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Sète : un jeune sétois de 22 ans décédé après sa première injection du vaccin Pfizer

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Maxime Beltra

Lundi soir, Maxime Beltra, un jeune homme de 22 ans, est décédé 9h après sa première injection du vaccin Pfizer. Son père affirme que le vaccin est la cause de la mort.

« Il devait partir en Grèce avec un ami, il vient de décéder après un choc allergique avec le vaccin », déclare Frédéric Beltra dans une vidéo pleine d’émotion postée lundi matin sur Facebook/Twitter et qui comptabilise plus 400.000 vues à ce jour. Beaucoup de ses amis partagent également sa photo à travers les stories sur les réseaux sociaux pour lui rendre hommage.

Le jeune Maxime Beltra qui a été vacciné ce lundi 26 Juillet à 14h au centre de vaccination de Sète comme l’atteste un document officiel, est décédé vers 23h00 à son domicile. Soit 9 h après sa première injection du vaccin Pfizer. Que s’est t-il passé ? Cette 1ère injection du vaccin Pfizer est-t-elle responsable directe du décès du jeune sétois ? Visiblement oui, d’après les propos de son père. « Le salon est devenu une salle d’opération, les médecins et les pompiers ont tout donné pour le ramener », explique-t-il tristement.

Avec la rage d’un père qui vient de perdre son fils, Frédéric Beltra s’en prend à ceux qu’il juge responsable de la mort de Maxime : « les élites ».

La faute au vaccin selon le père

La charge est donnée au vaccin dans un premier temps : « Nous sommes en train de vacciner la population avec des traitements qui n’ont jamais été examiné en profondeur, dont nous ne connaissons pas les effets secondaires, qui n’on pas été certifié et vérifié, qui tue des jeunes en pleine forme », déclare-t-il. Puis, très vite, il s’en prends aux responsables politiques : « Vous êtes des criminels, des corrompus (…) la moindre parole sur le vaccin vous l’éteignez, vous êtes des médiocre en tout ».

La voix étranglée par l’émotion, mais puissante, remplie de colère, Frédéric Beltra dénonce les personnes responsables de cette vaccination. Selon lui, le remède est pire que la maladie : « J’ai perdu mon seul fils pour un virus qui tue moins de 0,1% de la population ».

Le but de cette vidéo ? Qu’elle fasse « le tour du monde », afin de dénoncer ces « élites ».

Une enquête a été ouverte par le parquet de Montpellier afin de déterminer les circonstances exactes du décès de Maxime. Une autopsie devrait être pratiquée dans les prochaines heures au département de médecine légale de l’hôpital de Lapeyronie à Montpellier.

La rédaction du journal Le Singulier présente ses plus sincères condoléances à la famille de Maxime Beltra.

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A LIRE AUSSI > Sète – Décès de Maxime Beltra : le parquet avance l’hypothèse d’une grave allergie alimentaire

2 Commentaires

1 Commentaire

  1. Catycat

    28 juillet 2021 at 10 h 32 min

    Bravo le Singulier, le média qui respecte les parents et La mort de ce pauvre garçon. Quand on voit la publication de certains journaux qui sont à vomir, ça me rempli de haine. Merci de retranscrire la vérité <3

  2. RICHARD serge et maryannick

    28 juillet 2021 at 12 h 57 min

    sincères condoléances a la famille, nous sommes scandalisés de ce qui est arrivé a ce jeune, nous n’osons mème penser que cela arriverait a un de nos petits enfants, ou a nos enfants, nous n’avons pas confiance dans les vaccins et dans ce gouvernement, nous ne comprenons pas que les chaines d’info (télé) n’en parlent pas, cela nous choquent, courage a cette famille endeuillée……

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Sète : Un plaisancier perd la vie en mer agitée, sans alerte météo annoncée

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Sète : Un plaisancier perd la vie en mer agitée, sans alerte météo annoncée

Malgré l’absence de vigilance spécifique dans l’Hérault, un plaisancier a perdu la vie et un autre se trouve en urgence absolue après une forte houle ayant chaviré plusieurs bateaux au large de Sète. La préfecture appelle à la prudence face à des conditions météorologiques imprévisibles.

