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Victoires 2022 : La fête n’est pas finie pour OrelSan et Clara Luciani aux Victoires

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« La fête est finie » disait son précédent album: faux, OrelSan a remporté trois récompenses vendredi soir aux 37e Victoires de la musique, Clara Luciani, autre habituée, soulevant deux trophées.

Le rappeur normand, 39 ans, a remporté les catégories artiste masculin, chanson (« L’odeur de l’essence ») et création audiovisuelle pour son documentaire « Montre jamais ça à personne ».

C’est son deuxième triplé aux Victoires (après celui de 2018). Au total, il compte désormais 9 victoires dans sa carrière, à une longueur de monuments comme Johnny Hallyday et Alain Souchon. Le record de 13 trophées est co-détenu par -M- et Alain Bashung.

OrelSan est l’artiste de la charnière fin 2021/début 2022, salué par public et critique, bien au-delà de la seule sphère rap. « Civilisation », sorti en novembre, est le disque le plus vendu en France en 2021.

« Dans les musiciens francophones, c’est un de ceux qui écrit le mieux, il creuse vraiment, il va loin », avait salué vendredi matin, sur France Inter, Stromae, président d’honneur des 37e Victoires organisées à La Seine Musicale, en région parisienne.

Le sacre de Clara Luciani était aussi attendu. Elle remporte le trophée d’artiste féminine et le prix de l’album. Au total, elle a obtenu quatre Victoires dans sa carrière.

La « gêne » de SCH

Son album « Coeur » a fait aussi bien palpiter les scènes élitistes que le grand public. « Je vis un rêve éveillé. Je suis tellement émue que le public se soit accaparé ce disque dans un moment de pénombre… Imaginer que j’ai pu apporter un peu de lumière, c’est un très beau cadeau », a-t-elle livré devant la presse.

Les Victoires ne seraient pas les Victoires sans polémique. Cette année, en comptant OrelSan, Clara Luciani, Juliette Armanet et le groupe Feu! Chatterton, on arrivait à quatorze nominations entre quatre artistes. Ce qui soulève des critiques sur une cérémonie accusée de ne pas refléter la diversité de la scène actuelle.

« Il manque beaucoup de catégories, je pense, a commenté la chanteuse Hoshi. Ils essaient de mettre le plus de gens possible dans des cases. Je n’aime pas les cases, de base ».

Il n’y avait ainsi que deux rappeurs nominés aux Victoires vendredi, OrelSan et SCH, qui a reçu le prix de l’album le plus streamé.

Jouant collectif, ce dernier a pris le micro en recevant son trophée pour citer tous les rappeurs qui auraient mérité d’être présents à ses yeux à la cérémonie.

« Je suis gêné de tenir cette Victoire dans mes mains », a-t-il déclaré, avant de mentionner, derrière ses lunettes noires, les noms de Jul, Ninho, Laylow, Naps, Gazo, Oboy, Soso Maness et Djiro.

Président d’honneur et star

L’autre attraction de la soirée fut le président d’honneur. Stromae a interprété son titre « Santé » avec un avatar, en ouverture de la cérémonie.

Ce double du Belge, façon film d’animation sur les écrans géants derrière lui, a ainsi montré au public les gestes à faire sur la chorégraphie du morceau.

La prestation de Stromae donne un avant-goût du lancement de sa tournée-évènement, qui devrait s’articuler autour de tableaux et faire appel aux nouvelles technologies.

« Multitude », son nouvel album, un des plus attendus de l’année, sortira le 4 mars. Mais comme le Belge ne fait rien comme tout le monde, il livrera ses nouvelles chansons en avant-première lors de ses trois premiers shows à Bruxelles le 22 février, Paris le 24 février et Amsterdam le 27 février.

Les billets de ces trois concerts ont été écoulés en 15 minutes le jour de leur mise en vente le 3 décembre, avait fait savoir sa maison de disque.

