Économie
Le procès en appel du vol AF447 s’ouvre après seize années d’attente
_**Seize ans après la disparition de l’Airbus A330 dans l’Atlantique, Air France et Airbus comparaissent à nouveau devant la justice pour déterminer leur éventuelle responsabilité pénale dans cet accident aérien.**_
L’affaire du vol Rio-Paris revient devant la cour d’appel de Paris pour deux mois d’audiences. Le constructeur aéronautique Airbus et la compagnie Air France, qui avaient été relaxés en première instance, doivent à nouveau répondre d’homicides involontaires concernant l’accident survenu le 1er juin 2009. Le vol AF447 reliant Rio de Janeiro à Paris s’était abîmé en pleine nuit dans l’océan Atlantique quelques heures après son décollage, entraînant la disparition des 228 personnes à bord, de trente-trois nationalités différentes.
L’enquête technique avait établi que le givrage des sondes Pitot, dispositifs mesurant la vitesse de l’appareil, constituait le facteur déclencheur de la séquence accidentelle. Alors que l’A330 évoluait à haute altitude dans une zone météorologique délicate près de l’équateur, la défaillance de ces instruments avait provoqué une perte de contrôle de l’appareil. Les pilotes n’étaient pas parvenus à rétablir la situation, l’avion heurtant l’océan moins de cinq minutes après le début des difficultés.
En avril 2023, le tribunal correctionnel de Paris avait reconnu l’existence de négligences tout en estimant insuffisamment établi le lien de causalité avec la catastrophe. Bien que le parquet eût requis la relaxe, le ministère public avait formé un pourvoi afin de permettre un nouvel examen juridictionnel. Sur les 489 parties civiles initialement constituées, 281 se sont jointes à la procédure d’appel, manifestant ainsi leur détermination à obtenir une clarification judiciaire définitive.
Le transporteur aérien est poursuivi pour défaut de formation adaptée des pilotes aux situations de givrage des instruments de mesure. La compagnie maintient son absence de faute pénale et entend le démontrer devant la cour d’appel. Le constructeur européen est quant à lui accusé d’avoir minimisé la gravité des dysfonctionnements des sondes et d’avoir tardé à en informer les compagnies utilisatrices, ce qu’il conteste fermement.
Les débats s’annoncent particulièrement techniques, le premier mois étant consacré à l’audition de témoins et d’experts. Les représentants des deux entreprises devraient être entendus à partir du 27 octobre. L’épave de l’appareil n’avait été localisée qu’au terme de deux années de recherches, par près de 4 000 mètres de fond, rendant complexe la reconstitution exacte des circonstances de l’accident.
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David Robert
2 novembre 2025 at 17 h 04 min
Voici la vérité sur le crash du vol Af447 Rio-Paris .
Première chose, avez vous déjà entendu parler de prime carburant , les pilotes d’Air France avaient le droit a des primes carburant si ces deniers arrivaient à économiser du carburant , ce qui peut expliquer le fait que le vol n’a pas fait le tour du nuage comme a pu le faire le vol de Sao Paulo (400km de détour), ou meme le fait de changer de niveau de vol de manière tardive afin de passer au dessus du nuage.
Deuxièmement,
Air France a trafiqué le manuel d’utilisation de l’Airbus A330 entre le 01 juin 2009 et le 02 juin 2009 .
Le matin du crash le manuel contenait deux procédure d’utilisation en cas d’IAS Disagree: -manette des gaz sur climb soit 80% de poussée et zéro degré d’assiette .
– manette des gaz sur TOGA 100% de poussée et 3 degré d’assiette à cabrer .
Ce qui explique pourquoi le pilote a tiré sur le manche .
C’est bien cette deuxième procédure qui a été utilisé et a mis en péril le vol .
Vous ne cherchez pas les réponses au bon endroit …
En effet, avec cette procédure, l’avion étant en lois alternative, quand le pilote a tiré sur le joystick, l’avion a modifié l’inclinaison de son plan horizontal réglable pour aider l’avion a monter .
L’avion est alors passé de 30000 pieds a 350000 pieds de manière parabolique et en un rien de temps. Ça a du se sentir dans l’avion … Cette procédure avait été créer par Air France et Validé par Airbus . Malheureusement il n’avait pas pensé a l’éventualité que la machine aiderait le pilote et mettrait sont plan horizontal réglable vers le bas afin de faire cabrer l’avion .
Air France est au courant depuis le premier jour et a tout fait pour cacher la vérité !
Air France a volontairement effacé toute trace de cette procédure pour ne pas être responsable …
Une personne m’avait confié qu’un ami a lui travaillant au BEA lui aurait dit qu’ils avaient les boîtes noires depuis le début…
Comment ça se fait qu’à aucun moment on entend les pilotes parler de la procédure a appliquer ?
Le pilote étant la pour appliquer des procédures …
Avant ce crash les pilotes Air France n’étaient pas former a toucher aux commandes en altitude .
C’est même pire que çela , ils avaient interdiction de toucher aux manettes au dessus de 15000 pieds.
Ce jour la , Ils ont mis une minute avant de prendre les commandes après la coupure du pilot auto .
Concernant le changement des sondes pitot , aucun avion n’était modifié avant l’accident , toutes les sondes ont été changé en catastrophe a la suite du crash .
Le responsable serait plutôt le fabricant qui ne voulait pas prendre en garantît ce problème , Air France avait fait plusieurs recours auprès du fabricant des sondes pour admettre ce défaut et le prendre ne charge.
Air France ,et très certainement Airbus , n’a pas voulu assumer ces responsabilités en effaçant des manuels la procédure utilisé Mr Robert et ayant mis en péril le vol Af447.
Non Mr Robert n’était pas un imbécile.
Paix a leurs âmes.