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Ligue 1: Monaco accroché par Nantes pour une ouverture festive de la Ligue 1

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Des spectateurs, du suspense, des recrues et deux buts! Malgré quelques approximations dans le jeu, la reprise de la Ligue 1 a été plutôt festive au Stade Louis-II vendredi soir, mais Monaco, pourtant dominateur, n’est pas parvenu à battre Nantes (1-1).

Monaco, qui vise, comme la saison passée, le podium en fin d’exercice, a déjà perdu deux points à domicile dans sa quête. Mais au début d’un marathon qui devrait lui voir jouer huit rencontres au mois d’août et lui permettre de se qualifier pour les phases de poules de la Ligue des champions, l’équipe de la Principauté est encore en rodage.

Dès mardi, elle recevra le Sparta Prague dans un match retour européen essentiel (victoire 2-0 à l’aller), avant de se déplacer à Lorient pour la deuxième journée de L1. Et d’enchaîner ensuite sur un nouveau match européen…

Elle a aussi et surtout eu le plaisir de retrouver son public. Il ont, en effet, été un peu plus de 7.000 personnes, dont le Prince Albert, à fêter, dès la fin du premier quart d’heure de jeu, le premier but de la saison en L1. Celui du Portugais Gelson Martins pour Monaco, devant le Kop Rouge et Blanc.

Après une très bonne préparation collective, le latéral gauche brésilien Caio Henrique s’est offert sa première passe décisive de la saison. Gelson Martins a devancé le Nantais Fabio pour se jeter et marquer un but acrobatique (1-0, 14e).

Ce n’était alors que logique. Car auparavant, les hommes de Niko Kovac avaient eu deux belles opportunités. A chaque fois par la jeune recrue néerlandaise, Myson Boadu, acheté 17 millions d’euros à l’AZ Alkmaar. Et dont l’arrivée n’a été officialisée que mercredi dernier.

Boadu se rate

Sur la première, Boadu a manqué de promptitude pour reprendre un bon ballon dans la surface. Il a d’ailleurs raté son contrôle (5e). Sur la seconde, il a parfaitement anticipé la passe en retrait de Ludovic Blas pour son gardien Alban Lafont. Mais le Néerlandais, double buteur et bourreau des Bleuets en quart de finale du dernier Euro Espoirs, a complètement dévissé sa tentative (8e).

Il faut dire qu’avec la titularisation des recrues tardives, Jean Lucas au milieu et, donc, Boadu devant, qui ne comptaient qu’un seul entraînement collectif dans les jambes, celui de veille de match, Niko Kovac a pris des risques. Mais le Croate doit aussi gérer le parcours.

Après 41 minutes totalement maîtrisées, les Monégasques se sont fait surprendre. Sur un corner de Moses Simon, Jean-Charles Castelletto, arrivé lancé entre Benoît Badiashile et Axel Disasi, n’a laissé, d’une tête piquée, aucune chance à l’autre recrue monégasque, le gardien Alexander Nübel (1-1, 42e).

Forcément, la deuxième période allait être une attaque-défense devant les buts de Lafont. Mais sur coups de pied arrêtés (Lucas 47e, Ben Yedder 67e) comme dans le jeu (Gelson Martin 69e), Monaco a eu beaucoup de difficultés à être dangereux.

Bien articulé autour de Nicolas Pallois, Nantes a tenu. L’équipe d’Antoine Kombouaré, qui a sauvé sa place en L1 après l’épreuve des barrages la saison dernière, sait que le maintien se joue dès la première journée. Elle a été disciplinée et appliquée.

« C’est un énorme point », s’est félicité Kombouaré après la rencontre. « J’ai dit à mes joueurs que ce point était synonyme de victoire. On s’attendait à souffrir, on a souffert (…). Ce qu’on a fait ce soir, c’est bien, même si Monaco est encore en rodage ».

En effet, les entrées en jeu de Wissam Ben Yedder, Aleksandr Golovin, Youssouf Fofana, Ismail Jakobs et Djibril Sidibé n’y ont rien fait côté monégasque. A l’image de la dernière tentative d’Aurélien Tchouameni que Lafont a repoussée avec talent (90e), Monaco a manqué d’efficacité. Pourtant, la qualité globale démontrée lui permet de croire à des lendemains plus heureux…

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Les Jeux paralympiques de Paris 2024 lancés sous le signe de l’inclusion et de la transformation

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Les Jeux paralympiques de Paris 2024 lancés sous le signe de l'inclusion et de la transformation

La cérémonie d’ouverture des Jeux paralympiques 2024 s’est déroulée en plein cœur de Paris, marquant le début de onze jours de compétitions intenses. Dans une atmosphère empreinte de symbolisme et de célébration, la vasque a été allumée par cinq athlètes français, sous les regards de milliers de spectateurs.

Les Jeux paralympiques de Paris 2024 ont été inaugurés le mercredi 28 août au terme d’une cérémonie riche en émotions, organisée dans le cadre prestigieux du Jardin des Tuileries. À 23h34 précises, la vasque symbolique s’est élevée au-dessus de la capitale, illuminée par les porte-drapeaux de la délégation française, Nantenin Keïta et Alexis Hauquinquant, accompagnés par Elodie Lorandi, Charles-Antoine Kouakou et Fabien Lamirault. Ce moment solennel, empreint de fierté et de détermination, a été le point culminant d’un événement de trois heures qui a célébré non seulement le sport, mais aussi l’inclusion et la diversité.

