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Début de nuit plutôt calme à Alençon après des violences urbaines

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Après une flambée de violences urbaines la nuit précédente, le calme a prévalu en première partie de la nuit de mercredi à jeudi à Alençon à l’exception d’un bref incident.

Des renforts de sécurité avaient été acheminés en cours de journée et le quartier de Perseigne, siège de ces violences, a été parcouru mercredi soir par des forces de l’ordre. Des points de contrôle ont été installés aux entrées du quartier, pour procéder à des vérifications d’identité et de contenu des coffres de véhicules, tandis des patrouilles pédestres ou motorisées étaient effectuées, a constaté le photographe.

Peu après minuit et demi, le calme du début de nuit a été rompu pendant un bref instant par des tirs de mortiers d’artifice vers la rue depuis des fenêtres et le hall d’entrée d’un immeuble, a observé le photographe.

Aucun membre des forces de l’ordre ne se trouvait face à l’immeuble au moment des tirs.

Des policiers ont ensuite pénétré dans cet immeuble rénové de quatre étages et en sont ressortis peu après sans avoir apparemment identifié les auteurs des tirs.

Vers 2H00 du matin, le dispositif policier a été levé, a constaté le photgraphe.

 Renforts de sécurité

La préfecture de l’Orne avait annoncé mercredi en fin de journée l’arrivée de renforts de sécurité « après la nuit de violences urbaines qu’a connu le quartier de Perseigne à Alençon », ville de 26.000 habitants.

Dans ce communiqué, la préfecture détaillait ainsi ces renforts: « Trois sections de la compagnie républicaine de sécurité (CRS) 27 de Toulouse » ainsi que « deux équipages de brigades anti-criminalité du Calvados et de la Sarthe, soit plus de 65 policiers déployés ». Des renforts supplémentaires pourront être mobilisés en cas de besoin, précisait la préfecture.

La veille, mardi soir, « à partir de 23h15, une trentaine d’individus ont mené une action coordonnée de violences urbaines, avec la volonté manifeste d’attirer les forces de l’ordre dans un guet-apens: 24 véhicules ont été incendiés, trois véhicules ont été retournés pour freiner la progression des forces de l’ordre, un abribus a été détruit », avait déploré mercredi matin le préfet de l’Orne.

Les incidents s’étaient déroulés jusqu’à 2h00 du matin, avait précisé la procureure de la République d’Alençon, Laetitia Mirande.

« Ca fait mal au coeur », avait confié mercredi une retraitée du quartier dont l’unique voiture a brûlé. « Mon mari n’a que 600 euros de retraite, moi 1.100 mais avec 500 euros de loyer, la lumière tout ça… C’est pas possible » de racheter un véhicule, avait expliqué l’habitante de cette ville où le taux de chômage atteint 21%.

Le syndicat Unsa-Police a évoqué dans un communiqué « une véritable scène de guérilla urbaine », tandis que le syndicat de policiers Alliance 61 a fait état de « soixante mortiers (d’artifice, NDLR) tirés en direction des forces de l’ordre ».

« Une présence des forces de sécurité sera maintenue à un haut niveau dans les prochains jours », a assuré la préfecture.

« Opérations coups de poing »

Dans la nuit du 26 au 27 octobre 2021, des faits similaires s’étaient produits dans ce quartier populaire d’Alençon: treize véhicules avaient été incendiés et les forces de l’ordre avaient également été la cible de tirs de mortiers d’artifice.

« Ce qu’on a connu hier soir, c’est la conséquence directe du travail que fait la police sur le quartier (…). La police (y) conduit un combat acharné contre le trafic de stupéfiant », a estimé le préfet Sébastien Jallet sur BFMTV.

« Depuis plusieurs mois nous menons des opérations coups de poing (…) contre les réseaux (…) On peut penser qu’il y a un lien assez direct entre cette action de la police (…) contre la drogue à Perseigne et ce qu’on a connu hier soir sur le quartier », a avancé M. Jallet.

Le maire d’Alençon Joaquim Pueyo, « en retrait du PS », a déploré qu' »il n’y a pas assez de policiers la nuit » malgré les postes supplémentaires, quatre selon le préfet, qui ont été créés à Alençon à la suite des faits d’octobre 2021.

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Kendji Girac blessé par balle : les détails de l’incident et son état de santé

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Kendji Girac blessé par balle cette nuit, pronostic vital est engagé

L’artiste, révélé en 2014 par l’émission « The Voice », a été blessé dans la nuit de dimanche à lundi dans cette commune des Landes.

