Nous rejoindre sur les réseaux

Sports

Sports – L1 : Mbappé toujours à Paris, Camavinga au Réal

Article

le

l1:-mbappe-toujours-a-paris,-camavinga-au-real

La saison été 2021 de la série « Mercato » a été palpitante jusqu’à la fin, mardi minuit: Kylian Mbappé est fermement parisien, le Real Madrid semble avoir repoussé son idée d’un an et s’est replié sur le Rennais Eduardo Camavinga.

Florentino Perez a lâché prise. Le président du club « merengue » a renoncé à faire venir Mbappé dès cette saison, selon la presse espagnole. De source proche du PSG, on ne confirme rien, mais le club répète qu’il n’a jamais voulu céder son joyau.

Malgré deux offres (160 millions d’euros puis 180 bonus inclus), les dirigeants du PSG semblent rester inflexibles dans les ultimes heures, et le camp parisien assure que le géant espagnol n’a pas fait de troisième proposition. Le PSG tient donc son trio MNM’s, Messi, Neymar et Mbappé.

Le PSG risque de voir partir le champion du monde gratuitement en fin de saison, à la fin de son contrat. Il lui a pourtant proposé une prolongation jusqu’en 2024 avec un salaire de 45  millions d’euros, selon le journal Le Parisien.

Mais le Real reviendra à la charge, et dès janvier, selon la presse sportive.

En parallèle, la « Maison blanche » a scellé l’arrivée d’un autre prodige français, le milieu de terrain rennais Eduardo Camavinga, qui a signé pour six saisons pour 40 millions d’euros bonus compris, selon Marca. Il intéressait également… le PSG.

Une rentrée d’argent bienvenue pour le Stade rennais, qui a déjà dépensé une soixantaine de millions d’euros pour se renforcer (Sulemana, Santamaria, Meling, Majer…) et espère encore recruter Gaëtan Laborde, de Montpellier.

Recrutement cinq étoiles

L’épilogue Mbappé, haletant pour les supporters parisiens, vient clôturer un mercato historique pour la Ligue 1 et son mastodonte.

L’arrivée de Lionel Messi, que le FC Barcelone n’a pas pu conserver, a causé un retentissement inédit dans la capitale et dans les instances du foot français. Au Parc des Princes lors de sa présentation aux fans, comme pour ses premières minutes de jeu à Reims dimanche, « la Pulga » a fait chavirer les amateurs à chaque apparition.

Presque assez pour faire oublier le recrutement étoilé de Sergio Ramos, Georginio Wijnaldum et Gianluigi Donnarumma, trois cadres arrivés gratuitement, et d’Achraf Hakimi, une très bonne pioche arrachée à l’Inter Milan pour 60 millions d’euros. Dans le sens inverse en revanche, Paris peine à vendre: Mauro Icardi, Thilo Kehrer ou encore Layvin Kurzawa sont toujours parisiens.

Et selon plusieurs médias, Paris a recruté dans les dernières heures le défenseur Nuno Mendes (19 ans) au Sporting Portugal, une transaction pas officialisée mardi à minuit.

Ailleurs en Ligue 1, difficile de rivaliser avec le PSG. Mais malgré des finances en berne, entre pandémie et crise des droits télé, les clubs du championnat de France ont réussi quelques jolis coups sur le marché.

Marseille et Nice actifs

L’Olympique de Marseille version Jorge Sampaoli, le bouillant entraîneur, et Pablo Longoria, l’hyperactif président, a fêté l’arrivée de neuf recrues majeures, parmi lesquelles Mattéo Guendouzi, Gerson et Cengiz Ünder, tous trois déjà très prometteurs à l’image du but marqué par chacun d’entre eux contre Saint-Étienne (3-1), samedi.

Mais ce n’est sans doute pas fini! De nombreux médias affirment que l’OM attend encore l’arrivée du milieu français Amine Harit. Mais il faut aussi dégraisser l’effectif, avec Boubacar Kamara et Duje Caleta-Car, joueurs « bankables », comme partants potentiels.

A Lyon, le départ (libre) de Memphis Depay au Barça a été compensé par l’arrivée du Suisse Xherdan Shaqiri (Liverpool), principal mouvement dans le Rhône où un attaquant est encore – timidement – espéré. Mardi soir, l’OL essayait encore de faire venir le défenseur du Bayern Munich Jerome Boateng, libre.

Dopé par les investissements de son propriétaire Ineos, Nice s’est fait une place parmi les prétendants à l’Europe en signant, outre l’entraîneur champion de France Christophe Galtier, l’ailier Justin Kluivert, Calvin Stengs et surtout l’attaquant montpelliérain Andy Delort, soufflé à l’OM.

Si Lille n’a fait que remplacer son gardien Mike Maignan, parti à l’AC Milan, par Ivo Grbic, le club champion de France a pour le moment conservé l’essentiel de son effectif, avant d’ultimes mouvements attendus.