Mercredi, un tragique accident en mer a coûté la vie à un plaisancier au large de Sète, tandis qu’un second individu, dans un état critique, lutte pour sa survie. Ces drames surviennent dans un contexte où aucun signal d’alerte météorologique n’avait été émis pour le département, bien que le Gard voisin soit placé en vigilance jaune vague-submersion par Météo France.

L’incident intervient alors que la France fait face à la dépression Kirk, qui poursuit son déplacement vers l’Ile-de-France. Le phénomène météorologique a déjà conduit à la mise en alerte de 32 départements, dont 21 pour des risques de pluie-inondation, dix pour des vents violents et trois pour des crues importantes. À 18 heures, mercredi, le bulletin météorologique faisait état de la montée des eaux dans certains territoires, dont la Seine-et-Marne, placée en vigilance rouge.

Dans l’Hérault, bien que le département ne soit pas directement concerné par ces alertes, les conditions en mer ont provoqué des vagues atteignant deux mètres, rendant la navigation extrêmement dangereuse. La préfecture a rapidement réagi, recommandant aux plaisanciers d’éviter de prendre la mer et conseillant à la population de ne pas se baigner ni de fréquenter les plages. Les autorités insistent sur le fait que, même en l’absence de vigilance officielle, les conditions peuvent rapidement se dégrader, augmentant les risques de noyade.

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Sète : Un vautour fauve s’invite sur les toits du quartier du Barrou

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Sète : Un vautour fauve s'invite sur les toits du quartier du Barrou
©OC

Les habitants du quartier du Barrou à Sète ont eu une surprise de taille lundi soir, lorsqu’un imposant vautour fauve s’est installé sur les toits de leur quartier. Entre fascination et inquiétude, ce visiteur inhabituel a suscité de nombreuses réactions.

Lundi soir, le calme habituel du quartier du Barrou à Sète a été brusquement interrompu par l’apparition d’un visiteur des plus inattendus. Un vautour fauve, majestueux rapace dont l’envergure peut atteindre près de trois mètres, a choisi les toits du quartier pour une pause, provoquant stupeur et émerveillement parmi les résidents. Avertis par les aboiements persistants de leurs chiens, les habitants ont d’abord eu du mal à croire à cette scène inhabituelle. Pour s’assurer de la présence de l’animal, certains ont dû observer plusieurs fois, jusqu’à finalement prendre des photos pour immortaliser ce moment exceptionnel.

La présence de ce vautour à Sète est d’autant plus surprenante que ce rapace est habituellement observé dans des zones beaucoup plus rurales et accidentées. En France, les populations de vautours fauves sont principalement concentrées dans les Pyrénées, les Alpes et les Grands Causses, où des programmes de réintroduction ont permis de stabiliser et même d’augmenter le nombre de ces oiseaux majestueux. L’histoire de leur préservation est d’ailleurs remarquable. Au milieu du 20e siècle, l’espèce avait presque disparu du territoire français, victime de la chasse et de la transformation des pratiques agricoles. Ce n’est qu’à partir des années 1970, grâce à des mesures de protection rigoureuses et à des campagnes de réintroduction, que le vautour fauve a pu regagner ses territoires historiques.

Aujourd’hui, bien que principalement observés dans leurs zones de prédilection, ces rapaces peuvent occasionnellement être vus dans des lieux plus inhabituels, comme cela a été le cas à Sète. La Ligue pour la Protection des Oiseaux (LPO) explique que ces déplacements hors de leur habitat traditionnel peuvent être le fait de jeunes individus explorant de nouveaux territoires ou profitant des courants thermiques pour se déplacer sur de longues distances.