Une Victoire d’honneur a enfin été décernée à Jacques Dutronc, 78 ans (après Jane Birkin l’an passé), remise par son fils Thomas, pour l’ensemble de sa carrière. Ils ont chanté tous deux « Et moi, et moi, et moi », standard du paternel, avant une grande tournée inédite ensemble.

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Culture

L’art urbain à l’honneur : K-Live Festival dévoile sa programmation pour 2023

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L'art urbain à l'honneur : K-Live Festival dévoile sa programmation pour 2023
©Klive

Le festival K-Live, qui célèbre l’art urbain et la musique à Sète, dévoile sa programmation, qui aura lieu du 31 mai au 4 juin. Les amateurs de street art et de musique pourront profiter d’une semaine riche en événements et en découvertes artistiques.

K-Live a vu le jour en 2008, en tant que festival novateur dans le domaine de l’art urbain. Depuis, de nombreux festivals similaires ont vu le jour, tels que l’Urban Art Jungle à Lyon, le Street Art Fest à Grenoble ou encore Just Do Paint à Saint-Brieuc.

Le festival K-Live soutient la création artistique urbaine contemporaine et joue un rôle social important. Les œuvres de street art permettent de favoriser les rencontres et les dialogues entre les habitants et peuvent retracer l’histoire de certains lieux. Le MaCo (Musée à ciel ouvert), en particulier, est un événement clé du festival, offrant aux artistes invités l’opportunité de laisser leur marque sur les murs de la ville.

Cette année, les festivaliers pourront profiter d’un programme varié comprenant des événements tels que le MaCo, K-Live Exquis, K-Live Talk, K-Live Young et K-Live Women. Le MaCo accueillera Jace, Maye et Kikiland, qui œuvreront dans les rues de Sète du 31 mai au 4 juin. K-Live Exquis invite Marine Bonamy et Loraine Motti à réaliser une œuvre à l’aveugle à quatre mains le 2 juin.

K-Live Talk proposera une rencontre avec Jean Faucheur, président de la Fédération de l’Art Urbain, le 3 juin. Les amateurs d’art urbain pourront discuter avec lui et en apprendre davantage sur cet art en plein essor. K-Live Young mettra en vedette des artistes locaux tels que Margot Mérandon, Angéline Terpend, Bowe et X-Lasme, qui travailleront sur le mur de La Passerelle à l’Île de Thau du 31 mai au 4 juin. K-Live Women invite Nadége Feron à intervenir auprès et avec un groupe de femmes à la Médiathèque André Malraux, du 22 mai au 2 juin.

Le festival se clôturera en beauté au Théâtre de la Mer avec Iréne Dresel et French 79, invités du K-Live Klub.

Laprogrammation du K-Live Festival 2023 s’annonce riche et variée, offrant une expérience unique de découverte de l’art urbain et de la musique dans une ambiance festive et conviviale. Les festivaliers sont invités à découvrir de nouveaux talents et à s’immerger dans la culture Sète, une ville qui regorge de créativité et d’énergie artistique.

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Culture

Oscars 2023 : le sacre de « Everything Everywhere All at Once »

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Oscars 2023 : le sacre de "Everything Everywhere All at Once"

Le film de Daniel Kwan et Daniel Scheinert, qui mélange kung-fu, comédie dramatique familiale, science-fiction et multiverse, repart de la cérémonie avec sept statuettes, dont celle du meilleur film, du meilleur réalisateur et de la meilleure actrice pour Michelle Yeoh.

Every Oscar » pour Everything Everywhere All at Once. La 95e cérémonie des Oscars, qui s’est déroulée dans la nuit de dimanche 12 au lundi 13 mars, au Dolby Theatre à Los Angeles, s’est terminée par le sacre attendu du film de Daniel Kwan et Daniel Scheinert. Ce long-métrage, qui mélange kung-fu, comédie dramatique familiale, science-fiction et multiverse, a remporté sept Oscars, terrassant Tom Cruise et Top Gun : Maverick, Steven Spielberg et The Fabelmans ou encore James Cameron et Avatar : La Voie de l’eau.

