Nous rejoindre sur les réseaux

Gigean

Gigean : Marc Gonzalez honoré par la médaille d’Or des Sapeurs-Pompiers de l’Hérault

Article

le

Gigean : Marc Gonzalez honoré par la médaille d'Or des Sapeurs-Pompiers de l'Hérault

Marc Gonzalez, premier adjoint de Gigean, a été honoré avec la médaille d’honneur des sapeurs-pompiers, échelon grand OR, pour ses 40 ans de service dévoué dans l’Hérault.

Dans une cérémonie empreinte d’émotion et de reconnaissance, Marc Gonzalez, premier adjoint de la commune de Gigean, a été décoré de la médaille d’honneur des sapeurs-pompiers, échelon grand OR. Cette distinction, rare et prestigieuse, vient saluer ses 40 années d’engagement dévoué auprès du service départemental d’incendie et de secours (SDIS) de l’Hérault.

La cérémonie, présidée par le Contrôleur général Éric Flores, directeur du SDIS de l’Hérault, a vu la remise de cette haute distinction au Capitaine Marc Gonzalez. Le contrôleur général Flores a souligné l’engagement exceptionnel de Marc Gonzalez, qui a débuté sa carrière en 1982 au centre de secours de Frontignan.

Ce moment a également été l’occasion de mettre en lumière l’impact de M. Gonzalez non seulement au sein du SDIS, mais aussi dans sa vie familiale. Fait remarquable, sur ses six enfants, cinq ont suivi ses traces en devenant sapeurs-pompiers volontaires, témoignant ainsi de l’influence et de l’inspiration qu’il a su transmettre.

Marc Gonzalez, touché par cet honneur, a dédié sa médaille à ses collègues sapeurs-pompiers et à sa famille, soulignant que cet engagement est le fruit d’un travail d’équipe et d’une passion pour le service de la communauté. Sa carrière exemplaire et son dévouement au service des autres resteront un modèle pour les générations futures de sapeurs-pompiers dans l’Hérault.

À LIRE AUSSI > Gigean : Deux élues de la majorité municipale en viennent aux mains

Gigean

Gigean : Deux élues de la majorité municipale en viennent aux mains

Article

le

Gigean : Deux élues de la même majorité en viennent aux mains

Une altercation physique entre deux élues sous les yeux du maire, Marcel Stoecklin, révèle les tensions au sein de l’équipe municipale de Gigean.

La commune de Gigean, a été le théâtre d’un véritable drame politique. Les dissensions au sein de la majorité municipale, déjà bien fragilisée, ont atteint un nouveau sommet avec une altercation physique entre deux élues de la majorité municipale en octobre dernier.

Selon nos informations, lors d’une réunion des élus de la majorité qui s’est tenue fin octobre, une altercation physique a éclaté entre Hélène AUGE, la 4ème Adjointe au Maire en charge de l’environnement, du patrimoine et de l’embellissement du village, et Leïla BERTES, la 8ème Adjointe au Maire responsable des affaires sociales et du logement. L’incident s’est déroulé sous les yeux du maire, Marcel Stoecklin, ainsi que des autres élus de la majorité, tous choqués face à cette scène inédite.

Pour comprendre l’origine de cet affrontement, il faut remonter à une soirée caritative organisée par l’association Gigean Aïkido, le 7 octobre dernier. Cette soirée avait pour but de collecter des fonds au profit de l’association ELA, qui lutte contre les leucodystrophies. Leïla BERTES, présente lors de l’événement, a effectué un don de quelques euros en utilisant le chéquier du Centre Communal d’Action Sociale (CCAS) de Gigean. Cependant, cette donation n’avait pas été préalablement discutée ni votée en conseil d’administration du CCAS.

Quelques jours après la soirée caritative, certaines critiques ont émergé lors d’une réunion de la part de certains élus, dont Hélène AUGE, qui se sont plaints de ne pas avoir été consultés sur l’utilisation des deniers publics. Il a été reproché à Leïla BERTES de ne pas agir de manière collaborative. Lors de cette réunion, il a également été souligné la main mise de la famille BERTES au sein de cette majorité municipale. En effet, cette majorité compte également Alain BERTES, le frère de Leïla BERTES, en tant que 3ème adjoint au maire en charge de l’urbanisme. Pour certains, cette famille agit comme un véritable clan, exerçant son emprise sur les maires successifs de la commune depuis près de deux décennies.

