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Sports – GP de Russie de F1: Hamilton craque et la relève brille en « qualifs »

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Deux erreurs de pilotage du Britannique Lewis Hamilton (Mercedes) à la fin des qualifications et c’est son compatriote Lando Norris (McLaren), 21 ans, qui a décroché sa première pole position en Formule 1 en Russie samedi.

Au départ dimanche à 15h00 locales (14h00 françaises/12h00 GMT), Norris — qui offre à McLaren sa première pole depuis le Brésil en 2012 avec…Lewis Hamilton — partagera la première ligne avec l’Espagnol Carlos Sainz Jr (Ferrari), qui ne s’était lui non plus jamais aussi bien qualifié.

Dans une configuration inhabituelle mais qui pourrait devenir la norme dans les prochaines années, la deuxième ligne verra un autre Britannique, George Russell (Williams), s’élancer aux côtés de Lewis Hamilton, les deux pilotes devant devenir équipiers chez Mercedes en 2022.

Le septuple champion du monde, dont la dernière position de pointe remonte à avant la trêve estivale, ne peut que s’excuser pour une fin de séance brouillonne qui l’a vu heurter un muret à l’entrée de la voie des stands puis partir en tête-à-queue en piste.

« Rien à voir avec la pression » de la course au titre ou d’une 100e victoire symbolique qui se fait attendre, assure-t-il sans pleinement convaincre. « Juste une erreur idiote qui arrive parfois. J’essayais simplement de passer par les stands le plus vite possible… Un peu trop vite. Maintenant, je ne peux qu’espérer que la voiture ne soit pas endommagée et concentrer mes énergies sur demain. »

Ca n’est certainement pas idéal pour la confiance, mais l’important pour Hamilton est que Max Verstappen (Red Bull), son rival au championnat avec cinq points d’avance, prendra son départ en dernière position sur la grille, pénalisé pour un changement de moteur.

« Bien sûr, nous allons essayer de marquer des points et on aurait bien besoin que quelque chose se passe mal à l’avant pour nous aider », commente le Néerlandais, qui dispose de la bonne voiture pour remonter aux avant-postes.

Wolff « optimiste »

Du côté de Mercedes, malgré des qualifications décevantes également pour le Finlandais Valtteri Bottas (7e) à cause d’une stratégie conservatrice, on est « optimiste », assure le patron Toto Wolff.

« Partir quatrième n’est pas une catastrophe pour Lewis, note-t-il. Ca peut même lui donner des opportunités ». En effet, Hamilton bénéficiera de l’aspiration de ses devanciers au bout de la longue première ligne droite, ce qui pourrait lui permettre de gagner des places dans le premier tour.

D’ailleurs, le GP de Russie à Sotchi –où les Flèches d’argent sont invaincues– n’a été gagné depuis la pole position que deux fois sur sept, en 2014 et 2016.

Norris peut-il faire mentir la statistique lors de la 15e manche sur 22 cette saison et offrir à McLaren une deuxième victoire consécutive suivant neuf ans de disette (après celle de son équipier australien Daniel Ricciardo lors de l’épreuve précédente), la première pour le jeune homme ?

« Extrêmement heureux » et conscient que sa prochaine pole « n’est pas forcément pour tout de suite », le Britannique « n’espère pas trop ». « Le départ et les premiers tours seront compliqués, anticipe-t-il. Mais nous sommes bien placés pour marquer de gros points. »

La météo de dimanche s’annonce plutôt clémente, avec un léger risque d’averses toutefois, selon les prévisions de Météo France pour la Fédération internationale de l’automobile (FIA).

Samedi, au contraire, a longtemps été cataclysmique. La pluie, qui a commencé à tomber dans la nuit, s’est transformée en un intense orage dans la matinée, empêchant les essais libres 3 et la première course de Formule 2.

Tchaïkovski remplace l’hymne russe

Les F1 ont été les premières à prendre la piste à l’heure prévue (15h00) sur un asphalte séchant.