Précédant ce grand final, la parade des athlètes a vu défiler 5 100 participants issus de 168 délégations, depuis les Champs-Élysées jusqu’à la place de la Concorde. Les 50 000 spectateurs présents le long de cette avenue emblématique ont été les témoins d’une démonstration de solidarité et de respect, symboles forts de ces Jeux. Cette procession a été l’occasion de rappeler la diversité et la force des athlètes paralympiques, venus des quatre coins du monde pour se mesurer dans des compétitions qui débuteront dès le lendemain.

La cérémonie, bien que plus introspective que celle des Jeux olympiques, n’en était pas moins ambitieuse. Axée sur les thèmes de l’inclusion et de la célébration du corps, elle a offert un spectacle visuel impressionnant, ponctué par des performances artistiques de haut vol. Cependant, un léger couac technique a été relevé dans la retransmission télévisée, avec un son jugé insuffisant par certains téléspectateurs, atténuant l’impact de prestations musicales telles que celle de Christine and The Queens.

Ces Jeux paralympiques, placés sous le signe de la transformation, ont été salués par Tony Estanguet, président de Paris 2024, qui a évoqué une « révolution paralympique » en marche. Selon lui, cette révolution, bien que douce, promet de bouleverser profondément les perceptions et les consciences, laissant entrevoir un avenir marqué par une inclusion plus grande et une reconnaissance accrue des capacités de chacun. Les prochains jours s’annoncent donc non seulement sportifs, mais également porteurs d’un message universel de changement et de progrès.

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Paris 2024 : La flamme est éteinte

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Paris 2024 : La flamme est éteinte
©Paris2024

Les Jeux Olympiques de Paris 2024 se sont achevés au Stade de France, mettant à l’honneur Léon Marchand. Los Angeles prend le relais pour 2028 !

Les Jeux Olympiques de Paris 2024 se sont officiellement clôturés ce dimanche lors d’une cérémonie au Stade de France. Pendant un peu plus de trois heures, le monde a assisté à une fête grandiose, marquée par la présence de Léon Marchand, nageur français quintuple médaillé olympique, qui a eu l’honneur de porter la flamme olympique pour son ultime trajet.

Absent des premiers instants de la cérémonie au Stade de France, Léon Marchand a commencé son parcours au Jardin des Tuileries, où il a allumé la lanterne contenant la flamme olympique. En attendant son arrivée à Saint-Denis, les spectateurs ont assisté à une entrée des porte-drapeaux des délégations, dont Antoine Dupont et Pauline Ferrand-Prévot pour la France. Les athlètes présents ont ensuite défilé dans le stade au son des chansons emblématiques de ces Jeux, avant de participer à un karaoké géant, mené par Denis Brogniart.

Le moment marquant de la soirée est venu avec la remise du drapeau olympique à la ville hôte des prochains Jeux. Après les discours de Tony Estanguet et Thomas Bach, Anne Hidalgo a transmis le drapeau olympique à Karen Bass, maire de Los Angeles. Le passage de relais s’est poursuivi avec une performance spectaculaire de Tom Cruise, qui a sauté du toit du Stade de France avant de rejoindre Los Angeles dans une séquence filmée.

La cérémonie s’est conclue en apothéose avec l’arrivée de Léon Marchand au centre du stade, où il a éteint la flamme olympique aux côtés d’athlètes représentant tous les continents, dont Teddy Riner. Ainsi se sont terminés les Jeux Olympiques de Paris 2024, laissant place à Los Angeles pour 2028.

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Paris 2024 – Natation : Marchand éblouissant, quatrième médaille d’or

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Paris 2024 - Natation : Marchand éblouissant, quatrième médaille d'or

Époustouflant, Léon Marchand a remporté la finale du 200m quatre nages ce vendredi, s’adjugeant une quatrième médaille d’or olympique individuelle à Paris 2024.

Déjà triple champion olympique à Paris 2024, Léon Marchand continue d’impressionner. À 22 ans, il a encore renforcé son statut de légende de la natation ce vendredi en triomphant lors de la finale du 200m quatre nages. Devant une La Défense Arena en ébullition, Marchand a captivé le public avec une performance remarquable.

Dès le départ, il a montré sa puissance en papillon, bien que devancé par le Chinois Shun Wang. C’est lors de la nage sur le dos que le natif de Toulouse a pris l’avantage, durcissant la course et prenant la tête. En brasse, il a creusé l’écart, établissant une avance confortable de plus d’une seconde et demie (+1.73). Lors de la nage libre finale, Marchand a tout donné, et même s’il n’a pas battu le record du monde, il a établi un nouveau record olympique avec un temps de 1:54.06, surpassant l’ancien record détenu par Michael Phelps.

La deuxième place, occupée par le Britannique Duncan Scott à plus d’une seconde (+1.25), témoigne de la domination de Marchand dans cette course. Son exploit à Paris 2024 ne fait que confirmer son statut d’icône de la natation, et son avenir s’annonce encore plus brillant.

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