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Sports – C1: le Paris SG et la MNM restent sur leur faim à Bruges

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Pour la première de son trio magique, le Paris Saint-Germain s’est fait secouer par le Club Bruges et n’a ramené qu’un nul (1-1) de Belgique, sans but de Messi, ni Neymar, ni Mbappé, mercredi pour l’entrée en Ligue des champions.

Tout n’est pas si facile pour la suprême MNM. Contre un adversaire en feu et dans un stade en fusion, le PSG a beaucoup subi et n’a pas tenu longtemps l’avantage obtenu par l’homme en forme, Ander Herrera (15e), déjà double buteur contre Clermont (4-0), samedi.

Hans Vanaken (27e) a égalisé, et Bruges a dominé l’essentiel du match contre un des grands favoris de la C1, après son recrutement royal de cet été.

La MNM a déçu, pour sa première. Elle n’a d’ailleurs vécu que 50 minutes, quand son membre le plus en vue, Kylian Mbappé, est sorti, remplacé par Mauro Icardi (51e).

En fin de première période, le champion du monde s’est fait longuement soigner après avoir été touché à la cheville droite par Stanley Nsoki (39e).

Mbappé a tout de même eu le temps de donner la balle de but à Herrera, après avoir effacé Clinton Mata avec un de ses crochets ravageurs et centré pour la demi-volée du buteur en série espagnol.

Encore Herrera

Messi, le plus souvent à droite, a beaucoup cherché à combiner avec les autres membres de la MNM. Il a trouvé la barre transversale après un bon service de Neymar (29e), et les gants de Simon Mignolet sur une percée (70e).

Neymar a été le plus décevant du trio, cherchant trop souvent l’action individuelle.

Bref, le PSG a été bien contenu par un champion de Belgique qui a disputé un match superbe.

Bruges aurait pu ouvrir le score sur un contrôle manqué de Leandro Paredes, qui a lancé Charles De Ketelaere vers le but.

L’Argentin l’a fauché et récolté un carton jaune qui aurait pu virer au rouge (12e)… Le bouillant stade Jan-Breydel était en tout cas de cet avis.

Pourtant, en vieux briscards, les Parisiens ont frappé au cœur du premier moment fort du Club. Si le trio MNM n’a pas encore ses repères, le duo Mbappé-Herrera fonctionne bien. Le N.7 avait déjà amené un but de l’Espagnol contre Clermont et lui-même marqué un but aux Auvergnats.

Mais Bruges n’a pas baissé d’intensité et a obtenu une égalisation méritée, signée du trésor des Flandres, Hans Vanaken, sur un centre de l’Ukrainien Eduard Sobol.

Navas décisif

Le Club aurait pu prendre l’avantage sans deux beaux arrêts de Keylor Navas, sur un coup franc de Vanaken au ras de son poteau (33e), puis pour cueillir une frappe enroulée de Charles De Ketelaere (39e).

Le Costaricien prend l’avantage sur Gianluigi Donnarumma dans la lutte pour le poste de gardien chef. L’Italien n’a pour l’instant joué que le match contre Clermont, dans une rencontre tranquille pour un portier.

Au rayon des choix de Mauricio Pochettino, comme les choses n’allaient pas à la pause pour le PSG, l’entraîneur a procédé à deux changements, sortant les deux joueurs les plus effacés, Georginio Wijnaldum et Paredes, pour faire entrer Julian Draxler et Danilo Pereira (46e).

Mais la physionomie n’a pas beaucoup changé. Bruges s’est créé plus d’occasions, par Vanaken (49e) ou Noa Lang, qui a tenté un retourné (75e).

Le PSG a mieux fini le match, quand Messi a joué en N.10 derrière « Ney » et Icardi, mais sans être dangereux, à l’image de cette frappe dans les nuages de la « Pulga » (79e).

Le public de Bruges a fêté ce nul comme une victoire. Il faudra faire mieux contre Manchester City dans 15 jours au Parc des Princes. Les « Citizens » eux ont marqué six fois face à Leipzig (6-3)…

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Le XV de France triomphe des All Blacks dans un duel épique (30-29)

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Le XV de France triomphe des All Blacks dans un duel épique (30-29)

Dans un Stade de France en effervescence, le XV de France a surmonté un retard à la pause pour s’imposer face à la Nouvelle-Zélande. Une victoire mémorable qui confirme la dynamique des Bleus dans cette tournée d’automne.

Ce samedi soir, le rugby français a vécu une nouvelle page d’histoire marquée par une victoire héroïque contre les All Blacks. Face à une équipe néo-zélandaise redoutable, les joueurs de Fabien Galthié ont su renverser une situation compromise pour arracher un succès précieux (30-29). Dominés en première mi-temps (10-17), les Bleus ont offert une réaction éclatante après la pause, portés par un mélange de puissance, de vitesse et de sang-froid.

La rencontre, déjà qualifiée d’anthologique, a débuté sous le signe de l’intensité. Les All Blacks, menés par Scott Robertson, ont pris l’ascendant grâce aux essais de Peter Lakai et Cameron Roigard, combinés à la précision de Beauden Barrett au pied. En difficulté, le XV de France a pourtant trouvé un premier sursaut par l’intermédiaire de Romain Buros, auteur d’un essai marquant pour sa première cape.

De retour des vestiaires, les Tricolores ont changé de visage. Paul Boudehent, en force, puis Louis Bielle-Biarrey, grâce à sa vitesse fulgurante, ont permis à la France de passer devant au score. Soutenus par un Thomas Ramos irréprochable face aux perches, les Bleus ont résisté aux tentatives de Damian McKenzie, qui a maintenu les All Blacks dans la partie. Jusqu’à la dernière seconde, la défense française, héroïque, a repoussé les assauts adverses pour sceller une troisième victoire consécutive contre cette équipe légendaire.