L’apparition de ce grand rapace dans le quartier du Barrou à Sète a toutefois généré une certaine inquiétude. Ne connaissant pas les mœurs de ce visiteur ailé, certains résidents ont rapidement mis leurs animaux domestiques à l’abri, craignant une éventuelle confrontation. Ces craintes, bien que compréhensibles, étaient en réalité infondées. Selon la LPO, le vautour fauve, malgré son allure impressionnante et son bec acéré, ne constitue pas une menace pour l’homme ni pour les animaux de compagnie. Principalement charognard, il se nourrit essentiellement de carcasses d’ongulés, jouant ainsi un rôle essentiel dans l’écosystème en éliminant les restes d’animaux morts.

Après avoir intrigué les habitants du Barrou pendant un moment, le vautour fauve a finalement déployé ses grandes ailes pour reprendre son vol, laissant derrière lui des souvenirs impérissables et des photos qui feront parler encore longtemps dans le quartier. Les spécialistes rappellent que, malgré son apparence imposante, le vautour fauve reste un animal sauvage, à respecter et à observer de loin pour éviter tout incident. Sa venue à Sète rappelle à quel point la nature peut nous surprendre, même au cœur de nos villes.

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Sète : La justice fait obstacle à l’expulsion d’un commerçant des Halles

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Sète : La justice fait obstacle à l'expulsion d'un commerçant des Halles
©VilledeSète

La tentative de la commune de Sète d’expulser l’EURL Pedro’s Kingdom des étals n°110 et n°112 des halles vient de se heurter à un mur judiciaire. Le juge des référés a rejeté la demande de la municipalité, laissant l’exploitant en place pour l’instant. 

L’histoire commence en décembre 2023, lorsque l’EURL Pedro’s Kingdom, exploitant des étals n°110 et n°112 des halles de Sète sous l’enseigne « Don Pepe », est informée de la fin de son occupation. La municipalité, en quête d’un nouvel exploitant, lance une procédure de mise en concurrence. En février 2024, un nouveau gestionnaire est désigné, prêt à prendre les rênes le 1er avril 2024.

Cependant, les choses ne se passent pas comme prévu. L’ancien exploitant reste en place, empêchant le nouveau gestionnaire d’entrer dans les lieux. Face à cette situation bloquée, la commune de Sète décide de saisir la justice en urgence, demandant l’expulsion immédiate de l’EURL Pedro’s Kingdom. La municipalité réclame également 3 000 euros pour les frais de justice et menace de recourir à la force publique si nécessaire.

Le juge des référés, se penche alors sur le dossier. Pour justifier une expulsion en urgence, la commune doit prouver que la situation cause un préjudice grave et immédiat à l’intérêt public. Mais après examen des arguments présentés, le juge conclut que la municipalité n’a pas apporté de preuves suffisantes pour justifier cette urgence.

Ainsi, la requête de la commune de Sète est rejetée. Le juge rappelle que les mesures d’urgence doivent être strictement justifiées et que, dans ce cas, l’absence de preuves claires et convaincantes ne permet pas de procéder à l’expulsion immédiate. L’EURL Pedro’s Kingdom peut donc rester sur les étals n°110 et n°112, du moins pour le moment.

Cette décision soulève des questions sur la gestion de cette situation par la commune. Pourquoi n’a-t-elle pas anticipé les difficultés liées à la transition entre les exploitants ? Et surtout, comment se fait-il qu’elle n’ait pas réussi à prouver l’urgence de la situation devant le juge ?

La commune de Sète a encore la possibilité de poursuivre l’affaire sur le fond, où les arguments des deux parties seront examinés plus en profondeur. Mais pour l’instant, l’EURL Pedro’s Kingdom reste en place, et la municipalité doit revoir sa stratégie.

Cette affaire met en lumière les complexités et les défis auxquels les autorités locales sont confrontées lorsqu’elles doivent gérer les espaces publics et les relations avec les commerçants. Elle rappelle également l’importance de préparer des dossiers solides et bien documentés lorsqu’il s’agit de mesures d’urgence.

Ainsi, les halles de Sète continueront d’abriter ‘Don Pepe’ pour un certain temps encore, tandis que la municipalité réfléchit à ses prochaines étapes. L’attention est désormais focalisée sur la suite de cette saga judiciaire, qui pourrait bien réserver encore quelques surprises compte tenu du manque de rigueur manifesté par les services de la commune.

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