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Trump envisage-t-il d’expédier des citoyens européens vers le camp de Guantánamo ?

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Une révélation explosive fait état de projets controversés visant à transférer des milliers de migrants, dont des ressortissants français, vers la tristement célèbre prison militaire américaine.

Selon des informations récentes, l’ancien président américain Donald Trump préparerait une vaste opération d’acheminement de migrants en situation irrégulière vers la base de Guantánamo, à Cuba. Parmi les personnes concernées figureraient des ressortissants de plusieurs pays européens, dont la France, l’Allemagne et le Royaume-Uni. Cette initiative marquerait un tournant dans la politique migratoire des États-Unis, rompant avec les pratiques habituelles de collaboration avec les gouvernements alliés pour le rapatriement de leurs citoyens.

Les documents consultés évoquent près de 9 000 transferts potentiels, dont environ 800 concerneraient des Européens. Les nationalités visées incluent également des Italiens, des Polonais, des Belges, des Néerlandais et des Ukrainiens. Contrairement aux procédures classiques, ces déplacements pourraient s’effectuer sans consultation préalable des autorités des pays concernés, soulevant des questions juridiques et diplomatiques majeures.

La Maison Blanche a rapidement réagi en qualifiant ces révélations de « fausses informations », mais les déclarations antérieures de l’ancien président alimentent les spéculations. Début 2025, Trump avait déjà évoqué l’idée d’envoyer jusqu’à 30 000 migrants sans papiers dans ce centre de détention, habituellement réservé aux suspects de terrorisme. Cette annonce avait provoqué une vague de protestations à travers les États-Unis, où des milliers de manifestants dénoncent régulièrement les politiques migratoires jugées excessives.

Alors que la tension monte, les observateurs s’interrogent sur les implications d’une telle mesure, tant sur le plan des droits humains que des relations internationales. Les pays européens, traditionnellement alliés des États-Unis, pourraient être contraints de réagir si leurs citoyens se retrouvent effectivement détenus à Guantánamo sans leur consentement. L’affaire promet de relancer le débat sur les limites de la lutte contre l’immigration clandestine et les méthodes employées pour y faire face.

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