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Société

[Tribune] Epidémie COVID ou le syndrome d’un équilibre social en danger

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  • Du constat à l’indécence

Loin, très loin de nous, par les presses audio, télévisées, en ligne, ou écrites, aussi engagées qu’ignorantes, et assujetties aux dépêches mondiales subissant les mêmes communicants, nous avons écouté, regardé, lu et vu arrivé le « Mal ».

D’une infection à l’épidémie lointaine, nulle peur, nulle interrogation, ma foi, des Chinois avec des masques c’était devenu tellement commun pour un pays industriel « sur-pollué » et surpeuplé. Puis, par les mêmes réseaux, ce nuage, en vert, en orange puis en rouge s’est élargi sur la carte Asiatique, puis Européenne jusqu’à venir ternir nos frontières, et devenir Mondiale.

L’inquiétude nous a gagné, à coup de BFM, LCI et autres, informations permanentes, flashes spéciaux, alarmistes sur ordre. De qui ?

  • Du brouhaha à l’interdiction avec autorisation

Les yeux braqués sur les pays voisins, nos dirigeants ont scruté, analysé et pris les premières décisions dans l’urgence et la cacophonie des « meilleurs experts épidémiologistes» rattachés au Gouvernement. D’autres étaient en opposition, par principe, par connaissance, par analyse.

Déjà, « ils » lui ont donné un nom : covid (le covid ? La covid ? tu comprends rien ! écoute quand je te parle ! c’est la covid mais on dit, le connard-virus, pardon le coronavirus !). Alors, il nous a été imposé un masque de protection, puis non, ce n’était plus la peine, puis oui mais pour certains, puis oui pour tout le monde, et puis merde ! Tout ça, agrémenté de réserves prévues pour la Sécurité nationale, mais périmées, mais « oui, nous avions anticipé » puis « Zut, la note N° 825 bis Alinéa 3 que j’ai signée » sur un coin de table et qui reste introuvable » faisait mention de la « nécessité absolue de renouveler le stock » ! Couac ! (auditions en cours ! mais ne vous leurrez pas).

A cette protection potentielle et providentielle de bonne augure présidentielle, il nous a été ajouté une interdiction de sortie, une interdiction de contact, une interdiction de travail, une interdiction de mamie qui vit seule, ou qui est en train de mourir en ehpad, une interdiction de rencontres, d’affection et de câlins, mais avec un papier nous autorisant à éventuellement, « j’allais faire des courses Monsieur l’agent ! » ….. ouf ! Cette opposition à la vie sociale nous est apparue comme un bâillon à nos libertés, la bonne aubaine ! En plein mouvement des gilets jaunes, des gilets jeunes, des gilets verts ou sans couleur puisque le monde était dans la rue depuis plus d’un an déjà tous les week-ends. Ce n’est qu’une fausse idée ! non ?

  • De la précarité au jugement

Il nous a été jeté l’aumône, aux entreprises, aux chômeurs, aux précaires, et aux commerces, des miettes d’euros, des restes à réaliser d’un argent qui n’existe pas, qui n’est pas imprimé, qui n’est pas disponible, du virtuel quoi ! Pour la diminution des charges, pour l’augmentation des salaires, mais que nous rembourserons en argent, du réel ce coup-ci, nous ou nos enfants d’ailleurs, coûte que coûte.

Et la jalousie est montée, pourquoi lui et pas moi ? Les précaires ont plus d’argent que nous qui avons des charges à payer ! Et puis eux ils n’ont rien à faire, on leur donne déjà assez ! Laissez les dans leurs habitudes à compter le 05 du mois, la fin de leur porte-monnaie tant convoité pendant 4 semaines, nous sommes plus importants puisque nous sommes la force vive de ce pays.

Allez gérer une famille avec 1000 € ou un appartement avec le rsa. Quoi ? 150 € à cause du covid ! 100 € par enfant, et puis quoi encore ! Ils ont déjà les allocations ! Cassons de l’Apl, de l’AAH, et de la prestation familiale si justement et durement acquis, tellement plus simple de détruire la pauvreté qui nous dérange, ceux qui « ne sont rien » !

Détruisons les acquis sociaux ! Tellement simple d’éradiquer tout le monde pour quelques 45 000 fraudeurs et 305 millions €, mais fermons les yeux sur quelques exilés fiscaux (5 000 personnes pour 20 millions d’€), le CICE non respecté et exploité par les multinationales  (20 milliards d’€uros), est-ce que ça parlerait à quelqu’un ? C’est vos sous, votre argent, vos pesetas. Pour ce qui est de la Sécu (caisse de retraite), ou de la CAF, que les choses soient claires : faites un petit calcul, vous travaillez 25 ans, vous tombez malade, donc droit au « chômage » pendant deux ans maintenant, puis minima sociaux (rsa), c’est notre sécurité, c’est notre garantie sur la vie, et bien 150 balles c’est important, c’est un peu de beurre, une viande chez le boucher pour une fois. Personne n’est à l’abri des accidents de la vie, malheureusement. Soyons indulgents, compréhensifs, cherchons à comprendre et non à juger.