Les pilotes n’ont pu chausser des pneus slicks que pendant la troisième et dernière partie des qualifications, et ce sont les premiers à avoir fait ce pari — Norris, Sainz et Russell — qui en ont tiré avantage, avec plus de temps pour monter leurs gommes à la température idéale.

Les pilotes Mercedes, le Mexicain Sergio Pérez (Red Bull), 9e, ou encore le Français Esteban Ocon (Alpine), 10e, ont payé le prix d’être repassés plus tard aux stands.

Le deuxième Français Pierre Gasly (AlphaTauri) sera 12e sur la grille et le Monégasque Charles Leclerc (Ferrari) 19e, pénalisé pour les mêmes raisons que Verstappen.

Ce week-end, il n’y a que dans les tribunes (dont la capacité est réduite à 50%, soit 27.000 billets par jour) et sur les monoplaces de l’écurie Haas que l’on peut voir les couleurs russes.

Le drapeau et l’hymne national sont absents du protocole en F1, le pays étant exclu des grandes compétitions sportives internationales après un immense scandale de dopage.

Avant le départ, c’est donc un extrait du premier concerto pour piano du compositeur russe Piotr Ilitch Tchaïkovski que l’on entendra, comme pendant les Jeux olympiques de Tokyo.

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Paris 2024 : La France brille pour son entrée dans les Jeux Olympiques

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Paris 2024 : La France brille pour son entrée dans les Jeux Olympiques

Pour son entrée en lice dans le tournoi des Jeux Olympiques de Paris 2024 à l’Orange Vélodrome, la France ne s’est pas ratée contre les États-Unis (3-0). Les hommes de Thierry Henry lancent idéalement leur compétition.

L’équipe de France de football a débuté de manière éclatante son parcours aux Jeux Olympiques de Paris 2024 en s’imposant 3-0 face aux États-Unis. Le match, disputé à l’Orange Vélodrome, a vu les hommes de Thierry Henry prendre du temps pour marquer leur premier but, mais une fois lancés, ils n’ont laissé aucune chance à leurs adversaires.

La rencontre a débuté avec une certaine difficulté pour les Bleuets, qui ont eu du mal à trouver leurs marques. Leur gardien, Guillaume Restes, a été déterminant en première période, réalisant des arrêts cruciaux face à Robinson (12′) et Aaronson (38′). De l’autre côté, Manu Koné a tenté de débloquer la situation, mais le gardien américain Patrick Schulte a également été vigilant.

Après une première mi-temps sans but, la France a progressivement pris l’ascendant. À l’heure de jeu, le capitaine Alexandre Lacazette a libéré son équipe avec une frappe puissante de vingt mètres (1-0, 61′). Ce but a réveillé les Français, qui ont ensuite dominé le match. Michael Olise a doublé la mise avec un tir enroulé magnifique (2-0, 69′), avant que Loïc Badé ne scelle le score d’une tête bien placée (3-0, 85′).

Les États-Unis n’ont pas baissé les bras après le premier but et ont continué à mettre la pression, mais Guillaume Restes a su repousser les assauts adverses, notamment une tête d’Aaronson (63′) et un tir de Tolkin (64′) qui a touché le poteau.

Cette victoire permet à la France de démarrer idéalement la compétition et de se projeter vers les quarts de finale. Les Bleuets affronteront la Guinée le 27 juillet prochain, une victoire leur assurant pratiquement une place en phase finale. Dans l’autre match du groupe, la Guinée a été battue par la Nouvelle-Zélande (1-2), avec une passe décisive du joueur de l’OGC Nice, Aliou Baldé.

Les joueurs français, initialement crispés par la pression de ce premier match, ont montré leur capacité à se libérer et à dominer leurs adversaires. « C’était un match compliqué car les Américains formaient un bloc compact derrière. On a mis du temps à se libérer, ça fait du bien d’ouvrir le score et d’avoir aidé l’équipe. On doit maintenant se reposer pour préparer le prochain match », a déclaré Alexandre Lacazette à l’issue de la rencontre.