A l’Ouest, rien de nouveau, le film de guerre allemand d’Edward Berger, produit par Netflix, a tiré son épingle du jeu, empochant quatre Oscars dont celui du meilleur film étranger. Il permet ainsi à la plateforme d’inscrire son nom au palmarès. Longue (plus de 3h30) et parfois ennuyeuse, la cérémonie a appuyé sur l’épisode de la gifle de Will Smith survenu l’an dernier, l’animateur Jimmy Kimmell y faisant souvent fait allusion au détour de plusieurs blagues. Elle a été aussi parsemée de grands moments musicaux avec les prestations de Rihanna, Lady Gaga et des artistes indiens du film RRR. Franceinfo vous résume cette 95e cérémonie des Oscars.

Sept Oscars pour « Everything Everywhere All at Once »

Grand favori de cette soirée avec 11 nominations, le film de Daniel Kwan et Daniel Scheinert a fait une razzia : meilleur film, meilleur réalisateur pour « Les Daniels » (Daniel Kwan et Daniel Scheinert), meilleur actrice (Michelle Yeoh), meilleure actrice dans un second rôle (Jamie Lee Curtis), meilleur acteur dans un second rôle (Ke Huy Quan), meilleur scénario original et meilleur montage (Paul Rogers). « Merci à l’Académie. Merci au studio A24. Vous avez vu notre étrangeté et vous nous avez soutenus pendant une année », a déclaré le producteur du film Jonathan Wang en recevant la plus prestigieuse des statuettes dorées, celle du meilleur film. « Nous voulons dédier ceci aux mamans, à toutes les mamans du monde, à nos mamans, en particulier à ma maman et mon papa, Ken et Becky, a salué Daniel Scheinert, merci de ne pas avoir écrasé ma créativité quand je faisais des films d’horreur vraiment dérangeants, que je pervertissais des comédies ou que je m’habillais en drag-queen quand j’étais gamin, ce qui n’est une menace pour personne. »

Le film a aussi été récompensé pour les performances de ses comédiens. Michelle Yeoh, révélée au grand public pour son rôle dans le James Bond Demain ne meurt jamais, a vu sa carrière couronnée. A 60 ans, elle a dominé l’autre favorite Cate Blanchett et devient la première actrice d’origine asiatique à s’imposer. « C’est un signal d’espoir et de possibilités. C’est la preuve que les rêves peuvent être grands et que les rêves se réalisent. Et mesdames, ne laissez personne dire que vous n’êtes plus assez fraîches », a-t-elle assuré.

Ke Huy Quan et Jamie Lee Curtis ont reçu leur premier Oscar, celui, respectivement, du meilleur second rôle masculin et féminin. « Mon parcours a commencé sur un bateau, a retracé l’acteur, j’ai passé un an dans un camp de réfugiés et je me retrouve ici sur la plus grande scène d’Hollywood. On dit que des histoires comme celle-ci n’arrivent que dans les films. Je ne peux pas croire que ça m’arrive à moi. C’est ça, le rêve américain. » L’actrice, elle, a remercié « toutes les personnes qui ont soutenu les films de genre », dans lesquels elle a tourné, ainsi que sa mère Janet Leigh et son père Tony Curtis, deux anciennes gloires d’Hollywood.

La renaissance de Brendan Fraser

Grand favori pour sa transformation physique et son histoire personnelle, Brendan Fraser a remporté l’Oscar du meilleur acteur pour son interprétation dans The Whale, de Darren Aronofsky. Révélé dans des films d’action dans les années 90 (La Momie), il a séduit l’Académie en incarnant un professeur obèse reclus et tourmenté par le chagrin. « C’est donc ça le multivers », a-t-il déclaré, incrédule et ému, en recevant la statue dorée. Après avoir mis sa carrière entre parenthèses, de disparaître des radars dans les années 2000 et après avoir accusé un ponte de l’industrie cinématographique d’agression sexuelle, l’acteur de 54 ans signe, avec ce film, un come-back dont Hollywood raffole. La transformation physique de l’acteur pour le rôle a d’ailleurs été saluée par l’Académie avec l’Oscar des meilleurs maquillages et coiffures.