En réaction aux critiques formulées à l’encontre des BERTES, une altercation physique a éclaté entre les deux élues, nécessitant l’intervention des personnes présentes dans la salle ce jour-là. À l’âge de 76 ans, Hélène AUGE est toujours sous le choc de ce qu’elle qualifie en interne comme une « agression ». Aucune sanction n’a été prise à ce jour, par Marcel Stoecklin, à l’encontre de Leïla BERTES.

Le spectacle offert par cette majorité municipale est devenu pathétique, ridiculisant la commune chaque semaine. Les tensions et divisions qui la déchirent compliquent la gestion de la municipalité dans ce qui est décrit comme l’une des périodes les plus sombres de la vie politique à Gigean. Marcel Stoecklin, âgé de 76 ans, semble épuisé, sous l’emprise d’un clan, et impuissant à maintenir l’unité de son équipe municipale. La cohésion au sein de la majorité demeure incertaine, plongeant ainsi la commune dans une période d’instabilité politique continue.

À LIRE AUSSI > Gigean : Le maire reçoit une nouvelle gifle, Marc Gonzalez poursuit sa montée en puissance

Télécharger l’application Le Singulier > IOS (iPhone) > Android (Samsung)

Lire Plus

Gigean

Gigean : Le maire reçoit une nouvelle gifle, Marc Gonzalez poursuit sa montée en puissance

Article

le

Gigean : Le maire reçoit une nouvelle gifle, Marc Gonzalez poursuit sa montée en puissance
©VilleDeGigean

Marcel Stoecklin désavoué lors d’une délibération houleuse, la saga politique de Gigean continue avec un Marc Gonzalez en constante montée en puissance.

Dans l’arène politique de Gigean, une bataille acharnée se déroule depuis mars 2023, soit six mois depuis que le maire a tenté de sortir son premier adjoint et a été désavoué par sa majorité municipale. Mardi 26 septembre, lors du Conseil Municipal de Gigean, le maire de la commune, Marcel Stoecklin, a subi une nouvelle gifle de sa propre majorité, mais derrière ce désaveu se cache une saga de rivalités et de victoires du premier adjoint de Gigean pour le moins impressionnante.

Cette nouvelle désapprobation a éclaté au cours de la délibération concernant la convention pré-opérationnelle quadripartite entre Sète Agglopôle, la ville de Gigean, Sète Thau Habitat et l’EPF. Marc Gonzalez a pris les devants, sa préparation minutieuse a été évidente, révélant les failles béantes dans la gestion du maire actuel sur ce dossier.

Le premier adjoint qui continue d’imposer son style, a livré un récital sans précédent, exposant les incohérences et l’amateurisme de Marcel Stoecklin sur ce dossier. Mais le moment décisif est survenu lorsque Marc Gonzalez a exigé un vote à main levée sur cette délibération, une décision audacieuse que Marcel Stoecklin a acceptée, sous-estimant peut-être la force de son opposant.

Le résultat a été une véritable surprise : la majorité des élus ont courageusement exprimé leur désaccord en levant la main, marquant ainsi une nouvelle défaite cinglante pour le maire en place. Cette victoire politique supplémentaire de Marc Gonzalez renforce sa position et met en lumière la fragilité de Marcel Stoecklin, qui semble ne plus contrôler sa propre majorité.

Cependant, cette bataille ne se limite pas à la salle du conseil municipal. En coulisses, les rivalités et les attaques personnelles font rage. En juin dernier, Marcel Stoecklin a tenté de discréditer son premier adjoint en insinuant qu’une mystérieuse secte maçonnique cherchait à le déstabiliser, oubliant de mentionner sa propre affiliation à une loge maçonnique. Marc Gonzalez a également été la cible d’attaques visant sa famille, orchestrées par un maire à l’agonie, un aspect sombre de cette lutte politique que nous examinerons en détail dans un prochain article.

La population de Gigean est de plus en plus impatiente de voir l’issue de cette saga politique. La montée en puissance de Marc Gonzalez et les revers répétés de Marcel Stoecklin alimentent l’intérêt général pour la politique locale, où chaque délibération devient un chapitre de cette histoire en constante évolution.

Télécharger l’application Le Singulier > IOS (iPhone) > Android (Samsung)

À LIRE AUSSI > Gigean : le premier adjoint dénonce la gestion autoritaire et réclame le respect de la démocratie

Lire Plus

Frontignan

Sète Agglopôle : Un président désavoué toujours soutenu par Michel Arrouy

Article

le

Sète Agglopôle : Un président désavoué toujours soutenu par Michel Arrouy
©SèteAgglopôleMéditerranée

Malgré les vents contraires, François Commeinhes peut compter sur l’appui indéfectible du maire de Frontignan, Michel Arrouy.

