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Sète / Fusillade à l’île de Thau : Sébastien Pacull et Cédric Delapierre réagissent

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Sète / Politique : Sébastien Pacull et Cédric Delapierre voteront Marine Le Pen

Mercredi une nouvelle fusillade a eu lieu dans le quartier de l’île de Thau. Sébastien Pacull et Cédric Delapierre demandent que le quartier soit classé en Zone de Sécurité Prioritaire (ZSP).

C’est par la voix d’un communiqué de presse que Sébastien Pacull et Cédric Delapierre, les élus municipaux et communautaires de Sète Agglopôle Méditerranée, ont réagit à la nouvelle fusillade qui s’est déroulée mercredi en fin de matinée.

Les élus du groupe de l’union des droites et des citoyens demandent à, « Gérald Darmanin , Ministre de l’intérieur de nous apporter des renforts policiers afin de rétablir l’ordre républicain à l’île de Thau et à Sète dans son ensemble. »

« Il y a plus d’un an, nous demandions à Emmanuel Macron, le classement en Zone de Sécurité Prioritaire (ZSP) de l’Ile de Thau, afin de permettre à nos policiers de bénéficier des moyens humains et matériels nécessaires à leurs missions. Aujourd’hui, face à l’urgence de la situation et à l’immobilisme des autorités, nous proposons une rencontre entre le Maire de Sète, les conseillers départementaux, régionaux et les groupes d’opposition au conseil municipal afin de porter d’une même voix cette impérieuse demande de classement en ZSP », écrivent-ils.

Avant d’ajouter, « Sur ce dossier, au delà de tout clivage politique l’unité pour la sécurité des sétois doit prévaloir. Il est d’ailleurs grand temps que notre Maire, principal soutien d’Emmanuel Macron, joue de sa proximité avec le président pour obtenir les moyens nécessaires à la sécurité que mérite chaque sétois. »

Et de conclure, « Sète, si souvent vantée pour être une ville cinématographique, ne doit pas devenir le prochain lieu de tournage de bac Nord. »

Aurélien Lopez-Liguori, membre de l’Union des droites à Sète se joint également à ce communiqué.

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A LIRE AUSSI > Sète / Île de Thau : un jeune homme hospitalisé en urgence absolue après une fusillade en pleine rue

1 Commentaire

1 Commentaire

  1. jean claude reilles

    13 mars 2022 at 12 h 04 min

    je regrette pas un mot sur les associations,les enseignants, les commerçants,etc….. qui connais mieux les problèmes de la cité que les habitants (es). le problème des dealers,guetteurs du 15 et 17 c un problème déplace . la police nationale et municipales font leurs boulot hélas il manque de policiers nat promi par le maire et le ministre sans oublier le préfet.

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Narchomicides à Marseille : une violence inédite impliquant des adolescents

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Narchomicides à Marseille : une violence inédite impliquant des adolescents

Marseille a été secouée par une vague de violence sans précédent, marquée par des actes d’une brutalité rare et la participation de très jeunes adolescents. Deux meurtres particulièrement atroces ont mis en lumière l’implication croissante des mineurs dans les narchomicides, un phénomène de plus en plus préoccupant pour les autorités.

Un adolescent de 15 ans a été poignardé à une cinquantaine de reprises avant d’être brûlé vif, et un chauffeur VTC, père de famille, a été abattu par un garçon de 14 ans. Ces événements ont marqué un tournant, selon le procureur de la République de Marseille, Nicolas Bessone, qui a dénoncé une « sauvagerie inédite ». Il a également souligné un « ultra-rajeunissement » des auteurs, qui répondent désormais à des offres de meurtres via les réseaux sociaux, un phénomène alarmant pour la justice et la police.

Ces jeunes, souvent recrutés pour de petites sommes, sont utilisés comme des « jobbers » dans les guerres de territoire entre trafiquants, notamment entre la DZ Mafia et le clan des « Blacks » dans les quartiers sensibles de Marseille. Ce conflit, qui s’est intensifié cette année, a fait de nombreuses victimes, y compris des innocents. Vendredi, un chauffeur VTC de 36 ans a été tué alors qu’il ne devait pas être la cible initiale. Cet innocent est la première victime collatérale de cette guerre en 2024.