Une nouvelle mise à jour concernant l’état de santé du chanteur Kendji Girac, victime d’une blessure par balle au thorax dans la nuit de dimanche à lundi à Biscarrosse, dans les Landes, apporte de nouveaux éléments sur les circonstances de l’incident.

Selon des sources proches de l’enquête, le chanteur de 27 ans aurait expliqué aux secours avoir acquis l’arme en question, un Colt 45, lors d’une brocante, et aurait été blessé alors qu’il la manipulait. Une arme du même modèle a été découverte sans chargeur près du lieu où il se trouvait.

Les gendarmes, qui n’ont pas encore interrogé Kendji Girac, maintiennent toutes les pistes ouvertes et poursuivent leurs investigations. Le parquet de Mont-de-Marsan a déclaré ne pas être en mesure de fournir de détails supplémentaires pour le moment.

Le pronostic vital de Kendji Girac, initialement annoncé comme engagé, ne l’est pas selon des sources proches de l’enquête et les pompiers des Landes. Il était conscient au moment de son transport à l’hôpital Haut-Lévêque à Pessac, près de Bordeaux, où il a été admis pour recevoir des soins. Les membres de sa famille se sont également rendus à son chevet.

Le camp où s’est déroulé l’incident, fréquenté par la communauté des gens du voyage, est situé à Biscarrosse, sur la route de Parentis-en-Born. Il n’est pas connu pour des faits de violence récents.

Originaire de Périgueux, Kendji Girac a été révélé au grand public en 2014 après sa participation et sa victoire dans l’émission The Voice. Depuis, il a vendu des millions de disques et est devenu l’un des piliers des Enfoirés.

La ville de Bergerac, où il a des attaches, a exprimé ses vœux de rétablissement au chanteur, tandis que les fans et les proches attendent avec inquiétude des nouvelles sur son état de santé.

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Braquage d’une banque à Clermont-l’Hérault : le suspect retrouvé mort

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Un homme a braqué une agence bancaire à Clermont-l’Hérault, près de Montpellier, ce mercredi matin. Le braqueur est décédé, et aucun autre individu n’a été blessé lors de l’incident.

Un braquage a eu lieu ce mercredi matin à Clermont-l’Hérault, près de Montpellier, dans la banque Dupuy-de-Parseval. Selon une source proche de l’enquête, il était aux alentours de 9h30 quand un homme a utilisé son véhicule, comme voiture-bélier, pour pénétrer à l’intérieur de l’agence bancaire. Les employés sur place ont immédiatement alerté les gendarmes.

L’homme suspecté de ce braquage a été retrouvé mort, selon une source proche enquête. Il n’y a pas d’autres victimes. Un périmètre de sécurité avait été mis en place dans cette zone commerciale près de l’échangeur de l’A75. Le GIGN avait été appelé sur place. L’intervention était terminée avant son arrivée.

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Mort du petit Emile: un nouveau fragment d’os découvert

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Mort du petit Emile: un nouveau fragment d'os découvert

Les gendarmes ont retrouvé de nouveaux ossements appartenant au petit Émile à proximité du lieu où le crâne de l’enfant a été découvert le 30 mars.

Un nouveau fragment d’os appartenant à Emile, le garçonnet disparu début juillet dans le hameau du Haut-Vernet (Alpes-de-Haute-Provence), a été trouvé près du lieu où son crâne et ses vêtements avaient été retrouvés il y a une dizaine de jours, a confirmé le procureur d’Aix-en-Provence.

Cette découverte, confirmée par le procureur Jean-Luc Blachon, ne permet cependant pas de progresser dans la détermination de la cause du décès de l’enfant. Le fragment d’ossement a été identifié comme appartenant à Emile par l’Institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale (IRCGN).

Emile, âgé de deux ans et demi, avait disparu le 8 juillet dernier alors qu’il séjournait chez ses grands-parents maternels pour l’été. Son crâne, des dents et ses vêtements ont été retrouvés fin mars et début avril, à environ 1,7 km du hameau, près d’un ruisseau descendant de la montagne.

Malgré ces découvertes, aucune hypothèse sur la cause de la mort d’Emile n’a été privilégiée par les enquêteurs. Les conditions météo et d’autres facteurs pourraient avoir déplacé les restes de l’enfant depuis sa disparition, rendant difficile l’établissement des circonstances exactes de sa mort.

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