Rihanna et Lady Gaga font le show mais repartent bredouille

Sur la scène du Dolby Theater, les prestations musicales de Lady Gaga, Rihanna et des artistes indiens du film RRR ont fait le spectacle. Tous en lice pour l’Oscar de la meilleure chanson originale, ils ont offert au public des prestations tour à tour intimiste, émouvante ou entraînante. Lady Gaga, nommée avec le titre Hold my hand (Top Gun : Maverick), qui avait d’abord annoncé qu’elle ne chanterait pas, a finalement offert une prestation très épurée, acoustique, vêtue d’un jean et d’un simple t-shirt noir. Rihanna, après sa prestation remarquée au SuperBowl, a continué sur sa lancée avec la ballade Lift me up (Black Panther : Wakanda Forever). Enceinte de son deuxième enfant, l’artiste a ému la salle avec ce titre qui rend hommage à l’acteur de Black Panther disparu Chadwick Boseman. Mais, finalement la statuette est allée à la chanson du film RRR, Naatu Naatu, qui s’inscrit dans la pure tradition bollywoodienne.

Netflix prend sa part du gâteau

Le film allemand, A l’Ouest, rien de nouveau, d’Edward Berger, produit par Netflix, a remporté quatre Oscars : meilleur film étranger, meilleure musique originale, meilleure photo et meilleur décor. Adapté du roman du même nom d’Erich Maria Remarque paru en 1929, il raconte du point de vue d’un soldat allemand la Première Guerre Mondiale. Huitième film de l’histoire des Oscars a être nommé à la fois pour le meilleur film étranger et le meilleur film, la première catégorie avait peu de chances de lui échapper.

A noter que la version américaine de ce film, qui date de 1930, avait reçu l’Oscar du meilleur film et meilleur réalisateur pour Lewis Milestone. La célèbre plateforme inscrit également son nom au palmarès dans la catégorie meilleur film d’animation avec la version de Pinocchio du réalisateur mexicain Guillermo Del Toro et dans celle du meilleur court métrage documentaire avec Ceux qui murmuraient à l’oreille de l’éléphanteau, réalisé par Kartiki Gonsalves.

Il n’y a pas eu de gifle, mais elle était dans tous les esprits

La cérémonie de l’an dernier avait été marquée par la gifle balancée par Will Smith à Chris Rock, après une blague de ce dernier à l’encontre de Jada Pinkett-Smith. Jimmy Kimmell, le présentateur n’a cessé d’y faire référence à cet incident. « Si l’un d’entre vous n’est pas content d’une blague et décide d’en venir aux mains, ça ne va pas être simple », a promis l’animateur en faisant une référence, en V.O., à un tube de Will Smith, Gettin’ Jiggy With It. Il a ensuite présenté le service d’ordre des Oscars pour dissuader tout potentiel agresseur : Spider-Man (Andrew Garfield), le Mandalorian (Pedro Pascal), Michel Yeoh ou encore Adonis Creed (Michael B. Jordan).

« Si quiconque dans ce théâtre commet un acte violent à n’importe quel moment durant la cérémonie, vous serez récompensés par l’Oscar du meilleur acteur et autorisé à donner un discours de 19 minutes », a-t-il lancé. Quelques minutes après, il a cependant adopté un ton à moitié sérieux : « Nous voulons que vous preniez du plaisir, que vous vous sentiez en sécurité et surtout, nous voulons que JE me sente en sécurité… ». Après 3h30 de cérémonie, Jimmy Kimmell a pu fièrement conclure qu’elle s’était déroulée sans incident.