  • De la création d’entreprise à la faillite

Et puis, il y a ceux, transpirant sur la responsabilité d’emploi d’un ou de dizaines de salariés, qui, eux aussi ne dorment plus, comptent, pour se rendre (compte) à l’évidence que leur bébé, leur projet, leur structure, leur entreprise, tout est mort, irrattrapable, ingérable dorénavant malgré les miettes données et réajustées (faussement et volontairement minoré), leurs ouvriers au chômage pour une durée indéterminée.

L’interdiction d’ouverture pour un bar ou un restaurant, le primeur, l’épicerie, qui génèrent du chiffre, de la cotisation, de la TVA, de la CSG, CRDS, de l’impôt sur le revenu, sur les dividendes, sur le bâtiment, les ordures ménagères, sur l’exploitation de l’espace publique ne pourra se relever qu’avec une politique d’économie de proximité, mais n’y allez pas, restez chez vous, commandez en ligne !

Là bas, dans les hypers et supers, la COVID ne circule que très peu ! Ce que les petits commerces génèrent aussi, c’est de la vie sociale, celle dont l’Etat ne veut plus à priori ! Celle qui fait les rencontres, la richesse de l’esprit, les rires et les amours,  il est interdit de sortir ! il est interdit de dépenser là bas, lieu de culture, mais sauvons Amazon, Mc Do, et la Chine car c’est bientôt Noël ! Mais pas de problème, dépensez le peu qu’il vous reste, puisque le taux d’intérêts du Livret A ne vaut plus un clou ! Réengager du numéraire, de la carte bleue, du chèque dans le circuit, celui des TVA et charges, mais pas dans le vôtre ! (non pas du chèque, il est facturé par les banques sur son fonctionnement mais non reconnu comme un moyen de paiement !).

  • De l’espoir au dégoût du mensonge

En Juillet, on nous a dit : « ça y est, en en vient à bout », histoire de faire une petite reprise économique ? Calmer l’opinion, ça se fait tellement pendant tous les mouvements sociaux, les revendications, le mécontentement, surtout à l’approche des congés, de la délivrance. Après 4 mois de présence des enfants au domicile, à suivre les devoirs, les Environnements Numériques de Travail avec les Enseignants « volontaires », calmer les énervements de ces bambins qui ont soif de courir, de respirer.

Il était temps, juste avant le « pétage » de plombs ou le suicide collectif. Il fallait faire rentrer de l’argent dans les caisses, quitte à sur infecter les stations balnéaires avec une migration provisoire, estivale excessive ! 4,3,2,1, vous pouvez y aller ! Et aujourd’hui ? couvre feu, re masques, re expansion de pandémie, re angoisse, re confinement ? NON, juste un couvre feu. Nous sommes blasés, terrassés, inquiets, brefs soumis. Écœurés. Toujours pas de certitudes, toujours de fausses informations ? Faux calculs sur les lits disponibles en Réanimation, évidemment que c’est complet, les soignants n’en peuvent plus, même si la COVID prend des lits, ils faut continuer à accueillir en majorité les sorties de blocs opératoires, les accidentés et traumatisés, les fins de vie, ……. Le compte n’y est pas !

  • De l’immigration à l’amalgame

En pleine pandémie, l’assassinat ignoble qui nous fait tourner la tête, vers d’autres problèmes, d’autres intérêts, nous avons pris un autre « Mal » dans la figure, comme pour nous mettre une pression supplémentaire, composée d’amalgames et de racismes primaires et intéressés à l’aube de scrutins importants. NON, tous les Arabes ne sont pas l’Islam, NON l’Islam n’est pas l’extrémisme, NON, la Chrétienté n’est pas Les Croisades et le Ku Kux Klan, ni la Colonisation, au nom de qui ? Au nom de quoi ? Ou alors on déclare sectaires et illégaux tous les groupes de croyances. Concomitance ? Oui ! Mais non ! Ras le bol des théories du complot, menées par l’opposition à l’Instance sur le Trône, ou complot réel, puisque l’Etat considère que la confiance des Français doit être innée et sans contours (sic !), le Gouvernement n’ayant jamais fauté MDR (Mort de Rire dans le texte et moi aussi !).

N’est-il pas humain de douter, d’interroger son « moi » et son « je », faire fonctionner son libre arbitre tout simplement ? N’est-il pas humain d’échanger, de s’engueuler même, pour se faire un avis, une opinion, avec des éléments aussi nombreux qu’instables et pour certains risibles. Les avis divergent (et c’est beaucoup comme dirait l’autre ! Lol !), la communication c’est ce qui fait notre Culture, nos Libertés et notre Société jeune et fragile. Cette République est-elle toujours en corrélation avec notre temps, notre équilibre et nos intérêts ?

