Nous rejoindre sur les réseaux

Société

Réseaux sociaux : le nouveau paradis des escrocs bancaires

Article

le

Les plateformes comme WhatsApp ou Telegram deviennent des terrains de chasse pour les fraudeurs, qui usurpent l’identité des banques pour soutirer des données sensibles.

Les escroqueries bancaires prennent une tournure inquiétante sur les applications de messagerie. Des individus malintentionnés se font passer pour des conseillers financiers, contactant leurs victimes via WhatsApp, Messenger ou même Telegram, sous prétexte de sécuriser leur compte. Leur objectif ? Obtenir codes confidentiels et identifiants pour effectuer des opérations frauduleuses à l’insu des clients.

Selon une étude récente, plus de la moitié de ces arnaques transitent par les services du géant Meta. WhatsApp est particulièrement touché, avec une augmentation de 67 % des signalements en quelques mois. Telegram, souvent perçu comme plus sécurisé en raison de son chiffrement, n’est pas épargné : les cas d’usurpation y ont même bondi de 121 %.

En parallèle, une autre forme de manipulation sévit en France : les offres d’emploi fictives. Après avoir gagné la confiance des candidats avec des missions simples et rémunérées, les escrocs exigent des paiements pour poursuivre l’activité. Là encore, Telegram sert fréquemment de canal à ces manœuvres trompeuses.

Face à ces risques, la vigilance reste la meilleure parade. Aucun établissement bancaire ne demande ses identifiants par message – un réflexe à garder en tête pour éviter de tomber dans le piège.

Click to comment

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Les + Lus