De leur côté, Strasbourg et Troyes ont joué la carte de l’expérience en attirant respectivement Kévin Gameiro et Adil Rami.

Et Bordeaux a vendu Yacine Adli à l’AC Milan mais l’a récupéré en prêt pour une saison.

Sports

Ligue des Champions : Le LOSC renverse le Real Madrid dans un exploit légendaire

Article

le

Ligue des Champions : Le LOSC renverse le Real Madrid dans un exploit légendaire

Dans une soirée inoubliable, le LOSC a réalisé l’impensable en battant le Real Madrid 1-0 au stade Pierre-Mauroy. Ce succès historique permet aux Lillois de marquer leur nom dans l’histoire de la Ligue des champions, en tenant tête à une équipe madrilène invaincue depuis neuf mois.

Le football réserve parfois des surprises, mais celle-ci restera gravée dans les mémoires des supporters du LOSC. Mercredi soir, devant un stade Pierre-Mauroy bouillant et à guichets fermés, les hommes de Bruno Genesio ont signé un exploit monumental, une victoire 1-0 face au Real Madrid, l’un des clubs les plus titrés de l’histoire de la Ligue des champions. Les Lillois, portés par une performance collective irréprochable, ont su résister aux assauts d’un Real Madrid pourtant redoutable, pour inscrire ce qui est sans doute l’une des plus grandes pages de leur histoire.

Dès le coup d’envoi, les Dogues ont affiché leurs intentions. Bien en place, ils ont pressé haut et gêné la relance madrilène, coupant court à toute tentative de domination des Merengues. Jonathan David, intenable, fut l’une des premières menaces en sollicitant deux fois Lunin dans la première demi-heure. Son opportunisme allait payer juste avant la pause, lorsqu’un pénalty est sifflé après une main d’Eduardo Camavinga dans la surface. Le Canadien ne tremble pas et envoie le ballon au fond des filets, permettant aux siens de rentrer aux vestiaires avec un avantage aussi mince que précieux.

En seconde période, le Real Madrid a tenté de renverser la vapeur. Le contrôle du ballon leur a progressivement appartenu, mais sans réel danger pour une équipe lilloise disciplinée et parfaitement organisée. Les entrées en jeu de Kylian Mbappé et Luka Modric n’ont pas suffi à bousculer la défense nordiste, qui a fait preuve d’une solidarité exemplaire. Chaque joueur s’est illustré dans les duels, à l’image de Tiago Santos, impérial avec 7 duels gagnés sur 11, et Edon Zhegrova, tout aussi brillant dans ses tâches défensives que créatives.

Le Real a tenté de forcer la décision, notamment avec les accélérations de Vinicius et quelques coups d’éclat de Jude Bellingham, mais rien ne semblait pouvoir ébranler la muraille lilloise. Le gardien Lucas Chevalier, héroïque tout au long de la rencontre, a su préserver son but, réalisant des arrêts décisifs dans les dernières minutes. Un coup de tête à bout portant de Güler semblait être l’égalisation tant attendue par les Merengues, mais Chevalier a répondu présent une fois de plus, signant ainsi son cinquième arrêt de la soirée.

Les dernières secondes de jeu furent éprouvantes, avec une tête de Benjamin André dans le temps additionnel qui a libéré tout un stade. Le coup de sifflet final de l’arbitre a déclenché une explosion de joie dans les tribunes, les supporters lillois savourant cet exploit inespéré. Les larmes aux yeux, certains d’entre eux ont sans doute vécu le plus grand match de leur vie.

Pour Lille, cette victoire marque un tournant. Non seulement elle leur permet de croire en leurs chances de qualification, mais elle symbolise aussi la capacité du club à rivaliser avec les géants européens. Le Real Madrid, invaincu depuis neuf mois toutes compétitions confondues, a trouvé son maître, le temps d’une soirée magique dans le Nord de la France.

Lire Plus

Sports

Équipe de France : Antoine Griezmann annonce sa retraite internationale

Article

le

Équipe de France : Antoine Griezmann annonce sa retraite internationale

Antoine Griezmann a créé la surprise en annonçant sa retraite internationale à travers une vidéo publiée sur ses réseaux sociaux. L’attaquant de l’Atlético de Madrid, figure incontournable de l’équipe de France, met ainsi un terme à sa carrière en bleu, juste avant la prochaine trêve internationale.

Antoine Griezmann, qui a marqué l’histoire du football français avec ses performances décisives lors de la Coupe du monde 2018, a fait ses adieux en publiant un message empreint d’émotion. « C’est avec le cœur plein de souvenirs que je clos ce chapitre de ma vie. Merci pour cette magnifique aventure tricolore et à bientôt », a-t-il écrit sur son compte X, accompagnant son texte d’une vidéo retraçant certains moments clés de sa carrière sous le maillot bleu.