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Le CIO attribue « sous conditions » les JO-2030 aux Alpes françaises

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Le CIO attribue "sous conditions" les JO-2030 aux Alpes françaises

Le Comité international olympique (CIO) a attribué mercredi « sous conditions » les JO d’hiver de 2030 aux Alpes françaises, soit une deuxième édition olympique en six ans pour le pays après les Jeux d’été qui s’ouvrent vendredi à Paris.

Seule en lice depuis qu’elle a supplanté la Suède et la Suisse en novembre dernier, la France a été désignée pour organiser les 26e Jeux d’hiver, sous réserve de fournir les garanties financières de l’État et des régions, a annoncé le président du CIO, Thomas Bach. Cette décision intervient alors que l’actuel gouvernement est en charge des « affaires courantes », et le futur Premier ministre devra fournir au CIO la garantie de l’État avant le 1er octobre, une exigence à ratifier par le parlement au plus tard le 1er mars.

Le CIO a pris cette décision après une intervention du président Emmanuel Macron, venu personnellement défendre la candidature de la France, deux jours avant l’ouverture des JO d’été à Paris. « Je confirme mon engagement total et celui de la nation française », a-t-il déclaré en anglais, promettant de demander au prochain Premier ministre d’inclure cette garantie dans une loi olympique.

La dissolution récente du gouvernement et les résultats des élections ont empêché la France de fournir la garantie financière nécessaire. Thomas Bach avait averti mardi qu’un vote inconditionnel serait impossible sans cette garantie confirmée. Le vice-président du CIO, John Coates, a ajouté mercredi que le CIO ne signerait pas le contrat de ville hôte sans les garanties requises.

Après le vote, Emmanuel Macron est revenu à la tribune pour remercier les membres du CIO de leur confiance et réitérer la détermination de la France à être au rendez-vous. Il avait précédemment indiqué qu’il ne nommerait pas de nouveau gouvernement avant la fin des Jeux olympiques.

Les présidents des régions Rhône-Alpes-Auvergne et Provence-Alpes-Côte d’Azur, Laurent Wauquiez et Renaud Muselier, avaient présenté le dossier avant l’intervention de Macron. Cette désignation des Alpes françaises pour les JO-2030 marque une étape importante pour la France, qui accueillera deux événements olympiques majeurs en moins d’une décennie.

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Paris 2024 : les ex-ministres et leurs conjoints conviés à la cérémonie d’ouverture malgré leur démission

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Paris 2024 : les ex-ministres et leurs conjoints conviés à la cérémonie d'ouverture malgré leur démission
©Paris2024

Les anciens ministres du gouvernement Attal, accompagnés de leurs conjoints, ont été conviés à la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques de Paris 2024, prévue pour le vendredi 26 juillet. Malgré la démission récente du gouvernement, ces invitations visent à honorer leur contribution passée et à maintenir une présence institutionnelle lors de cet événement historique.

À seulement trois jours de la cérémonie d’ouverture, les invitations ont été officiellement envoyées aux anciens membres du gouvernement Attal, offrant à chacun deux places pour assister aux festivités depuis la tribune. Cette décision a été perçue comme nécessaire pour éviter une cérémonie sans représentation gouvernementale, un fait souligné avec une pointe d’humour par un secrétaire d’État également invité.

La plupart des anciens ministres ont accepté l’invitation et seront présents aux côtés du Président Emmanuel Macron, place du Trocadéro. Certains ont choisi de transmettre leurs places à leurs enfants, permettant ainsi à la jeune génération de participer à cette célébration sportive.

La cérémonie promet d’être un spectacle mémorable, avec des performances d’artistes ayant un lien fort avec Paris, bien que le programme détaillé reste en grande partie confidentiel. Le metteur en scène Thomas Joly a indiqué que même les artistes non francophones partagent une connexion spéciale avec la capitale française.

Conformément au protocole olympique, c’est le Président de la République qui aura l’honneur de déclarer officiellement l’ouverture des Jeux Olympiques, marquant ainsi le début de cette compétition internationale tant attendue.

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