Après avoir surclassé le Japon (52-12), cette nouvelle performance consolide la place du XV de France parmi les meilleures nations du rugby mondial. Les regards se tournent désormais vers l’Argentine, dernier adversaire de cette tournée, pour conclure en beauté une série de matchs mémorables.

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France-Israël : un match sous haute tension au Stade de France, sécurisé par un dispositif exceptionnel

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France-Israël : un match sous haute tension au Stade de France, sécurisé par un dispositif exceptionnel

Dans un contexte de vives tensions au Proche-Orient, la rencontre de la Ligue des nations entre la France et Israël se jouera ce jeudi au Stade de France sous haute surveillance. L’enjeu sportif cède le pas face aux préoccupations de sécurité et aux récents incidents autour du football européen.

Le Stade de France se prépare à accueillir une confrontation aux multiples dimensions, où le sport et la géopolitique se croisent de manière inédite. Alors que les événements récents au Proche-Orient et les débordements en marge d’un match du Maccabi Tel-Aviv à Amsterdam ont attisé les tensions, les autorités françaises déploient une opération sécuritaire d’envergure pour garantir le bon déroulement de la rencontre.

En effet, près de 4 000 policiers et gendarmes seront mobilisés autour du stade, ainsi qu’une équipe de l’unité d’élite Raid, chargée de la protection rapprochée de l’équipe israélienne. Un climat de vigilance renforcé s’est instauré en Europe face à une hausse des actes racistes et antisémites depuis le début du conflit opposant Israël au Hamas à Gaza en octobre. Cette escalade de violence, exacerbée par les attaques contre les supporters israéliens à Amsterdam, a conduit le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau à s’opposer fermement à toute délocalisation du match, affirmant que « la France ne recule pas face aux menaces. »

Seules les bannières françaises et israéliennes seront autorisées dans le stade, tandis que les drapeaux palestiniens et tout message politique seront bannis pour éviter de nouveaux débordements. L’équipe israélienne, par ailleurs, a appelé ses supporters à éviter de se déplacer pour la rencontre, qui devrait se dérouler dans une atmosphère silencieuse, loin des affluences habituelles du Stade de France.

Le président Emmanuel Macron, aux côtés de ses prédécesseurs Nicolas Sarkozy et François Hollande, sera présent dans les tribunes pour exprimer un soutien symbolique après les récents incidents antisémites en Europe. Sur le plan sportif, les Bleus de Didier Deschamps, toujours privés de Kylian Mbappé, auront pour mission d’obtenir au minimum un match nul afin de valider leur qualification pour les quarts de finale de la compétition. Même sans la présence de sa star, la France reste favorite, confortée par sa récente victoire face à Israël.

Au-delà de l’enjeu sportif, cette rencontre cristallise l’importance d’un message de fermeté et de solidarité nationale dans un contexte où le football, malgré ses terrains, ne semble pas pouvoir s’extraire des tensions géopolitiques actuelles.

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Les Bleus s’imposent à Budapest et entament une nouvelle ère sans Griezmann

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Ligue des nations : Les Bleus s'imposent contre Israël

La première sortie de l’équipe de France depuis la retraite internationale d’Antoine Griezmann s’est soldée par une victoire convaincante face à Israël (1-4). Ce succès marque le début d’une phase de transition pour les Bleus, encore privés de Kylian Mbappé, mais bien emmenés par leurs jeunes talents.

La « nouvelle ère » annoncée par Ibrahima Konaté commence sur une note positive. À Budapest, les Bleus, privés d’Antoine Griezmann et de Kylian Mbappé, ont su se reprendre après leur récente défaite contre l’Italie. Grâce à une prestation sérieuse, ils se sont imposés face à une équipe israélienne volontaire mais limitée.

Le match a débuté sous de bons auspices pour les hommes de Didier Deschamps, qui ont bénéficié d’une erreur flagrante du gardien israélien Omri Glazer. Un tir d’Eduardo Camavinga, mal maîtrisé par ce dernier après un rebond capricieux, a permis aux Français de prendre rapidement l’avantage (0-1, 7ème). Malgré cette ouverture précoce du score, les Bleus ont montré quelques signes de fébrilité, notamment en défense. Israël a profité d’un centre précis d’Oscar Gloukh pour revenir à égalité grâce à une tête puissante d’Omri Gandelman, malgré une tentative d’arrêt de Mike Maignan (1-1, 24ème).

La réplique tricolore n’a toutefois pas tardé. Christopher Nkunku, de retour en sélection après plus d’un an d’absence, a inscrit son premier but sous le maillot bleu après un bel effort individuel, marquant ainsi une étape importante dans sa carrière internationale (1-2, 28ème). Ce second but a permis à la France de reprendre le contrôle d’un match qu’elle maîtrisait déjà dans la possession du ballon, mais sans se montrer dangereuse sur chaque action.

En seconde période, les Bleus ont continué à dominer le jeu sans pour autant étouffer leur adversaire. Ousmane Dembélé, particulièrement actif, a multiplié les accélérations et frappes, même si ses efforts n’ont pas abouti. Les changements opérés en fin de rencontre, avec notamment l’entrée de Bradley Barcola, ont permis d’amplifier le score. Mattéo Guendouzi a d’abord alourdi le score en fin de match (1-3, 87ème), suivi immédiatement par Barcola qui a signé sa première réalisation en bleu (1-4, 88ème).

Avec cette victoire, la France reste au contact de l’Italie, leader du groupe après son nul contre la Belgique. Les Bleus, qui doivent encore confirmer leur forme, affronteront cette dernière à Bruxelles lors de leur prochain match, une rencontre déterminante pour la suite de leur parcours.

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