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Économie

Sète – Quartiers des Salins: l’opération « on casse tout on recommence » débute

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C’est dans la rue des Quatre chansons au quartier des salins pratiquement vide de ses commerces que la ville de Sète va procéder à des travaux.

L’opération « on casse tout on recommence » a débutée lundi. Alors que le quartier devait repartir de plus belle grâce à l’arrivée du nouveau LIDL, en réalité, il a tué le dernier commerçant (Tielles Dassé). La suite ? Personne n’a pointé le bout de son nez et les commerces restent tristement vides

Il faut donc repenser ce triste quartier tout neuf  qui n’attire personne pour lui offrir une nouvelle dynamique. 

Une série de travaux débute

Sans mea culpa et aucune explication on repart à l’assaut du quartier avec les mêmes personnes qui ont échoué. Au lieu de mettre à contribution ces promoteurs immobiliers qui continuent de laisser le prix des loyers excessivement cher des locaux commerciaux vides et qui ne favorise pas l’arrivée de futurs commerçants dans le quartier.

Ceux qui se sont donc trompés hier nous proposent depuis lundi des travaux d’aménagement qui vont durer jusqu’au début d’année 2021. La très critiquée SA Elit maître d’ouvrage, va mener plusieurs chantiers qui vont permettre, tour à tour, de remplacer l’éclairage, d’implanter des bornes d’arrêt-minute, de revoir les deux carrefours. La création d’un verger est aussi annoncée.

Deux phases de travaux

Une première phase de travaux aura lieu jusque fin décembre avec le changement des lampadaires. Les actuels projecteurs vont laisser place à de nouveaux candélabres LED des deux côtés de la rue. L’éclairage de la rue des Oiseaux de passage sera aussi réalisé.

Une deuxième phase de travaux est prévue avec l’installation de bornes arrêt-minute. Ce chantier sera réalisé courant janvier et pour une durée d’un mois. Sont aussi prévus en janvier la reprise des deux carrefours, ainsi que l’aménagement du trottoir rive nord au pied du bâtiment Les Posidonies.

Dans le même temps, un verger qui va voir le jour entre deux des résidences installées autour du mail des Salins. Il sera finalisé en janvier.

Comment sont fiancées et amorties ces dépenses ? Qui décroche ces marchés public ? Que va-t-on faire des lampadaires tout neufs remplacés par d’autres ? Autant de questions sans réponse aujourd’hui.

Une chose est sure c’est que c’est un gros gâchis écologique, économique et c’est toujours le contribuable qui paye

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À LIRE AUSSI > Sète -Covid-19: Le Cabaret s’adapte et maintient ses spectacles pendant les fêtes

4 Commentaires

1 Commentaire

  1. Capelli

    3 décembre 2020 at 12 h 14 min

    Nous avons logé à l’Empyree. Vue magnifique, grande terrasse, mais bruit insupportable surtout depuis l’installation du Lidl avec des livraisons jour et nuit. Sans parler du train, du stand de tir et des ‘petrolettes’ des clients du tacos. Nous avons tenu 2 ans ….

  2. Carole

    3 décembre 2020 at 14 h 46 min

    Bonjour
    Juste pour info le train est toujours passé la ! Et le stand de tir aussi !!!!!
    Désolé mais sous prétexte que vous débarquez dans le quartier on va pas déménagé train tir et tout le reste !

  3. André

    3 décembre 2020 at 16 h 38 min

    Lidl nous sert nous qui ne sommes pas plein aux as.. Et pour le reste prenez vous en aux promoteurs immobiliers qui ne pensent qu’a s’enrichir au depend de notre ville.

  4. Anonyme

    6 décembre 2020 at 11 h 42 min

    Pourquoi refaire des quartiers neufs alors que nous a l’île de Thau on a toujours des vieux trottoirs et toujours pas de centre commercial commencé bien sur on a toujours la pancarte pour nous faire patienté mais maintenant sa fait longtemps et toujours rien.

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Économie

L’inflation tombe sous les 2 % pour la première fois depuis 2021

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L'inflation tombe sous les 2 % pour la première fois depuis 2021

L’inflation en France a chuté à 1,9 %, marquant une baisse significative pour la première fois depuis 2021, selon les derniers chiffres de l’Insee. Cette diminution est principalement due à la baisse des coûts de l’énergie, bien que certains produits continuent de voir leurs prix augmenter.

L’Insee a annoncé que l’inflation en France avait atteint 1,9 %, passant pour la première fois sous le seuil symbolique des 2 % depuis 2021. Ce recul notable s’explique en grande partie par une baisse marquée des prix de l’énergie, qui a contribué à ralentir l’augmentation globale des prix à un rythme plus rapide que prévu. Selon les statisticiens, ce ralentissement des prix énergétiques, en particulier ceux de l’électricité, du gazole et de l’essence, a été déterminant dans cette tendance.