Les autorités marseillaises, déjà confrontées à un nombre record de narchomicides en 2023, sont particulièrement préoccupées par cette violence. Les mineurs impliqués agissent souvent avec un « amateurisme effrayant » et une absence totale de remords. La situation est d’autant plus grave que les réseaux sociaux jouent un rôle central dans le recrutement de ces jeunes tueurs, un aspect que les forces de l’ordre commencent à prendre en considération.

Le procureur général de la cour d’appel d’Aix-en-Provence, Franck Rastoul, avait déjà alerté en septembre sur les ravages causés par le trafic de stupéfiants, qui « sapent les fondements mêmes de notre société ». Les événements de cette semaine ne font que confirmer l’urgence de prendre des mesures face à ce fléau qui attire de plus en plus de jeunes vers des actes criminels d’une extrême violence, au mépris total de la vie humaine.

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Cédric Jubillar renvoyé aux assises pour le meurtre de son épouse Delphine

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Cédric Jubillar renvoyé aux assises pour le meurtre de son épouse Delphine

La cour d’appel de Toulouse a confirmé le renvoi de Cédric Jubillar devant la cour d’assises pour le meurtre présumé de son épouse, Delphine Jubillar, disparue en décembre 2020.

Incarcéré depuis juin 2021, Cédric Jubillar est accusé d’avoir tué sa femme dans des circonstances encore non élucidées, sans corps retrouvé ni preuve matérielle décisive. Les enquêteurs basent leur hypothèse sur des éléments indirects, convaincus que l’annonce imminente du divorce aurait précipité le drame. Le procès est attendu en 2025, offrant potentiellement un dénouement à cette affaire qui a captivé l’attention nationale.

D’un côté, les avocats de Cédric Jubillar dénoncent l’absence de preuves solides, soulignant la présomption d’innocence qui, selon eux, n’est pas respectée. De l’autre, l’accusation met en avant un faisceau d’indices qui, bien qu’indirects, tend à impliquer le mari dans cette disparition inexpliquée.

En attendant l’ouverture du procès, la famille et les proches de Delphine Jubillar continuent de chercher des réponses, tandis que la défense espère un débat équitable sur les faits.

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Élève frappée à Paris : l’institutrice placée en garde à vue

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Élève frappée à Paris : l'institutrice placée en garde à vue

Une institutrice parisienne a été mise en garde à vue après avoir été filmée en train de frapper une élève de 3 ans. L’incident, survenu dans une école maternelle, a déclenché une enquête préliminaire pour violences.

Lundi 16 septembre, une enseignante d’une école maternelle du 15e arrondissement de Paris a été placée en garde à vue, après la diffusion d’une vidéo la montrant frappant violemment une élève de trois ans. L’incident, survenu le 4 septembre à l’école des Frères-Voisins, a choqué l’opinion publique après que les images ont été largement partagées sur les réseaux sociaux. On y voit l’institutrice asséner un coup brutal au niveau du dos de la fillette, visiblement en larmes.

Suite à ces révélations, les parents de l’enfant ont déposé plainte au commissariat d’Issy-les-Moulineaux, dans les Hauts-de-Seine. L’enquête préliminaire ouverte pour « violences sur mineur de 15 ans sans incapacité » a mené à la convocation de l’enseignante par la police. La garde à vue, qui peut durer jusqu’à 48 heures, permettra d’éclaircir les circonstances entourant cet acte. Ce type de violences, surtout dans un cadre éducatif, soulève de vives inquiétudes quant à la protection des enfants en milieu scolaire.

De plus, une deuxième plainte a été déposée par une mère, ancienne parent d’élève dans le même établissement. Celle-ci accuse également l’enseignante d’avoir giflé son fils en 2012. Malgré un signalement à l’époque, aucune suite n’avait été donnée par les autorités académiques. Ce nouvel élément renforce la position des familles impliquées, qui souhaitent une pleine reconnaissance des faits et des conséquences appropriées pour l’enseignante.

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