Cette annonce intervient à quelques jours seulement de la publication par Didier Deschamps de la liste des joueurs sélectionnés pour les rencontres d’octobre. Griezmann, devenu un pilier de l’équipe nationale depuis ses débuts en 2014, avait participé à toutes les grandes compétitions sous les couleurs de la France, contribuant notamment au sacre de 2018 en Russie et à la finale de l’Euro 2016. Ses 122 sélections et 43 buts avec les Bleus font de lui l’un des joueurs les plus emblématiques de sa génération.

La décision de Griezmann de se retirer à l’âge de 33 ans marque la fin d’une ère pour l’équipe de France. Alors que certains voyaient en lui un leader capable de mener les Bleus vers de nouveaux succès, il choisit de passer le flambeau à une nouvelle génération de joueurs. Ce départ laisse un vide au sein de l’attaque tricolore, mais aussi dans le cœur des supporters, qui lui resteront reconnaissants pour ses années de service et ses exploits sur le terrain.

Lire Plus

Culture

Les descendants de Gustave Eiffel s’opposent au maintien des anneaux olympiques sur la tour Eiffel

Article

le

Les descendants de Gustave Eiffel s'opposent au maintien des anneaux olympiques sur la tour Eiffel

Alors que la maire de Paris souhaite conserver les anneaux olympiques sur la tour Eiffel jusqu’aux Jeux de Los Angeles en 2028, les héritiers de Gustave Eiffel réaffirment leur désaccord. Ils proposent un transfert symbolique des anneaux à Los Angeles d’ici fin 2024.

L’installation des anneaux olympiques sur la tour Eiffel, symbole incontournable de Paris, suscite un vif débat entre la municipalité et les descendants de son créateur, Gustave Eiffel. L’Association des descendants de Gustave Eiffel (Adge) s’est à nouveau exprimée, dimanche, en réaffirmant sa ferme opposition à la volonté de la maire Anne Hidalgo de maintenir cette installation jusqu’en 2028, au-delà de l’échéance olympique parisienne de 2024.

Dans un communiqué, les descendants expriment leur satisfaction quant à la présence temporaire des anneaux durant les Jeux, mais insistent sur la nécessité de les retirer dès la fin de l’année olympique. En cause, une « altération substantielle » de l’esthétique et du symbole de la tour Eiffel, qu’ils jugent incompatible avec l’œuvre originelle de leur ancêtre. Selon eux, les anneaux, de par leur taille imposante et leurs couleurs vives, perturbent l’harmonie visuelle de ce monument iconique, modifiant ses formes épurées et symbolisant une rupture avec son histoire.

Cette prise de position s’inscrit dans un contexte de tensions avec la mairie, qui défend de son côté une démarche visant à prolonger l’esprit olympique à travers cette installation. Anne Hidalgo avait réitéré son souhait de voir les anneaux perdurer sur la tour Eiffel jusqu’aux Jeux de Los Angeles en 2028, insistant sur leur potentiel à renforcer le lien entre ces deux événements planétaires. Toutefois, ce projet a provoqué un tollé parmi les défenseurs du patrimoine parisien et les opposants politiques, arguant que la tour, patrimoine universel, ne doit pas devenir le support de symboles événementiels temporaires au-delà de son rôle dans les Jeux de Paris.

Les descendants d’Eiffel vont plus loin en suggérant une alternative à la prolongation des anneaux. Ils proposent que, tout comme la flamme olympique sera transmise à Los Angeles à la fin des Jeux de 2024, la Ville de Paris pourrait symboliquement transférer les anneaux à la cité californienne. Ce geste marquerait, selon eux, la clôture de l’année olympique et préserverait l’intégrité visuelle de la tour Eiffel tout en respectant la continuité symbolique des Jeux.

Soucieux de protéger l’héritage de Gustave Eiffel, les membres de l’Adge rappellent avoir consulté un cabinet juridique afin de défendre leur position. Pour eux, l’accrochage des anneaux ne relève pas seulement d’une question esthétique, mais touche également au symbole que représente la tour, monument synonyme de neutralité et de paix, dénué de toute association directe avec les Jeux olympiques au fil de son histoire.

Ce débat soulève des questions plus larges quant à l’utilisation des monuments historiques dans le cadre d’événements mondiaux. Si certains y voient une opportunité de rayonnement international, d’autres, comme les héritiers d’Eiffel, insistent sur la nécessité de préserver l’intégrité des œuvres architecturales majeures. Le dialogue entre la mairie de Paris et les représentants de Gustave Eiffel reste ouvert, dans l’espoir de trouver un compromis respectant à la fois l’esprit des Jeux et celui de la tour Eiffel, emblème éternel de la capitale française.

Lire Plus

Les + Lus