  • Du vote à l’abstention

Donc, Ohé Ohé du bateau oh oh oh ! 2021, 2022. Des échéances seront à assumer avec tous ces éléments, toutes ces contradictions, et toute la confiance des Français (?). Le pouvoir par l’oppression actuelle fabriquera-t-il  des intelligences ? Peu probable. Mais il faudra absolument se déplacer, s’exprimer avant qu’on nous en retire ce droit tellement précieux.

Quelles seront nos réflexions avant d’entrer dans l’isoloir et prendre définitivement notre décision ? Par conviction et militantisme, par défaut et à contrecœur ? Mais il faudra bien se prononcer cette fois-ci, il ne sera plus seulement question de parti politique, ou d’opinions hasardeuses, ni même d’abstentions, nous aurons tous notre masque, que certains utiliseront pour rendre la monnaie de la pièce ou de la pilule si dure à avaler, le traumatisme de cette année sombre, d’autres pour que la vérité éclate enfin, éventuellement par le combat et la rue, réprimé, stérile et plus à la mode.

Notre société, notre économie, notre équilibre mental, nos enfants et petits enfants nous surveillent et ont soif d’avenir, d’écologie, d’entraide, de communauté, de sérénité et de Justice. D’Humanité quoi !

« Le discours politique est destiné à donner aux mensonges l’accent de la vérité, à rendre le meurtre respectable et à donner l’apparence de la solidarité à un simple courant d’air. »

George Orwell – 1984

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Société

Paris 2024: à 24H de la fête officielle, une « contre-cérémonie » pour les plus pauvres

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Paris 2024: à 24H de la fête officielle, une "contre-cérémonie" pour les plus pauvres

Plusieurs centaines de personnes étaient rassemblées jeudi en fin de journée à Paris, à l’appel de 72 organisations, pour dénoncer les « conséquences sociales » sur « les plus précaires » des Jeux olympiques qui s’ouvrent vendredi soir.

À la veille de l’ouverture officielle des Jeux olympiques de Paris 2024, environ 300 personnes se sont réunies place de la République pour protester contre les effets néfastes de l’événement sur les populations les plus vulnérables. Sous la banderole « JO de l’exclusion: 12.500 personnes expulsées – le revers de la médaille – #nettoyage social », les manifestants, issus de diverses organisations telles que Solidaires, Saccage2024, Attac France et Youth for Climate, ont exprimé leur mécontentement.

Arthur, membre de Saccage2024, a critiqué les JO en déclarant qu’ils ne profitent ni aux habitants ni aux travailleurs, mais uniquement aux promoteurs et sponsors. Nicolas, militant de Greenpeace, a dénoncé l’ignorance des crises écologique et sociale par les organisateurs, pointant du doigt Coca Cola comme étant le plus grand pollueur plastique mondial.

Le syndicat Solidaires a également publié un communiqué fustigeant la surexploitation des travailleurs, l’abus de bénévolat, les menaces contre le droit de grève, la destruction de l’environnement et la perte de logements, obligeant les personnes sans-abri à se déplacer.

Les associations présentes ont également souligné l’augmentation des démantèlements de campements illégaux peuplés majoritairement de migrants autour de Paris à l’approche des Jeux. Ginevra Caterino, coordinatrice de Watizat, a alerté sur l’impact négatif de ces expulsions sur la santé mentale des personnes concernées.

Le collectif Le Revers de la médaille a dénoncé un « sprint final du nettoyage social » avant la cérémonie d’ouverture des Jeux, prévue vendredi après-midi. Yann Manzi, fondateur d’Utopia 56, a réclamé que les fonds dépensés pour des projets comme le nettoyage de la Seine soient redirigés vers l’hébergement des plus vulnérables.

En parallèle, des manifestations sur la place de la République ont également abordé des questions politiques, avec des slogans contre la complicité de Macron avec Israël et des contre-manifestations dénonçant l’antisémitisme.

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Économie

EDF : Record de bénéfice net à 7 milliards d’euros, une hausse de 21% au premier semestre

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EDF : Record de bénéfice net à 7 milliards d'euros, une hausse de 21% au premier semestre

EDF a amélioré son bénéfice net de 21% à 7 milliards d’euros au premier semestre, fort du redressement de la production nucléaire et hydraulique, mais s’attend à ce que la baisse des prix de l’électricité sur les marchés pèse sur ses résultats à la fin de l’année.