Ce jeudi, à 17 heures, le conseil communautaire de Sète Agglopôle Méditerranée (SAM) se réunira à Villeyrac, marquant ainsi la rentrée politique pour les élus communautaires. Cependant, les mois récents ont été tumultueux au sein de la SAM, avec un désaveu significatif de la part de certains de ses vice-présidents et des critiques grandissantes envers François Commeinhes, son président.

Au cœur de la controverse se trouve une augmentation de 75 % de la taxe foncière que quatre vice-présidents de la SAM ont rejetée en bloc. De plus, un événement majeur, passé quasiment inaperçu cet été, a exposé la fragilité de la direction de François Commeinhes au sein de cette assemblée communautaire.

En juin 2023, François Commeinhes a demandé aux communes affiliées à la SAM de soumettre au vote de leurs conseils municipaux le transfert de la séquence « éviter, réduire, compenser » (ERC), qui relève actuellement de leur compétence, vers la communauté d’agglomération. Ce transfert a été l’occasion d’évaluer le sentiment général à l’égard de la présidence de François Commeinhes parmi les conseillers municipaux n’appartenant pas à la SAM.

Dans la lignée du mécontentement général envers la gestion de François Commeinhes, les conseillers municipaux des communes ont exprimé ouvertement leur désaccord et ont rejeté ce transfert de compétences. Sur les 14 communes concernées, 6 ont opposé leur refus. Soit quasiment la moitié des communes qui sont contre ce nouveau transfert de compétences à la SAM.

Les conseils municipaux de Mèze, Mireval, Montbazin, Balaruc-le-Vieux, Loupian et Bouzigues se sont tous prononcés contre la volonté de François Commeinhes, généralement en accord avec leur maire. Cependant, à Bouzigues, un fait notable s’est produit lorsque Cédric Raja a cherché à suivre la ligne du président de la SAM. Sa tentative a été violemment rejetée par une courageuse majorité municipale, isolant ainsi le maire de Bouzigues dans sa décision.

Selon nos informations, le motif avancé dans le refus des communes concernées est que de nombreux transferts de compétences profitent à la ville de Sète au détriment des autres communes. De plus, de nombreux problèmes de fonctionnement persistent au sein de la SAM. Ainsi, l’heure ne semble pas venue d’accorder un transfert supplémentaire qui pourrait une fois de plus défavoriser les communes qui se considèrent comme invisibles. Il reste à observer si ce transfert de compétences vers la SAM est juridiquement possible désormais, quand un grand nombre s’y oppose.

Malgré ces revers, François Commeinhes fera sa rentrée rentrée politique à la SAM avec confiance. Le maire affairiste de Sète garde toujours une faible majorité pour faire passé les délibérations discutable dans cette assemblée grâce au soutien indéfectible du maire socialiste de Frontignan, Michel Arrouy, et des conseillers communautaires frontignans qui l’accompagnent. Cette solidarité persistante soulève des questions sur les liens entre les politiciens locaux, en particulier lorsque leurs antécédents politiques sont variés.

Bien que François Commeinhes ait bénéficié du soutien de Robert Ménard lors des élections sénatoriales de 2014, il semble que le maire socialiste de Frontignan n’ait aucun problème à collaborer avec des individus ayant des liens passés avec l’extrême-droite. Il est à rappeler que le maire de Béziers avait annoncé, lors d’un meeting en soutien à Sébastien Pacull à Sète le 21 janvier 2020, qu’il avait contribué à mobiliser les voix des environs de Béziers afin de garantir à François Commeinhes un siège au Palais du Luxembourg. Manifestement, cela ne semble pas poser de problème au maire socialiste de Frontignan quand il s’agit de faire des affaires politiques, bien qu’il soit très enclin à dénoncer la montée de l’extrême droite dans sa commune.

Alors que la SAM traverse une période d’incertitude politique, l’énigme persistante demeure : jusqu’où ira le soutien indéfectible de Michel Arrouy envers François Commeinhes, quel que soit le prix à payer sur le plan politique ? Le conseil communautaire de ce jeudi pourrait donner quelques éléments de réponse à cette énigme politique.

Télécharger l’application Le Singulier > IOS (iPhone) > Android (Samsung)

À LIRE AUSSI > Frontignan : le maire socialiste et les élus écologistes vont trahir les électeurs de gauche

Lire Plus

Les + Lus