Cependant, tous les secteurs ne suivent pas cette trajectoire descendante. Les prix des denrées alimentaires et des produits manufacturés continuent de grimper, ce qui maintient une pression sur les budgets des ménages. Dominique Schelcher, président de la Coopérative U, a confirmé que bien que l’ère de l’hyperinflation semble être derrière nous, les consommateurs ne perçoivent pas encore cette amélioration de manière significative dans leur panier. Il ajoute que les prix devraient continuer à baisser progressivement, mais qu’ils ne retrouveront probablement pas les niveaux antérieurs, en raison notamment de la nécessité de compenser les augmentations salariales.

Cette baisse de l’inflation, bien qu’anticipée par les experts, arrive plus tôt que prévu. La Banque de France avait initialement prévu que l’inflation repasserait sous la barre des 2 % au début de 2025, avec une baisse plus marquée au cours de l’année. Cependant, cette tendance s’est manifestée dès 2024, malgré des hausses ponctuelles des prix, notamment dans les services de transport, probablement en lien avec les préparatifs des Jeux Olympiques.

L’évolution positive de l’inflation est une nouvelle encourageante pour l’économie française, même si la baisse des prix ne se traduit pas uniformément dans tous les secteurs. Les prochains mois seront décisifs pour observer si cette tendance se maintient et si elle apportera un soulagement tangible aux consommateurs.

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Économie

Blé : le ministère de l’Agriculture alerte sur la « pire récolte des 40 dernières années »

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Blé : le ministère de l'Agriculture alerte sur la "pire récolte des 40 dernières années"

La récolte de blé en France a chuté de près de 24 % en 2024, marquant une des pires performances depuis des décennies, en grande partie à cause des conditions climatiques défavorables.

L’année 2024 s’annonce catastrophique pour la récolte de blé en France, selon un récent rapport du ministère de l’Agriculture. Les statistiques publiées vendredi 9 août révèlent une chute de la production à 16,3 millions de tonnes, soit une baisse drastique de 23,9 % par rapport à la moyenne des cinq dernières années. Cette situation fait de 2024 l’une des pires années de récolte des quatre dernières décennies.

Les conditions climatiques ont joué un rôle déterminant dans cette débâcle agricole. Les pluies hivernales, suivies de phénomènes de gel, de grêle et d’une propagation accrue des maladies liées à l’humidité, ont gravement affecté les champs de blé. La France, généralement la première puissance européenne dans la production de blé tendre destiné à la fabrication de farine panifiable, voit sa récolte chuter à des niveaux inquiétants.

Le ministère de l’Agriculture évoque même la possibilité que cette année soit la pire depuis 1987. En comparaison, l’année 2015 reste marquée par un record de production avec 41 millions de tonnes de blé, contrastant fortement avec la situation actuelle.

Les vignobles français ne sont pas en reste. Selon le ministère, ces derniers ont été sévèrement touchés par des phénomènes de coulure et de millerandage, des conséquences directes des conditions humides et fraîches durant la floraison. La production de vin devrait ainsi baisser de 10 à 16 % par rapport à l’année 2023, ajoutant une autre ombre au tableau agricole français cette année.

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Économie

Chômage : le taux diminue à 7,3 % au deuxième trimestre 2024

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Chômage : le taux diminue à 7,3 % au deuxième trimestre 2024

Le taux de chômage en France a baissé à 7,3 % au deuxième trimestre 2024, une diminution de 0,2 point qui concerne désormais 2,3 millions de personnes.

Selon les données publiées par l’Insee le vendredi 9 août, le taux de chômage en France a reculé à 7,3 % au deuxième trimestre 2024, soit une baisse de 0,2 point par rapport au trimestre précédent. Ce chiffre, qui touche 2,3 millions de personnes, reste légèrement supérieur au niveau le plus bas atteint depuis 1982 (7,1 % au quatrième trimestre 2022 et au premier trimestre 2023), mais bien en dessous du pic de mi-2015, où le chômage atteignait 10,5 %.

La diminution du taux de chômage s’accompagne de différences selon le sexe : celui des hommes a baissé de 0,3 point pour s’établir à 7,3 %, tandis que celui des femmes a légèrement augmenté de 0,1 point, atteignant 7,4 %. Parallèlement, le taux d’emploi des 15-64 ans continue de croître, notamment parmi les seniors. Le taux d’emploi des 50-64 ans a atteint 68,1 %, son niveau le plus élevé depuis que l’Insee a commencé à le mesurer en 1975.

Ces chiffres confirment une tendance déjà observée par France Travail, qui avait rapporté une baisse de 0,4 % du nombre de demandeurs d’emploi en catégorie A au deuxième trimestre 2024, pour atteindre 3,01 millions de personnes. Cette baisse est particulièrement marquée chez les moins de 25 ans, avec une diminution de 1 %, mais concerne également les 25-49 ans et les 50 ans et plus.

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