EDF a enregistré une hausse record de 21% de son bénéfice net, atteignant 7 milliards d’euros au premier semestre. Cette performance est attribuée à l’augmentation de la production nucléaire et hydraulique, signe des efforts importants des équipes d’EDF pour restaurer une production électrique élevée, selon le PDG Luc Rémont.

En France, la production nucléaire a progressé de 19,4 térawattheures (TWh) pour atteindre 177,4 TWh. EDF prévoit que la production nucléaire en 2024 atteindra le haut de la fourchette estimée de 315-345 TWh, et confirme les prévisions pour 2025 et 2026 à 335-365 TWh.

Le groupe a surmonté une année difficile en 2022, marquée par des problèmes de corrosion dans ses centrales et une baisse de production nucléaire, clôturant 2023 avec un bénéfice net de 10 milliards d’euros. En 2022, EDF avait été contraint de vendre de l’électricité à prix réduit à ses concurrents, ce qui l’avait empêché de profiter de la hausse des prix. Cette restriction n’a pas été reconduite en 2023, permettant à EDF de tirer parti des prix élevés de l’électricité.

Cependant, la tendance s’inverse avec une baisse rapide des prix sur les marchés, ce qui devrait affecter négativement la rentabilité d’EDF au second semestre 2024. Le groupe anticipe un recul significatif de l’Ebitda par rapport à l’année précédente, en raison de cette baisse des prix. Luc Rémont a souligné la nécessité pour EDF d’anticiper cette baisse en mettant en œuvre des mesures de transformation et de performance économique pour maintenir une capacité de financement suffisante pour les investissements dans la transition énergétique.

EDF, toujours lourdement endetté à hauteur de 54,2 milliards d’euros, doit gérer des défis industriels et financiers majeurs, nécessitant environ 25 milliards d’euros d’investissements annuels. En plus de la gestion de son parc vieillissant, EDF doit financer la construction de nouveaux réacteurs, l’essor de sa production éolienne et solaire, et a récemment inscrit une provision de 3,3 milliards d’euros pour l’entreposage des combustibles usés.

Le groupe met actuellement la dernière touche aux opérations de démarrage de son réacteur de nouvelle génération EPR à Flamanville, avec une première réaction nucléaire imminente et une connexion au réseau prévue quelques semaines après. EDF mise sur son plan « Ambitions 2035 » pour accompagner les clients dans la réduction de leur empreinte carbone, produire plus d’électricité décarbonée, développer les réseaux et accélérer sur les solutions de flexibilité pour répondre aux besoins du système électrique.

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La SNCF victime d’une « attaque massive » sur son réseau, le trafic fortement perturbé

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La SNCF victime d’une "attaque massive" sur son réseau, le trafic fortement perturbé

La circulation des TGV est particulièrement perturbée, notamment à Paris. Cela serait dû à « plusieurs actes de malveillance concomitants », rapporte la SNCF, dont des incendies à proximité des lignes à grande vitesse. Selon le PDG de la SNCF, 800 000 personnes sont affectées par ces sabotages.

À quelques heures de la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques, le trafic ferroviaire à Paris connaît de fortes perturbations. La nuit précédente, plusieurs actes de vandalisme ont ciblé les lignes à grande vitesse (LGV) Atlantique, Nord et Est, causant des incendies volontaires et des coupures de câbles. La SNCF a précisé que ses équipes sont déjà mobilisées pour effectuer les réparations nécessaires.

Les perturbations ont principalement touché la gare Montparnasse, où un incendie à Courtalain (Eure-et-Loir) a entraîné des retards sur les trains à destination de Toulouse, Hendaye, Brest et Quimper. Le service vers la Bretagne et le Pays de la Loire est réduit à trois trains par heure et par sens, tandis que l’Aquitaine n’en compte que deux. À la gare du Nord, un train Paris-Lille a été annulé, et les trains Eurostar ont accumulé une heure de retard. La gare de l’Est a également été impactée, avec des retards de 1h30 pour les destinations vers Strasbourg, Nancy et Metz.

Face à ces difficultés, la SNCF a recommandé aux voyageurs de reporter leurs déplacements et a assuré que tous les billets seraient échangeables et remboursables. La ministre des Sports, Amélie Oudéa-Castéra, a condamné ces actes de sabotage, les qualifiant de « consternants » et soulignant que « jouer contre les Jeux, c’est jouer contre la France ». Le PDG de la SNCF, Jean-Pierre Farandou, a estimé que 800 000 clients étaient touchés par ces incidents. Gabriel Attal, sur Twitter, a également condamné ces actes et exprimé sa solidarité avec les voyageurs affectés.

Ces actes de malveillance surviennent à un moment critique, perturbant non seulement le trafic ferroviaire, mais aussi l’esprit de célébration et de rassemblement des Jeux olympiques. Les autorités et la SNCF travaillent sans relâche pour rétablir le service normal et assurer la sécurité des voyageurs.

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