L’ancienne ministre Marlène Schiappa a pris publiquement la défense de Brigitte Macron, cible récurrente de cyberharcèlement depuis plusieurs années. Cette prise de position intervient alors qu’une séquence montrant un échange vif entre les époux Macron lors d’un déplacement officiel au Vietnam a suscité de vives réactions.

Sur les réseaux sociaux, l’ex-membre du gouvernement a exprimé son indignation face aux attaques répétées contre la Première dame, qualifiant ces comportements de « cruels » et « méchants ». Elle a rappelé que certaines accusations relevaient clairement de la diffamation, notamment les rumeurs infondées sur l’identité de genre de Brigitte Macron qui circulent depuis le début du quinquennat.

Lors d’une intervention télévisée, la responsable politique a insisté sur la nécessité de mettre fin à ce phénomène de harcèlement en ligne, soulignant que les attaques personnelles contre l’épouse du chef de l’État dépassaient les limites acceptables dans le débat public. Selon elle, ces comportements traduisent une tendance inquiétante à faire porter à la Première dame toutes les frustrations de la société française.

Cette défense vigoureuse intervient dans un contexte où l’image du couple présidentiel est particulièrement scrutée, chaque geste et interaction donnant lieu à des interprétations diverses. L’Élysée avait d’ailleurs dû réagir rapidement pour tempérer les spéculations nées de la vidéo controversée, évoquant simplement un moment de complicité conjugale.

Au-delà de l’épisode récent, le témoignage de Marlène Schiappa met en lumière la violence particulière subie par Brigitte Macron, dont la simple existence publique semble cristalliser des haines irrationnelles. Un phénomène qui, selon l’ancienne ministre, mériterait une prise de conscience collective et une réponse plus ferme des autorités.

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