Le palmarès complet

Meilleur film : Everything Everywhere All at Once

Meilleur réalisateur : Daniel Kwan et Daniel Scheinert (Everything Everywhere All at Once)

Meilleur scénario original : Daniel Kwan et Daniel Scheinert (Everything Everywhere All at Once)

Meilleur scénario adapté : Sarah Polley (Women Talking)

Meilleur acteur : Brendan Fraser (The Whale)

Meilleure actrice : Michelle Yeoh (Everything Everywhere All at Once)

Meilleur second rôle masculin : Ke Huy Quan (Everything Everywhere All at Once)

Meilleur second rôle féminin : Jamie Lee Curtis (Everything Everywhere All at Once)

Meilleure musique originale : Volker Bertelmann (A l’Ouest, rien de nouveau)

Meilleure chanson originale : Naatu Naatu par Kala Bhairava, M. M. Keeravani, Rahul Sipligunj (RRR)

Meilleur film étranger : A l’Ouest, rien de nouveau, réalisé par Edward Berger

Meilleur film d’animation : Guillermo del Toro’s Pinocchio, réalisé par Guillermo de Toro

Meilleure photo : James Friend (À l’Ouest, rien de nouveau)

Meilleurs décors : Christian M Goldbeck et Ernestine Hipper (A l’Ouest, rien de nouveau)

Meilleurs costumes : Ruth Carter (Black Panther : Wakanda Forever)

Meilleurs maquillages et coiffures : Adrien Morot, Judy Chin, Annemarie Bradley (The Whale)

Meilleur montage : Paul Rogers (Everything Everywhere All at Once)

Meilleur son : Mark Weingarten, Chris Burdon, Al Nelson, Mark Taylor (Top Gun : Maverick)

Meilleurs effets visuels : Joe Letteri, Richard Baneham, Eric Saindon, Daniel Barrett (Avatar : La Voie de l’eau)

Meilleur documentaire : Navalny, réalisé par Daniel Roher

Meilleur court métrage documentaire : Ceux qui murmuraient à l’oreille de l’éléphanteau, réalisé par Kartiki Gonsalves

Meilleur court métrage : An Irish Goodbye, réalisé par Tom Berkeley et Ross White

Meilleur court métrage d’animation : L’Enfant, la taupe, le renard et le cheval, réalisé par Charlie Mackesy et Peter Baynton

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Culture

Musique : Les vinyles se vendent plus que les CD, une première depuis 1987

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Musique : Les vinyles se vendent plus que les CD, une première depuis 1987

Le vinyle fait son grand retour et surclasse les CD aux États-Unis.

Les vinyles font leur grand retour et bousculent les habitudes de consommation de musique. Selon un rapport récent de la Recording Industry Association of America (RIAA), les ventes de disques vinyles ont dépassé celles des CD aux États-Unis en 2022, une première depuis 35 ans.

Avec 41 millions d’unités vendues contre 33 millions pour les CD, les vinyles représentent désormais 71% de tous les revenus des formats physiques de musique aux États-Unis. Les amateurs de musique redécouvrent ainsi les plaisirs de la collection de vinyles, avec leur esthétique unique et leur son plus chaud et authentique, selon certains auditeurs.

Les studios ne sont pas en reste et multiplient les campagnes marketing agressives pour promouvoir le vinyle comme un objet de collection indispensable. Des artistes comme Orelsan ont également compris l’engouement pour ce format iconique et ont proposé des éditions limitées et exclusives pour leurs fans.

Si la nostalgie joue un rôle dans le succès du vinyle, les jeunes générations y participent également activement, comme le montre la collection impressionnante d’un YouTubeur passionné.

Le vinyle, vestige du passé, prouve ainsi qu’il a encore de beaux jours devant lui dans un marché musical dominé par la dématérialisation à outrance. Les vinyles se vendent comme des petits pains et surclassent les CD, offrant aux mélomanes du monde entier une expérience musicale unique et authentique.

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